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  • Municipales: un appel à l’unité de Christian Baeckeroot

    Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2020

    Municipales: un appel à l’unité de Christian Baeckeroot

    De Christian Baeckeroot, ancien député FN et ancien conseiller municipal de Tourcoing:

    Dans le contexte d’abstention très forte liée au COVID-19 , les électeurs sont appelés à voter le 28 juin pour les maires sortants qui apportent depuis de nombreuses années la preuve qu’il est possible à la fois de conduire la gestion locale d’une ville au service de ses habitants et de participer tant au plan local que national à la défense et à la promotion de l’identité française et des valeurs familiales.

    C’est ce double engagement qu’illustrent Jacques Bompard à Orange et Marie-Claude Bompard à Bollène (84).

    Jacques Bompard, régulièrement réélu, a été plébiscité par les habitants d’Orange pour avoir embelli la ville, assaini les finances locales, etc.

    Député non inscrit, il a soutenu avec un grand courage à l’Assemblée Nationale le combat pour la vie et l’opposition au mariage homosexuel. Réélu député en 2017 il a démissionné de ce mandat pour se consacrer à la gestion de la mairie d’Orange ; Marie-Claude LORHO, sa suppléante, a continué cette action pour les valeurs familiales et l’identité française aux côtés d’Emmanuelle Ménard, toutes deux députés non inscrits.

    Marie-Claude Bompard  a, elle aussi, toujours inscrit son action militante pour la promotion de ces valeurs.

    Sa liste a conquis en 2008 la mairie de Bollène face à la gauche. Son équipe a toujours fait preuve d’une gestion rigoureuse comme en témoigne le rapport de la Chambre Régionale des comptes de la PACA (16 avril 2019) :

    “situation financière satisfaisante malgré la baisse des dotations sans hausse de la fiscalité locale….

    “diminution de la dette…. Diminution des effectifs (- 18%)…

    “reconstruction de la salle des fêtes sans dérive des coûts et des délais… etc.”

    On  peut s’étonner que, pour des raisons de rancune personnelle ou de médiocres calculs d’état-major parisien, l’union ne se soit pas réalisée derrière les maires sortants dès le premier tour.

    Quoi qu’il en soit, aujourd’hui l’heure est au rassemblement pour conserver à Orange et à Bollène des équipes municipales qui ont toujours fait preuve d’une fidélité à leurs engagements et d’une gestion municipale exemplaires.

     

    Source : lesalonbeige

  • Lucratif “antiracisme” : des femmes blanches ethno-masochistes payent 2.500 dollars pour participer à un dîner de repentance organisé par des femmes de couleur

    Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2020

    Auteur : 

    Sur le continent américain comme sur le continent européen, les médias du système relaient avec complaisance une interprétation de faits divers – comme la mort de George Floyd ou d’Adama Traoré – qui alimente le racisme anti-blancs parmi les populations de couleur.

    Des activistes communautaristes – principalement des femmes – en ont fait un véritable fond de commerce. Aux Etats-Unis, c’est notamment le cas de Regina Jackson et Saira Rao qui ont ficelé leur petite affaire de façon très lucrative.

    Saira Rao est née aux Etats-Unis de parents originaires d’Inde. Sur Twitter, tous les deux ou trois jours, Saira Rao s’en prend à sa cible préférée, les «femmes blanches». «Les femmes blanches sont les fantassins du suprémacisme blanc», a-t-elle notamment tweeté.

    La rengaine est paradoxale : les femmes blanches de gauche et féministes n’en feront jamais assez pour satisfaire aux ambitions de Saira Rao, de Regina Jackson et de leurs amies. Exemple avec cet autre tweet : «Les femmes blanches adorent Nancy Pelosi. Nancy Pelosi est le féminisme blanc. Le féminisme blanc est le suprémacisme blanc.»

    Saira Rao est une championne dans l’art de culpabiliser les femmes blanches de gauche. «Petit rappel que les messages de soutien privés sont une forme de suprémacisme blanc. Faites-les en public ou gardez-les pour vous.», écrit-elle sur les réseaux sociaux.

    Saira Rao a également développé une dialectique qui met fin à toute objection : «Si vous avez un problème avec la façon dont une personne racisée parle de racisme, c’est vous le problème.»

