GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France - Page 522

  • Guerre russo-ukrainienne : pourquoi les Anglosaxons ont déjà gagné depuis le premier jour

    Publié par Guy de Laferrière le 25 février 2023

    Un an de guerre, de morts, de blessés, de destruction dans une guerre officiellement entre la Russie et l’Ukraine, officieusement entre les Etats-Unis et sa vassal la Grande-Bretagne, via l’Otan, et la Fédération de Russie. Le vieux rêve anglosaxon de couper l’Europe  de la Russie prend corps à nouveau sur les corps sacrifiés et mutilés des Ukrainiens. Les Américains iront-ils jusqu’à sacrifier le dernier Ukrainien pour arriver à leur fin ?

     

     

    Le peuple ukrainien fait le sale boulot pour les États-Unis

    « Le brave peuple ukrainien fait le sale boulot de ce que nous n’avons jamais voulu faire ici aux États-Unis, c’est pourquoi nous devrions continuer à vous soutenir avec tout ce que nous pouvons, que ce soit des munitions, des armes ou des renseignements. »

    C’est ce qu’a dit l’ancien sous-secrétaire à la Défense à l’époque de Trump (sic), Mark Esper, pensant s’entretenir avec l’ex-dirigeant ukrainien Porochenko (il a plutôt parlé avec les deux provocateurs russes bien connus qui se sont spécialisés dans ces appels téléphoniques). 

    Le journaliste et analyste géopolitique Maurizio Blondet a signé hier, 24 février 2023, un intéressant article sur son blog Blondet & friends qui souligne l’intérêt des Anglosaxons dans l’actuel conflit. Le « sale boulot » explique Blondet « est évidemment de sacrifier des centaines de milliers de soldats ukrainiens pour le but stratégique qui aurait coûté cher en vies américaines : le but défini par l’étude RAND Corporation de 2019 sous le titre Overextending Russia (Dépassement et déséquilibre de la Russie), comme le répète également Thierry Meysan.

    « Étendre la Russie, la forcer à consommer de plus en plus ses vies humaines en uniforme et ses moyens militaires, l’épuiser jusqu’à l’épuisement et la réduire au minimum, prête au démembrement en petits États plus petits et plus inoffensifs, vassaux de l’Occident. Pour cela, Esper a déclaré: « Arrêtez les efforts, que ce soit les Français, les Allemands ou toute autre personne essayant de négocier avec les Russes », a-t-il dit. »

    Le monde anglosaxon a déjà gagné en séparant irrémédiablement pour un temps très long l’Europe de sa voisine la Russie

    Pour Blondet, et d’autres analystes, le monde anglosaxon a déjà gagné en séparant irrémédiablement pour un temps très long l’Europe de sa voisine la Russie :

    « Il faut reconnaître que le monde anglo-saxon a déjà gagné dans son objectif géostratégique défini il y a plus d’un siècle par la doctrine Hearthland : séparer à jamais les « alliés européens » des approvisionnements énergétiques russes, à travers lesquels cette fusion s’opérait aussi avec la Chine en un immense bloc économique continental intégré « de Lisbonne à Vladivostock et Shanghai », gouverné par des convenances économiques mutuelles pacifiques et non par des menaces mutuelles : un ensemble plus qu’autosuffisant, auquel la piraterie anglo n’aurait plus rien à offrir – pas même des menaces de guerre. »

    Les grands perdants de cette guerre, outre les Ukrainiens, la déroute de la Russes n’étant pas au rendez-vous comme escompté par les orgueilleux stratèges atlantistes, sont indubitablement les Européens malgré les rodomontades de leurs politiciens tels la va-t-en-guerre qui s’est érigée en patronne de l’Union Européenne, Ursula von der Leyen, ou le « brillant » économiste français Bruno Le Maire.

