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  • Moutarde de Dijon : la relocalisation comme remède à la pénurie

    Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2022

    Dans les supermarchés, les hypers et les épiceries à travers la France, les pots de moutarde de Dijon se font rares, voire absents. “Un pot par foyer”, indiquent des affichettes collées sur les rayons désertés. La pénurie, largement antérieure à la guerre en Ukraine, est en fait imputable à la vague de chaleur qui avait amputé de moitié environ la récolte 2021 de graines de moutarde au Canada. Premier producteur mondial, ce pays fournit 80% environ de la graine, les 20% restants étant presque entièrement produits en Bourgogne. Pour remédier à la pénurie,  les cultivateurs bourguignons de graines servant à la fabrication du condiment vont plus que doubler leur production, jusqu’alors largement supplantée par la concurrence canadienne.

    Il est donc très important de faire grossir ce pourcentage pour affronter les aléas climatiques qui sont différents d’un pays à l’autre“, explique à l’AFP Luc Vandermaesen, président de l’Association moutarde de Bourgogne (AMB), qui regroupe les moutardiers ainsi que les cultivateurs de graines de moutarde.

    Jadis très répandue, la culture locale des graines avait fait la réputation de la région de Dijon depuis le Moyen-Âge, mais une multiplication des attaques d’insectes, que la filière ne peut plus combattre avec des produits chimiques désormais interdits, a divisé la production par trois en quatre ans, de 12.000 tonnes en 2017 à 4.000 tonnes en 2021 alors que les moutardiers en voulaient 16.000.

    Mais “les problèmes canadiens ont relancé toute l’importance de la filière en Bourgogne“, explique Fabrice Genin, président de l’Association des producteurs de graines de moutarde de Bourgogne (APGMB).

    Oui, il y a un souci de relocalisation. On ne peut pas mettre tous nos œufs dans le même panier“, estime M. Vandermaesen, également directeur général de “Reine de Dijon”, troisième producteur français de moutarde. Un appel a donc été lancé en juin auprès des producteurs locaux avec pour but de multiplier par 2,5 les surfaces plantées en graines, soit 10.000 hectares contre 4.000 en 2022.

    Pour les motiver, les moutardiers ont mis la main au pot: “On a fait plus que doubler le prix” offert pour la graine de Bourgogne entre les récoltes 2021 et 2023, confesse M. Vandermaesen. De 900 euros en 2021, les cours étaient passés à 1.300 euros en 2022, provoquant déjà une hausse de moitié de la production. Pour 2023, les moutardiers offrent 2.000 euros la tonne.

    A ce prix-là, les candidats ont afflué. “L’appel a été entendu: nous avons un peu plus des 10.000 hectares voulus et le nombre de producteurs est passé de 160 à plus de 500. C’est plus qu’espéré“, explique Jérôme Gervais, expert moutarde à la Chambre d’agriculture de Côte d’Or.

    Car le prix alléchant a fait revenir à la moutarde des brebis égarées. Comme François Détain, cultivateur à Agencourt (Côte d’Or): “le prix qu’on nous propose nous permet de rentrer dans nos clous“, même avec la flambée des engrais due à la guerre en Ukraine, explique-t-il. […]

    actu.orange via fdesouche

  • Bataille judiciaire autour du film « Novembre » : Sonia, qui a permis de localiser des terroristes du 13/11, apparaît vêtue d’un voile islamique dans le film. Or, elle n’en a jamais porté dans la vie réelle. Choquée, elle engage un référé (Màj)

    Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2022

    11/09/2022

    Le JDD – 11 Septembre 2022

     

    Source : fdesouche

  • La richissime famille Cohen organise l’implantation d’une colonie d’une centaine de migrants dans un village breton

    Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2022

    et espère que ce sera la première d’une longue série…

    La mairie de Callac, commune des Côtes-d’Armor.

    « Avec l’aval du maire, Callac a été choisie par une famille fortunée pour y installer des immigrés. Un «village pionnier» qui pourrait devenir «un modèle duplicable» dans d’autres régions. La contestation monte chez les habitants.

    L’idée est de bâtir une «Arche de Noé des temps modernes» en plein cœur de la Bretagne. «Convaincu que les personnes réfugiées sont une chance pour la France» […], le fonds de dotation Merci, une fondation familiale créée en 2009 pour des actions de solidarité, veut faire «la preuve par l’exemple». C’est donc à Callac, une bourgade de 2200 habitants dans les Côtes-d’Armor, retenue parmi une vingtaine d’autres communes, que s’installera le «projet Horizon» : l’objectif est d’«allier l’insertion de réfugiés au développement d’un territoire». Et que ce «village pionnier» devienne «un modèle duplicable» dans d’autres régions. […] » (source)

    Il y a encore, en 2022, des gens qui osent dire que l’immigration est « une chance pour la France ».
    Evidemment, ils prennent leurs interlocuteurs pour des idiots, mais ils considèrent que l’immigration est une chance pour servir leur idéologie, leur projet à eux, leur haine de la France française.