    Bien sûr, Saira Rao flirte en permanence avec les formules à caractère raciste : «Joyeuse Saint-Valentin aux filles et aux femmes noires et indigènes. Vous êtes belles à l’intérieur et à l’extérieur, et profondément aimées et chéries.»

    Ne croyez pas que Saira Rao est une excentrique sans influence. Elle a été candidate aux élections du Colorado en 2018 et a tout de même obtenu 32% des voix contre son opposante lors de la primaire démocrate.

    Et, comme nous l’écrivions plus haut, elle a parfaitement compris comment rendre son discours lucratif. Elle a donc fondé une entreprise… d’éducation des femmes blanches à l’antiracisme.

    Ayant bien perçu à quel point certaines femmes blanches sont ethno-masochistes, Saira Rao propose aux femmes blanches gauchistes et financièrement aisées de réserver leur place à des diners de repentance. Pour 2.500 dollars, une femme blanche ethno-masochiste aura le droit de s’installer à la même table que Saira Rao et sa collègue afro-américaine Regina Jackson. La formule s’intitule “Race to Dinner”. Les deux femmes de couleur devenues professionnelles de la rééducation des femmes blanches daignent alors dîner avec un groupe de femmes blanches et leur signifier à quel point tous les détails de leur existence reposent sur des réflexes qualifiés de “racistes”. Sur le site internet officiel de Race to Dinner, il est notamment écrit : «Aux femmes blanches: nous allons parler de la façon dont vous êtes complices du suprémacisme blanc et de l’oppression des femmes racisées. Notre but est de révéler ce que les femmes racisées ont toujours su: votre privilège blanc, votre pouvoir, votre contrôle et votre complicité.»

    A ce tarif quelque peu audacieux de 2.500 dollars par inscription, Saira Rao et sa copine Regina Jackson ont déjà trouvé, depuis la création du projet en 2019, suffisamment de femmes blanches ethno-masochistes et riches pour organiser une quinzaine de ces dîners de dingues. Le tout avec une très inquiétante complaisance de journalistes qui vantent cette folie.Dans le Toronto Star, la journaliste Shree Paradkar trouve ainsi bien naturel de faire payer chèrement de tels dîners, car «éduquer les gens sur la manière dont ils sont des instruments d’oppression ne devrait pas être gratuit».

    Et comme Saira Rao et Regina Jackson s’y entendent en marketing, elles recommandent aux dindes qui vont s’assoir à leur table d’avoir acheté et lu avant le dîner, le livre La Fragilité blanche de leur copine Robin DiAngelo. “Spécialiste” des formations “diversité en entreprise”, Robin DiAngelo y développe sa théorie : en tant que femme blanche élevée dans la société occidentale, elle affirme avoir profité d’un système raciste qui lui a inculqué une vision raciste du monde.

    Saira Rao, Regina Jackson et Robin DiAngelo sont également disponibles pour donner des conférences sur base d’une grille tarifaire très étudiée. Les affaires sont les affaires…

     

    Source : medias-presse.info

  • Nantes gauchisée : une horrible fontaine (hors de prix)

    Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2020

    A l’occasion d’un événement culturel, « le voyage à Nantes », organisé chaque été avec la municipalité de gauche, une ignoble sculpture a été érigée Place royale.

    On y voit notamment la moitié d’une femme (celle qui semble intéresser l’« artiste ») uriner…
    Uriner debout semble être le combat du moment pour le gaucho-féminisme et de ses compagnons de route.
    Inutile de répéter, avec une telle photo, qu’il s’agit d’une maladie mentale.

    vu chez « 20 Minutes »

    Précisons que cette foire annuelle, qui parsème Nantes d’« œuvres » lamentables, coûte les yeux de la tête.
    En 2018, son budget était de 29,5 millions d’euros, dont 59% financé par le contribuable…
    Les « œuvres » sont facturées de quelques centaines de milliers à plusieurs millions d’euros.
    Les « artistes » modernes, incapables de proposer le Beau, ne savent que proposer de la transgression.
    On n’ose pas imaginer ce qu’ils mettront dans quelques années sous les yeux de nos enfants s’il n’y a pas de révolution nationaliste avant.