    « Maintenant, analyse Maurizio Blondet, il est également évident que les gouvernements européens sont ceux que les Anglos ont blessés en tant qu’ennemis, pire que s’ils étaient les vrais ennemis. Le fait qu’aucun de ces gouvernements européens n’ose même pas prendre note de qui a commis le sabotage stratégique de Nord Stream, bien que le journaliste Seymour Hersh le leur ait écrit et documenté, les États-Unis, pas la Norvège, devrait faire comprendre ceci : que les gouvernements européens sont sous la menace mortelle de l’Anglo (et de ses complices internes, qui soutiennent les intérêts anti-nationaux anglo), et non plus dans un régime de liberté. »

    Les grands perdants de cette guerre, outre les Ukrainiens, sont les Européens

    « Ils ne peuvent que déclarer leur amour pour Zelenski, et leur admiration pour les Ukrainiens qui font le sale boulot en mourant par milliers pour l’Empire anglo, et lui envoyer leurs propres armes jusqu’à épuisement : diminuant ainsi leur propre endurance » continue Blondet., qui écrit aussi : 

    « Et peut-être qu’ils n’ont même plus vraiment besoin d’envoyer des F-1, tant qu’ils l’annoncent dans les gros titres des journaux ; l’important est de faire durer la guerre plus longtemps, d’user la Russie jusqu’à l’épuisement définitif et irréversible, ou de la forcer à passer au « plus haut niveau », évidemment tragique et meurtrier, et même pas un remède à la précédente situation : l’intégration de l’Europe de l’Ouest au grand Heartland.

    « Je ne vois pas de « mouvement gagnant » possible de la part de Poutine. Sinon changement profond de l’autre côté, Washington. Un changement pas tout à fait inimaginable, étant donné la (vague) possibilité que Trump revienne au pouvoir – et perturbe la politique anglo-saxonne, comme il l’a proclamé dans un discours récent. »

    Les Américains, auto-proclamés la conscience morale universelle, iront-ils jusqu’à sacrifier le dernier Ukrainien pour arriver à leur fin ? On le dirait bien…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Pourquoi le carême n’a rien à voir avec le ramadan

    Publié par Guy de Laferrière le 25 février 2023

    don_camillo-230x180.jpg

    De l’abbé Danziec dans Valeurs Actuelles :

    Dans un collège privé, la catéchiste interroge les élèves présents au cours (non obligatoire) d’instruction religieuse : « qu’est-ce que le carême ? ». Une main hésitante se lève pour une réponse incertaine : « Le carême, c’est pas un peu le ramadan des catholiques madame ? ». Voilà donc l’ignorance crasse en matière religieuse à laquelle ont abouti cinquante ans de prédication hasardeuse et de logique d’enfouissement de l’Eglise en France. Non seulement, une quantité non-négligeable de personnes – de baptisés même – ignore aujourd’hui la signification profonde du carême, mais ils sont de plus en plus nombreux à le définir en référence à un islam plus visible, plus affirmatif et plus décomplexé.

    Les rigueurs de circonstance que s’imposent catholiques et musulmans en ces périodes ne sont pas seulement différentes dans leurs contours. Elles divergent également quant à leur but. Le chrétien est appelé à se comporter aux yeux du monde comme s’il ne jeûnait pas « pour que ton jeûne soit connu, non des hommes, mais de ton Père qui est là dans le secret ; et ton Père, qui voit dans le secret te le rendra » (Mt 6, 16-18). A l’inverse, le Ramadan s’accompagne d’une surveillance étroite de chaque musulman dans la “communauté des croyants”. Le courageux maire de Montfermeil, Xavier Lemoine, rapportait son expérience du ramadan dans sa ville, évoquant la police des poubelles effectuée entre voisins pour s’enquérir de la stricte observance des prescriptions coraniques dans le quartier ou encore le piétinement des goûters des élèves chrétiens ou sans confession par les élèves musulmans dans les cours d’école de sa ville.

    Lors du Ramadan, dès le coucher du soleil, tous les interdits cessent pour le musulman. Pour le chrétien, il ne s’agit pas de compenser le soir ce dont on s’est privé durant la journée mais de faire œuvre de sacrifices discrets et de renoncements joyeux. De s’exercer patiemment à toutes les privations que sa conscience lui indique devant Dieu : l’alimentation, les écrans, les dépenses futiles. Cette grande retraite annuelle des fidèles vise à renouveler les cœurs, par un soin plus diligent porté à la vie de prière, au dépouillement, au travail des vertus, le tout couronné par une confession sincère de ses fautes.

