Publié par Guy Jovelin le 09 août 2022
09/08/2022 à 14h19
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Publié par Guy Jovelin le 09 août 2022
09/08/2022 à 14h19
Publié par Guy Jovelin le 09 août 2022
Plusieurs frênes de huit mètres abattus, un terrain de foot flambant neuf massacré. Mi-juillet, après deux semaines d’occupation illégale, la communauté des gens du voyage de 150 caravanes a mis les voiles et laissé une facture salée à la Ville de Sainte-Soulle. Elle reste d’autant plus en travers de la gorge du maire Bertrand Ayral qu’il se sent « abandonné » par les autorités et totalement impuissant. « Ils bénéficient d’une tolérance insupportable. »
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Pour éviter tout trouble à l’ordre public, les forces de l’ordre constatent. Une position qui exaspère Bertrand Ayral : « on accepte cette situation parce qu’ils sont une centaine. Aucun contrôle d’identité n’est effectué. Ils se branchent sur le réseau d’eau, d’électricité… Une impunité totale. » Selon lui, cette installation, qui a duré quinze jours, monte le préjudice à 30 000 euros entre les travaux de remise en état du stade et les charges. « Nos communes n’ont pas des budgets faramineux. » Il a néanmoins réussi à faire payer la consommation d’eau avant leur départ..
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Moins de quinze jours après le départ du premier convoi, un deuxième est arrivé, dimanche 31 juillet. Une centaine de caravanes sont entrées sur le stade après avoir déplacé des pierres d’une demie tonne. Bertrand Ayral va encore une fois déposer une demande d’expulsion en référé au tribunal.
Publié par Guy Jovelin le 09 août 2022
Traumatisme de la cheville et dermabrasions. La septuagénaire qui avait été traînée sur plusieurs mètres par les voleurs de sa Renault Twingo, devant chez elle, à Cesson (Seine-et-Marne), se retrouve avec 10 jours d’incapacité totale de travail. « Elle est très choquée », précise une source policière.
Les faits avaient été commis le vendredi 5 août, vers 12 h 50. La femme, âgée de 78 ans, était en train d’ouvrir son portail. Ayant laissé les clés sur le contact, les malfaiteurs ont aussitôt profité de l’occasion. Mais la victime a tenté d’empêcher le vol en s’accrochant à la portière.
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Déférés au parquet de Melun, ils ont été jugés en comparution immédiate au tribunal correctionnel, le lundi 8 août. Les prévenus écopent d’un an de prison ferme avec mandat de dépôt. En outre, la préfecture de Seine-et-Marne leur a délivré une obligation de quitter le territoire français. Une mesure que devront respecter les auteurs après avoir purgé leur peine.
Publié par Guy Jovelin le 09 août 2022
Un automobiliste a refusé de se soumettre à un contrôle, dans la nuit de lundi 8 à mardi 9 août, à Toulouse. Des policiers ont été blessés. Interpellé, l’homme a été placé en garde à vue.
La Dépêche via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 09 août 2022
Les pro-ukrainiens sont en colère suite à un rapport d’Amnesty International qui met en lumière les « boucliers humains »
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Le rapport d’Amnesty indique que les enquêteursont « trouvé des preuves que les forces ukrainiennes ont lancé des frappes depuis des zones résidentielles peuplées et se sont basées sur des bâtiments civils dans 19 villes et villages » dans trois régions du pays déchirées par la guerre entre avril et juillet.
Le rapport détaille que des écoles et des hôpitaux, ainsi que des maisons de personnes, ont été mis en danger, suggérant des tactiques de type « boucliers humains » utilisées par les militaires ukrainiens.
« De telles tactiques violent le droit humanitaire international et mettent en danger les civils, car elles transforment des objets civils en cibles militaires. Les frappes russes qui s’ensuivent dans les zones peuplées ont tué des civils et détruit des infrastructures civiles », poursuit Amnesty, précisant que cela a entraîné des attaques russes contre lesdites infrastructures civiles.
Le rapport précise également que dans 22 des 29 écoles visitées par une équipe d’Amnesty entre avril et juillet, les enquêteurs ont trouvé des preuves d’une activité militaire antérieure. En outre, cinq cas de troupes ukrainiennes utilisant des hôpitaux comme bases ont été documentés. Le rapport va jusqu’à souligner qu’Amnesty n’a « pas connaissance » de cas où les troupes ukrainiennes auraient d’abord tenté d’évacuer des civils de ces lieux.
Malgré les pressions exercées sur elle pour qu’elle s’abstienne d’enquêter sur la partie ukrainienne et de la critiquer pour ses atteintes aux droits humains, la secrétaire générale d’Amnesty International, Agnès Callamard, a déclaré en publiant le rapport :
« Le fait d’être en position défensive ne dispense pas les militaires ukrainiens de respecter le droit international humanitaire. »
Naturellement, le fait qu’une organisation de défense des droits de l’homme aussi respectée et basée en Occident ait condamné les pratiques de l’armée ukrainienne a provoqué une réaction négative de la part des dirigeants de Kiev, ainsi que de certains experts occidentaux qui sont allés jusqu’à lancer l’accusation classique de type « sympathisants de Poutine »…
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmitry Kuleba, n’a pas tardé à critiquer le rapport d’Amnesty : « Je comprends qu’Amnesty réponde aux critiques en disant qu’elle critique les deux parties du conflit. Mais un tel comportement de la part d’Amnesty ne consiste pas à rechercher la vérité et à la présenter au monde, mais à créer un faux équilibre entre le criminel et sa victime. »
D’autres commentateurs ont déclaré que cela revenait à « blâmer les victimes »…
Le Kremlin, quant à lui, a déclaré que le rapport confirme ce que la Russie dit depuis longtemps. La porte-parole Maria Zakharova a déclaré : « Nous en parlons constamment, qualifiant les actions des forces armées ukrainiennes de tactique consistant à utiliser les civils comme ‘bouclier humain’. »