Publié par Guy Jovelin le 13 août 2022
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En France, Big Brother peut compter sur l’aide de la nouvelle agence Viginum qui vous surveille sur les réseaux sociaux
Publié par Guy Jovelin le 13 août 2022
Auteur : Pierre-Alain Depauw
Big Brother, ce n’est pas demain mais aujourd’hui. Sous l’influence des tenants du Nouvel Ordre Mondial, le totalitarisme se renforce de jour en jour et se dote de moyens toujours plus intrusifs pour surveiller nos moindres faits et gestes. En France, l’agence Viginum a reçu pour mission de surveiller internet et les réseaux sociaux et collecte à la demande du gouvernement des données qui concernent votre vie privée, malgré les critiques de la CNIL qui constate que le gouvernement espionne tous les citoyens indistinctement et collecte sur eux des données de tous types.
L’agence Viginum, par décret du 13 juillet 2021, a été instituée en tant que « service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères » rattaché au secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale. Sa direction a été confiée à Gabriel Ferriol, ingénieur Telecom passé par l’ENA puis par la Cour des Comptes.Pour justifier la mise en place d’un tel outil, le décret instaurant l’agence Viginum, dans son article 3, stipule qu’elle a pour rôle de détecter sur Internet les activités “de nature à altérer l’information des citoyens pendant les périodes électorales”, mais aussi “assister le secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale dans sa mission d’animation et de coordination des travaux interministériels en matière de protection contre ces opérations” et de “contribuer aux travaux européens et internationaux, et assurer la liaison opérationnelle et technique avec ses homologues étrangers”.
Mais la CNIL écrit au sujet des méthodes de l’agence :
Le dispositif considéré se décomposera en plusieurs phases. Tout d’abord, une phase de veille et de détection doit permettre de suivre les informations pertinentes sur des thématiques d’actualité afin d’identifier les acteurs ou les évènements ayant un intérêt au regard des missions du service « Viginum ». A ce stade du traitement, le service « Viginum » s’attache à détecter un soupçon relatif à « la diffusion d’allégations ou imputations de faits manifestement inexactes ou trompeuses » avant d’initier l’opération de collecte. Cette phase conduira à la rédaction de fiches dites de « traçabilité » qui détermineront les éléments techniques (mots-clés, éléments sémantiques comme des mots-dièses, éléments chiffrés, rapprochement entre des profils ou groupe de profils d’intérêts, etc.) qui permettront, après une validation humaine, d’orienter l’opération de collecte par la sélection des contenus nécessaires à la mission de caractérisation. La collecte des données à caractère personnel est alors activée sur l’ensemble des plateformes identifiées comme pertinentes, notamment par des techniques d’extraction du contenu de sites, via des scripts ou des programmes automatisés (« webscraping ») ou l’utilisation d’interfaces de mise à disposition des données fournies par les plateformes (ou API, pour « Application Programing Interface »), durant une période initiale de sept jours.
En clair, pour identifier “la diffusion d’allégations ou imputations de faits manifestement inexactes et trompeuses”, tout ce que vous écrivez ou relayez qui contredit la version officielle du Pouvoir dans n’importe quel domaine suffit à vous faire étroitement surveiller. Mais à partir de là, la collecte de données va également concerner l’ensemble des personnes avec qui vous êtes en contact.
La traque s’opère notamment sur Facebook, Twitter, Youtube, Google search, Linkedin, Bing et quelques autres.
La CNIL relève que la méthode soulève des difficultés particulières en termes de proportionnalité.La CNIL écrit à ce sujet :
“Ces informations sont susceptibles de révéler des informations sur un nombre important d’aspects de la vie privée des personnes concernées, y compris des informations sensibles, telles que les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ainsi que l’état de santé ou l’orientation sexuelle”.
La CNIL ajoute que
“la collecte automatisée d’un grand nombre de données à partir des plateformes concernées, selon certains paramètres déterminés par avance (au sein des fiches dites de « traçabilité »), implique la collecte et le traitement de données non pertinentes au regard des finalités poursuivies”.