     

    Source : contre-info

  • Plus de “mari” ni de “femme” selon l’ONU

    Publié par Guy Jovelin le 04 juin 2020

     le 

    Plus de “mari” ni de “femme” selon l’ONU

    Lu sur IfamNews :

    Frappant au cœur de la famille naturelle, les Nations Unies demandent instamment l’élimination des mots mêmes qui décrivent les rôles matrimoniaux sur lesquels la société est fondée: « mari » et « femme ». Sous prétexte de « créer un monde plus égalitaire en utilisant un langage non genré », l’ONU a déclaré dans un récent tweet – d’une agence dont le nom est tout sauf « non genré »: « UN Women » [ONU Femmes] – que divers termes traditionnels devraient être remplacés. Par exemple: « nom de jeune fille » par « nom de famille »; « Petit ami » et « petite amie » par « partenaire »; et, plus inquiétant, « mari » et « femme » par « conjoint ».

    Que l’ONU utilise son prestige sur la scène mondiale pour tenter de supprimer les mots décrivant les rôles clés dans la famille naturelle est une manifestation révélatrice de ce que Gabriele Kuby – sociologue de renom et conférencière à notre Congrès mondial des familles – appelle la « déconstruction de l’identité sexuelle masculine et féminine » et la « destruction de la liberté au nom de la liberté » qui en résulte dans ce qui est devenu une « révolution sexuelle mondiale [qui] affecte tout le monde – hommes et femmes, jeunes et vieux, notre existence personnelle et l’avenir de la société… Le bien est appelé mal, et le mal est appelé bien. »

    Alors que la révolution fait rage dans le monde, explique Kuby, elle « augmente de jour en jour sa vitesse et la férocité de son attaque contre les libertés démocratiques… Des individus et des ONG influents dirigent sa mise en œuvre mondiale. » Et le résultat final est clair: « Le mariage et la famille seront dissous », et remplacés par « des relations arbitraires entre deux personnes ou plus » soutenues par une subvention gouvernementale. Si tout cela semble trop bizarre pour être vrai, il suffit de rappeler ce que le véhicule de propagande de Soros, OpenDemocracy, a publié le 24 mars: « Nous méritons mieux que la famille. Et la crise du coronavirus est un excellent moment pour pratiquer l’abolition. » Le titre de l’article subversif était clair:

    « La crise du coronavirus montre qu’il est temps d’abolir la famille. »

    […]

     

    Source : lesalonbeige

  • Pour remonter au classement PISA (mesure des performances scolaires dans 79 pays), la Suède a exclu 11% de ses élèves, la plupart immigrés

    Publié par Guy Jovelin le 04 juin 2020

    Par  le 04/06/2020

    Le PISA – programme international pour le suivi des acquis des élèves – est la plus grande étude internationale auprès d’élèves dans le domaine de l’éducation.

    Pilotée par l’OCDE, PISA mesure l’efficacité des systèmes éducatifs. L’objectif est de comparer les performances des élèves issus de différents environnements d’apprentissage pour comprendre ce qui les prépare le mieux à leur vie d’adulte. Le PISA évalue les compétences des élèves de 15 ans sur trois domaines : compréhension de l’écrit, culture mathématique et culture scientifique. 79 pays participent à cette évaluation.

    Lors du dernier classement, présenté en décembre 2019, les jeunes suédois ont obtenu de meilleurs résultats que dans le test précédent dans les trois matières et ont grimpé au sommet du classement international, la ministre suédoise de l’Éducation Anna Ekström qualifiant cette journée de jour de joie  : « Voilà un message fort : les écoles suédoises sont fortes ».

    Problème : la Suède a procédé à l’exclusion de 11% des élèves de l’échantillon, soit en raison d’un handicap, mais surtout parce qu’ils étaient arrivés trop récemment dans le pays et présentaient de trop faibles compétences (notamment linguistiques), lorsque l’OCDE tolère un taux maximum de 5%.

    Les calculs du journal Expressen montrent ainsi que les résultats suédois en compréhension de la lecture auraient été inférieurs d’au moins 5 à 13 points si la Suède avait suivi les réglementations de l’OCDE.

    L’Agence nationale pour l’éducation suédoise se défend en indiquant que cette exclusion s’explique par à l’accueil important de réfugiés en Suède ces dernières années, qu’elle pensait pouvoir légalement exclure de l’échantillon, se basant sur certaines recommandations de l’OCDE.

    Expressen.se via fdesouche