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  • Les Arcs (83) : le Préfet refuse d’expulser des squatteurs malgré une décision de justice

    Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2021

    Depuis sept mois, la maison de Jean-Philippe Victor, sur la commune des Arcs (Var), est squattée par une dizaine de ressortissants de Bosnie-Herzégovine. Or, le sous-préfet de Draguignan refuse de recourir à la force publique pour les déloger malgré un jugement d’expulsion.

    Depuis l’automne dernier, Jean-Philippe Victor, un viticulteur varois, se bat pour récupérer sa villa, héritée de sa maman décédée depuis moins d’un an. «Lorsque les squatteurs sont entrés dans la maison, je m’apprêtais à la vendre afin de régler les droits de succession, confie-t-il. J’avais déjà un acheteur mais tout est tombé à l’eau». Ce 28 septembre, des voisins alertent Jean-Philippe que plusieurs individus viennent de s’introduire chez lui. «Ces gens font partie de réseaux, poursuit-il. Ils connaissent bien le droit français. Ils se servent des femmes et des enfants pour échapper à l’expulsion». 

    […]

    Depuis, le viticulteur varois fait feu de tout bois en alertant la presse et les élus locaux. Sans résultat. «Les squatteurs font la fête tous les soirs, raconte Jean-Philippe. La gendarmerie a été appelée pour tapage nocturne. Je n’ose imaginer dans quel état je vais retrouver ma maison».

    […]

    Le samedi 17 avril, le propriétaire organisera une manifestation devant sa maison aux côtés de plusieurs de ses voisins qui le soutiennent sans relâche

    CNews via fdesouche

  • Insultes et racisme : le centre d’appels de vaccination de l’hôpital de Montauban dans la tourmente

    Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2021

     

    Un froid glaçant mêlé à une indicible colère. Sandrine manque de mots pour exprimer ce qu’elle a ressenti lorsque ses parents lui ont fait écouter le message vocal qu’ils ont reçu du centre d’appels de vaccination Covid de l’hôpital de Montauban.

    «Mes parents ont tous les deux 67 ans et présentent des comorbidités attestées. J’ai pris un premier rendez-vous via Doctolib. Le centre d’appels les a appelés et ils ont été récusés. Je ne sais toujours pas pourquoi». Sandrine ne se désarme pas pour autant et prend un nouveau rendez-vous il y a 10 jours. Samedi 20 mars, le centre d’appels de l’hôpital de Montauban rappelle ses parents et leur laisse un message. Un message des plus anodins, stipulant que sans rappel de leur part, ils seraient de nouveau récusés. Or, dans le message laissé, la secrétaire oublie de raccrocher…

    «Il y a tellement d’Arabes à nettoyer»


    Informée par La Dépêche de ce comportement, la direction de l’hôpital de Montauban «a décidé de suspendre l’agent dès le 31 mars et de lancer une procédure disciplinaire. Par ailleurs, la direction en charge des relations avec les usagers rencontrera très prochainement la personne ayant rapporté les propos incriminés. La direction souhaite rappeler son engagement vis-à-vis de la défense des valeurs du service public et pour la qualité de la prise en charge des usagers du Centre Hospitalier».

    […]

    La Dépêche via fdesouche

  • Notre souveraineté nationale morte et enterrée ?

    Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2021

    Un gouvernement démocratique pour sauver la planète ?  s’interrogeait déjà dans son livre Demain qui gouvernera le monde ? Face aux crises économiques, sociales ou écologiques, il décrivait « un monde impossible à vivre, qu’il nous faut donc d’urgence oser rêver tout autre », imaginant les contours d’un gouvernement mondial, d’un projet fédéral géré par un exécutif planétaire.

    attali,demain qui gouvernera le monde,souveraineté nationaleAu micro de France-Culture, l’économiste et écrivain ajoutait « sans une grave crise, un gouvernement supranational du monde ne sera jamais mis en place ». C’était en 2011.

    Dix ans plus tard, la grave crise est bel et bien là. Elle met en lumière notre interdépendance internationale, ne serait-ce qu’en matière de souveraineté pharmaceutique : pour mémoire la rupture de stocks du printemps dernier puisque la majorité des principes actifs venait de Chine, mondialisation heureuse oblige. De cette crise mondiale allait advenir cette utopie du « monde d’après ». « Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner […] à d’autres est une folie » annonçait Emmanuel Macron dans sa « déclaration de guerre » promettant un retour aux relocalisations et aux circuits courts.