La CNIL poursuit :
” certaines données à caractère personnel, présentes dans les notes d’analyse précédemment évoquées, seront adressées à de multiples services étatiques et administrations ainsi qu’à des homologues étrangers (…)”. Autrement dit, les collectes de données permettent des “notes d’analyse” qui sont autant de dossiers policiers constitués sur les dissidents, transmis à la police française ou autre…
Source : medias-presse.info
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SCARFACE ou JAMAIS DEUX SANS TROIS
Publié par Guy Jovelin le 12 août 2022
Eh bien, dites donc, il aime ça, le cinéma, le Churchill des cabarets et des tripots de la mer Noire, le Che Guevara des paradis fiscaux du monde libre.Non seulement le sien, mais surtout celui des autres (même si Jessica Chastain, ce n’est pas Nicole Kidman ou Meryl Streep, non plus).Peut-être que lorsqu’il aura obtenu l’autorisation de concourir à l’Académie des Oscars, il consentira enfin à épargner son peuple, juste avant – ou juste après – que toute son armée ait été saignée à blanc et les villes russophones de l’est de l’Ukraine intégralement détruites sous la coupe des bataillons banderistes qui s’y terrent.Plus le temps passe, et plus l’ignominie de ce personnage aussi abject que sans doute précaire (car, contrairement à ce que ressassent depuis six mois les sarcasmes des plumitifs occidentaux, un aventurier juif stipendié qui passe alliance avec des nazis revendiqués et avérés n’est pas certain de conserver une assurance-vie à toute épreuve en cas de défaite) va finir par constituer le résidu d’un type d’humanité bien spécifique que seule la littérature jusqu’à présent avait les moyens de cerner ou de hausser à la grandeur d’un type psychologique.On devrait dire bientôt : un Zelensky, comme on dit un Harpagon, un Sancho Pança, un Bartleby, un Uriah Heep, une Nana ou un Rastignac.Un Pinocchio grimaçant et corrompu, surtout, qui ment toute la journée et joue la comédie de la vertu et du courage parce qu’il a peur que ses Geppetto ne finissent par couper les fils qui le maintiennent en vie.Les Ukrainiens, eux, qu’ils soient de souche ou d’origine russe, sont sans doute ravis de voir que l’homme qui les a précipités vers le chaos et l’abîme est en passe de devenir une star du cinéma hollywoodien international.Sûr qu’ils sont flattés. Ils ne meurent pas pour la gloire du premier Porochenko ou Soros venu, quand même. On n’est pas chez les Bosniaques ou les Albanais du Kosovo, non plus.M’est avis quand même que si, dans les mois ou les années qui viennent, l’actuel président de l’Ukraine connaissait une mort violente, ce ne serait peut-être pas du fait des services russes.La fin de Scarface, elle est plus explicite chez Hawks, je trouve, avec l’essor de ses ombres amplifiées, que dans le grand barnum foutraque de Brian de Palma.Pour autant, je suis sûr que le cinéphile Zelensky préfère de loin la seconde. Allez savoir pourquoi. -
Darmanin ministre de l’Intérieur ? Non, juste une pagnolade…
Publié par Guy Jovelin le 12 août 2022
Par Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia ♦ Dans un texte au vitriol publié dans Breizh-Info il y a quelques jours, Jean-Yves Le Gallou étrille le sinistre Gérald Darmanin.
PolémiaC’est la saison des reprises théâtrales : le fils Belmondo reprend Boeing-Boeing. Darmanin lui rejoue « Retenez-moi ou je fais un malheur ! ». Le créateur du rôle fut un certain Marcellin, ministre de l’Intérieur après 1968. Il rassurait la bourgeoisie à qui il promettait d’éradiquer le gauchisme. Vous voyez le résultat ! Il a surtout dissous Ordre Nouveau coupable d’avoir organisé un meeting contre « l’immigration sauvage ». Il a fini sa vie piteusement, condamné pour emploi de domestiques étrangers clandestins. Classe.
Le flambeau est repris par Poniatowski en 1974, l’inventeur des opérations « coup de poings » : le ministre de l’Intérieur embarque dans un équipage de police suivi par une forêt de caméras. Une technique de communication qui ne s’est pas beaucoup renouvelé depuis.