    Cette fondation « Merci » a été créée par une certaine famille Cohen (le couple Bernard et Marie-France [sic] et leurs enfants), comme elle l’explique sur son site. Famille qui a fait fortune en France et remercie ce pays à sa façon…

    Capture d’écran du site de la fondation Merci

    Jetez un coup d’oeil à la liste des soutiens qu’elle affiche sur son site, histoire de peut-être orienter certains de vos choix.

    PS : on notera que les antifas de la région de Callac se mobilisent pour soutenir le projet de ces riches cosmopolites, et veulent affronter les Bretons qui s’y opposent. Tout cela est très habituel mais toujours très significatif du véritable rôle de cette extrême-gauche.

     

    Source : contre-info

  • Arc-sur-Tille (21) : menacée de démolition, la seule église de la commune restaurée et inaugurée après plus de 32 ans de fermeture

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2022

    L’église d’Arc-sur-Tille (Côte-d’Or, 2630 hab.) n’aura jamais été aussi remplie. Des centaines de personnes se sont réunies, ce samedi 10 septembre dans la matinée, pour assister à l’inauguration de l’édifice. “C’est une grande joie de pouvoir partager ce moment aujourd’hui“, s’émeut une habitante de cette commune de l’est de la Côte-d’Or. “Je suis vraiment contente car au moins, j’aurai pu voir l’église rouverte avant que je meure“, sourit une autre riveraine. En novembre de cette année, le maire est contraint de fermer l’église Saint-Martin, la seule d’Arc-sur-Tille, suite à une chute de pierres.

    Malgré la mobilisation de certains habitants, qui s’organisent en une association, les dégâts ne sont pas réparés et la démolition du bâtiment est même envisagée en 2005. Mais l’arrivée d’une municipalité plus conciliante quelques années plus tard permet de mettre le projet de restauration sur les rails. Les travaux démarrent début 2013.

    Au cœur de ce processus de sauvegarde, André Fanjiaud, président de l’association “Une Église Pour Arc-sur-Tille” créée en 1991. “C’est le combat de 32 ans de vie“, affirme-t-il. “Il y a toute une histoire, tout un passé à cette église. Des générations entières y ont vécu une histoire très forte. Ce sont nos racines, on doit les respecter.”

    Cette église est notre seul patrimoine culturel, il était important de la réhabiliter“, ajoute Patrick Morelière, maire (UDI) de la commune, qui a entamé le projet de rénovation lors de son premier mandat. “Soit on détruisait, comme c’était prévu par l’ancienne municipalité, soit on essayait d’avancer pierre par pierre et de la sauver. Notre objectif, c’était de rendre ce bâtiment au culte.” Outre la pratique religieuse, l’église doit également, à terme, accueillir des activités culturelles comme des concerts.

    France3-régions via fdesouche

  • Ukraine : «Il faut continuer à sanctionner la Russie, quoi qu’il nous en coûte», juge François Hollande

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2022

    Fournir des armes à l’Ukraine et continuer à taper sur la Russie. François Hollande a décliné ce jeudi au micro de France Inter ses convictions dans la résolution du conflit démarré le 24 février dernier par Vladimir Poutine. Pour éviter « le statu quo », et que « la guerre s’installe sur une sorte de conflit gelé », François Hollande recommande « de continuer à fournir des armes aux Ukrainiens, de sanctionner économiquement la Russie, et enfin d’isoler politiquement Vladimir Poutine ». L’ex-président dénonce par ailleurs une forme d’indulgence à l’égard du président russe de la part de la classe politique, et d’Emmanuel Macron.

    François Hollande a mis en garde sur le risque d’une certaine lassitude par rapport au conflit. « Certains se demandent est-ce que ça vaut la peine, pour quelques bouts de territoires, de se geler l’hiver ? Si on se laisse aller à cette inclinaison, les régimes autoritaires gagneront », a-t-il prévenu.

    Interrogé sur les propos de Ségolène Royal, qui avait mis en doute la réalité du bombardement russe de la maternité de Marioupol, l’ancien président estime parle d’une « mauvaise appréciation de la situation ». « Elle a été amenée à démentir ses propos et elle a bien fait. La propagande russe est partout », a-t-il affirmé.

    Autre sujet de cette rentrée, l’énergie et particulièrement le nucléaire, que François Hollande est accusé d’avoir « laminé » par certains membres de l’opposition. Pour rappel, sous son quinquennat, le président avait fixé l’objectif de réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité à 50 % en 2025.

    « Il était légitime d’arrêter des réacteurs conçus pour fonctionner 40 ans. (… ) La part du nucléaire va de toute façon baisser au fur et à mesure avec le renouvelable et les centrales seront remplacées par des nouveaux réacteurs, s’est défendu François Hollande. Pendant le quinquennat qui a été le mien, la production d’électricité d’origine nucléaire n’a pas varié : 400 térawatts au début, 400 térawatts à la fin ». […]

    Le Parisien via fdesouche