    Comme le souligne Annie Laurent, spécialiste de l’Islam, alors que dans le Ramadan l’accent est mis sur l’exercice de la volonté et l’obéissance à Allah qui en a commandé l’observance, le carême est une réalité avant tout spirituelle et personnelle. Tandis que le ramadan relève d’un pilier injonctif dépourvu de toute signification autre que la soumission (qui est le sens même du mot « islam »), le carême relève d’une invitation à se convertir au Christ. Un combat intérieur à la mesure d’un Dieu aimé, qui rappelle la haute valeur civilisatrice du sacrifice offert gratuitement.

    Pour Hélie de Saint-Marc « si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu ». La leçon chrétienne du carême appartient à cette veine. Dans la société du moindre effort, elle a même la valeur d’une leçon de survie.

     

    Source : lesalonbeige

  • La vérité ne meurt pas

    Publié par Guy de Laferrière le 24 février 2023

    « Je n’appartiens pas à un monde qui disparaît. Je prolonge et je transmets une vérité qui ne meurt pas. »

    Nicolás Gómez Dávila, Les Horreurs de la démocratie

     

    Source : medias-presse.info

  • Apéros de grillons à 750 euros le kilo !

    Publié par Guy de Laferrière le 24 février 2023

    Un lecteur nous transmet cette photo prise dans un supermarché. Il s’agit de différentes petites choses à grignoter en apéritif. Regardez d’un peu plus près. Oui ce sont des grillons et autres « insectes comestibles « . Chacune de ces boîtes est vendue entre 3,75 euros et 4,50 euros. Mais regardez la photo encore d’un peu plus près et voyez ce que cela signifie comme prix au kilo. Oui, vous lisez bien : cela oscille entre 750 et 780 euros le kilo ! A ce prix-là, on préfère le caviar…

    Méfiant, j’ai été vérifié sur le site du fabriquant. Et c’est bien vrai. Ces boîtes pèsent seulement 5 grammes pour 3,75 à 4,90 euros la boîte.

    Si les gens tombent dans le panneau, c’est qu’ils sont vraiment masochistes.

     

    Source : medias-presse.info

  • Le président tunisien Kais Saied dit non au « Grand remplacement » de l’identité de son pays par la submersion subsaharienne

    Publié par Guy de Laferrière le 24 février 2023

    Ils n’en reviennent pas tous nos immigrationnistes de salon : quoi ? comment ? vraiment ? Vous êtes sûrs ?

    Eh, bien oui, vous ne cauchemardez pas chers bobos wokistes : c’est bien un président maghrébin qui a déclaré ne pas vouloir que son pays soit « grand-remplacé » par la submersion sub-saharienne ! En un mot comme en cent, par l’invasion des populations noires du continent africain.

    Même Jean-Marie Le Pen, aux plus grandes heures de ses provocations prophétiques, n’était jamais allé aussi loin dans la formulation identitaire !

    Et en effet, le 21 février, Kais Saied a présidé une réunion du Conseil de sécurité nationale «consacrée aux mesures urgentes qui doivent être prises pour faire face à l’arrivée en Tunisie d’un grand nombre de migrants clandestins en provenance d’Afrique subsaharienne».

    Dénonçant l’arrivée de «hordes des migrants clandestins» dont la présence en Tunisie est selon lui source de «violence, de crimes et d’actes inacceptables», le Président tunisien a appelé les autorités à agir «à tous les niveaux, diplomatiques sécuritaires et militaires» pour faire face à cette immigration et à «une application stricte de la loi sur le statut des étrangers en Tunisie et sur le franchissement illégal des frontières».

    Toute la gauche internationale outrée et scandalisée a aussitôt vu dans cette diatribe anti-immigration le soutien aux « thèses complotistes d’un nouveau parti d’extrême tunisien, le Parti National Tunisien« .

    Seulement, voilà, ce qui est impensable pour nos bien-pensants, c’est que le président tunisien dénonce lui aussi un complot à travers cette immigration clandestine qui relève d’une «entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la Tunisie».

    Pourquoi ce qui est vrai en Tunisie ne le serait pas en terre de France ?

     

    Source : hmedias-presse.info