Avec Defferre (1981) Marseille arrive place Beauvau. Bientôt suivi par Pasqua (1986 puis 1993), doublé de Pandraud, c’est Starsky et Hutch, du nom d’une série de télévision… américaine. Pasqua multiplie les « pasqualinades ». Il annonce qu’il va « terroriser les terroristes ». Et organise à grand bruit un charter pour 101 Maliens. Comme les 101 Dalmatiens. Rassurez-vous ils sont toujours là, ils ont même fait des petits… La technique est éprouvée : une annonce spectaculaire qui fait hurler la gauche. Les médias qui reprennent à l’unisson et, hop, le bon peuple est persuadé que le gouvernement agit. Nada !
Arrive 1997 et la version gauche du scénario avec Chevènement. Côté face je montre les muscles (ah, le ferme républicain que voilà !), côté pile je régularise 100 000 clandestins africains… qui font ensuite venir leur petite ( ?) famille.
En 2002, c’est au tour de Sarkozy de renouveler le rôle, non sans talent il faut le dire : c’est à lui seul une force de réaction (médiatique) rapide aux faits divers. Un parfait trompe-couillons : on attend encore le « karcher » mais avec la fin de la « double peine » les délinquants étrangers coulent toujours des jours paisibles dans la douce (de moins en moins) France.
Et maintenant c’est Darmanin qui habite le costume de lumière de ministre de l’Intérieur : grande gueule, petit bras.
Il y a en France 900 000 clandestins (en 2019 selon Stefanini), 1 300 000 selon Posokhow. On les voit partout trainer dans les rues des villes grandes et moyennes, voire désormais petites. Mais l’annonce de l’expulsion d’un – oui d’un vous avez bien lu – imam radical sans renouvellement de son titre de séjour fait un ramdam d’enfer ! Et Le Figaro titre « Gérald Darmanin : une lutte plus intraitable que jamais contre les délinquants étrangers ». Ah bon, parce qu’il y a déjà eu une lutte intraitable ?
Le grand enfumage continue. Pendant que l’histrion s’agite, le Conseil d’Etat reste aux manettes. Darmanin vient de nommer à son cabinet, comme directeur adjoint en charge des questions juridiques, Manon Perrière,un jeune maître des requêtes au Conseil d’Etat qui veillera à ce qu’aucun texte ne puisse déplaire à ses anciens au Conseil d’Etat et au Conseil constitutionnel. Deux institutions présidées par deux socialistes : Roland Tabuteau et Laurent Fabius. Le Conseil d’Etat assure d’ailleurs sans vergogne la promotion de sa politique immigrationniste en affichant la couleur dès la couverture de son rapport d’activité.
Bref à part deux ou trois mesures cosmétiques, il ne se passera rien. L’invasion continuera. Il faut dénoncer cette supercherie. Les élus, les lanceurs d’alerte et les médias alternatifs vont avoir du boulot !
Jean-Yves Le Gallou
12/08/2022Sources :
Patrick Stefanini, Immigration, ces réalités qu’on nous cache, Albin Michel, 2020 p 39
André Posokhow, Immigration l’épreuve des chiffres, Synthèse, p. 139
Le Figaro, 4 août, https://www.lefigaro.fr/politique/gerald-darmanin-une-lutte-plus-intraitable-que-jamais-contre-les-delinquants-etrangers-20220803Crédit photo : Pierrot75005 [CC BY-SA 4.0]
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Tribunal d’Orléans : Ziyad Ben Khaled, 21 ans, condamné à quatre ans ferme pour proxénétisme, sa victime n’avait que 14 ans au moment des faits
Publié par Guy Jovelin le 12 août 2022
En comparution immédiate ce jeudi 11 août, le tribunal d’Orléans a eu à juger d’une sombre affaire de proxénétisme dont la victime n’avait que 14 ans au moment des faits.
[…]Si ce futur est possible, c’est parce que Nadia a eu le courage de dénoncer les faits. Tout commence quand l’adolescente placée en foyer, car en rupture familiale, est hospitalisée à Daumezon (établissement spécialisé en santé mentale à Fleury-les-Aubrais). Elle y rencontre celle qu’elle qualifie à l’époque de “cousine de cœur”. Cette dernière lui explique comment se faire de “l’argent facile” en se prostituant et la met en relation avec un certain Ziyad Ben Khaled. Nous sommes en juin 2021.
[…]Jusqu’à dix passes par jour
“Je prenais de la cocaïne pour tenir le coup, sinon, je me fatiguais trop vite.”
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