    En matière de  nationale, notre président maastrichtien (tel que le nomme  Onfray chez Christine Kelly dans une diatribe éloquente sur notre  à revoir) est inféodé à la Commission de Bruxelles et ses directives venues d’ailleurs. « L’UE est une machine qui permet de déresponsabiliser les élites françaises, qui, en passant par l’échelon européen, n’ont plus besoin de décider et d’assumer leurs décisions, ce qui est pourtant l’essence même du pouvoir », écrit le spécialiste en géopolitique Jean-Loup Bonnamy dans Le Figaro, reprenant à son compte l’analyse d’Emmanuel Todd. Et la gestion de la pandémie l’illustre quotidiennement.

    Mais ce multilatéralisme s’apprête à s’étendre désormais au niveau planétaire puisque vient d’être proposé « un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire ». Point de théorie du complot ou d’arguments illuminés mais bien « un partage des responsabilités » réclamé par vingt-six chefs d’Etat et de gouvernement (dont Emmanuel Macron) et le directeur de l’OMS qui viennent de signer une tribune pour garantir « un accès universel et équitable aux , aux médicaments et aux diagnostics en cas de pandémie ». L’idée d’un gouvernement mondial est lancée, nous promettant de vivre “normalement”, sortir, retrouver nos proches ou voyager grâce à la vaccination de masse, les QR codes et les certificats sanitaires. A moins d’habiter dans un village d’irréductibles Gaulois réfractaires ?

     

    Iris Bridier

    Journaliste

    Auteur

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • L’ancien vice-président de Pfizer met en garde contre la vaccination à grande échelle

    Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2021

    L’ancien vice-président de Pfizer met en garde contre la vaccination à grande échelle

    Le médecin et chercheur britannique Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, a accordé un entretien à Mordechai Sones d’America’s Frontline Doctors (AFLDS), à propos notamment des vaccinations – et en particulier les « vaccinations » expérimentales à ARN messager – en cours. Extrait de la traduction effectuée par Jeanne Smits :

    « Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont décidées à administrer des “vaccins” au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même soutenir que les risques valent la peine d’être assumés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle “mécanistes”, c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ces agents fonctionnent.

    « Mais tous les autres, les personnes en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas identifié.

    « A aucun autre moment, il ne serait sage de faire ce qui est annoncé comme étant l’intention.

    « Puisque je sais cela avec certitude, et que je sais que ceux qui pilotent tout cela le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur mobile ?

    « Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent. Et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose. Sachant que, en parlant de la population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, c’est cela que j’interprète comme un acte maléfique.

    « Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant que la conception de ces “vaccins” consiste à provoquer l’expression, dans l’organisme des receveurs, de la protéine spike, qui a elle-même des effets biologiques indésirables qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation sanguine et activation du “système du complément” immunitaire), je suis déterminé à souligner que les personnes qui ne sont pas menacées par ce virus ne devraient pas être exposées au risque d’effets indésirables de ces agents. »

     

    Source : lesalonbeige

  • La farce de l’augmentation des lits en réanimation

    Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2021

    La farce de l’augmentation des lits en réanimation

    Hier soir, Emmanuel Macron a indiqué que le nombre de lits en réanimation, qui a déjà été porté à 7000, devrait atteindre un peu plus de 10.000.

    Le 28 octobre, il voulait déjà les porter à…10 000. On se souvient qu’il avait tenté de nous faire peur en agitant la probabilité des 400 000 morts…

    nous avons aussi repoussé nos capacités qui sont passées de 5000 lits avant la première vague à 6000 aujourd’hui, nous allons les porter au-delà de 10 000 lits en réanimation.

    Le 27 août 2020, Olivier Véran, ministre de la Santé, avait présenté les mesures d’anticipation prises par le gouvernement pour faire face à la possibilité d’une « nouvelle pression épidémique ». Le gouvernement veut doubler les capacités d’accueil en réanimation, jusqu’à 12 000 lits pourront être mobilisés dans tout le pays.

     

    Source : lesalonbeige