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émeutes - Page 4

  • Grèves, manifestations, émeutes... Vers le chaos.

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Membre du Bureau Politique du Parti de la France

    C'est une règle reconnue: confronté à une difficulté, tout dirigeant politique a tendance à vouloir refaire ce qui a déjà fonctionné une fois.

    Pour avoir réussi — mais pour combien de temps ? — à endiguer le mouvement des Gilets jaunes à défaut d'avoir pu en calmer la juste colère, Macron espère, par la concertation, le débat, la conciliation et la procrastination, pouvoir éviter que les grognes catégorielles qui montent contre la réforme des retraites et la mobilisation des personnels hospitaliers ne se cristallisent et se transforment, attisées et encadrées par les syndicats politiques, en tsunami social.
     
    La paralysie quasi totale des réseaux de la RATP vendredi dernier apparaît comme un sévère coup de semonce, en attendant les mouvements qui se préparent à la SNCF et dans la fonction publique pour la sauvegarde des privilèges acquis grâce aux scandaleux régimes spéciaux, tandis que les professions libérales entendent bien se faire entendre pour défendre leurs caisses autonomes.
     
    Débats donc, encore et encore, y compris sur l'immigration pour tenter de faire croire au bon peuple que ses préoccupations sont entendues, comprises et seront prises en compte. 
     
    Pour autant, cette fois, l'Exécutif n'a pas, face à lui, un mouvement désordonné mais des organisations aguerries, des centrales politisées, des militants structurés et disciplinés dont l'objectif reste révolutionnaire et la méthode stratégique "l'agrégation des luttes".
     
    La résurgence des manifestations violentes noyautées par les activistes gauchistes comme on a pu le constater samedi à Nantes et comme on le verra sans nul doute samedi prochain à Paris, la perspective de grèves perlées ou massives qui paralyseraient le Pays, la lassitude et le manque de moyens des forces de l'ordre dont les conditions d'emploi sont incohérentes et inadaptées, peuvent créer demain les conditions d'un chaos dont sauront profiter non seulement les organisations d'extrême gauche, mais aussi, et sans doute surtout, les racailles venues d'ailleurs, sans parler de l'islamisme politique qui, dans de nombreuses villes, n'attend que la désagrégation des pouvoirs publics pour étendre son emprise.
     
    Face à ces menaces, le pouvoir, le dos au mur, tergiverse et blablate.
     
    Le grand mensonge de la Macronie est d'avoir voulu faire croire qu'il était le parti de l'ordre. Il n'est que celui de la faiblesse et de l'impuissance alors que la France a désormais un besoin vital d'un pouvoir national fort et autoritaire. 
     
    Urgemment !
  • Grenoble : nouvelle nuit d’émeutes

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2019

    Auteur : Pierrot
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    La France d’après, le rêve des idéologues cosmopolites

    C’est dans ce genre de circonstances que l’on mesure l’intérêt pour le pouvoir de conserver de la proximité avec la caste journalistique. Les recopieurs de dépêches AFP rivalisent d’ingéniosité littéraire pour minorer la gravité des soulèvements grenoblois. Alors que les Gilets jaunes étaient accusés de tous les maux, les émeutes de Grenoble sont qualifiées d’incidents, de troubles, de tensions, d’échauffourées (ici et ici) et bientôt du rififi et des chamailleries !

    Trouvé sur 20 minutes : Les troubles ont débuté vers 21h lorsque plusieurs voitures ont été retournées et brûlées. Huit au totalement auraient été incendiées. Des cocktails molotov ont également été lancés depuis les toits des immeubles sur les forces de l’ordre lorsque la police a effectué des fouilles dans les parties communes de plusieurs tours du quartier.

    Un policier a été blessé, il souffrirait d’une fracture à la main. Enfin, deux individus ont été interpellés, indique une source policière. Elles portaient des objets dangereux (couteaux, mortiers, jerricane d’essence…), précise la préfecture.

    La mort des deux garçons, survenue samedi, avait déjà provoqué trois nuits d’émeutes consécutives dans le quartier. Les tensions étaient retombées mardi soir, la veille de la marche silencieuse. Mais dans les rues de la cité, beaucoup tiennent la police responsable du drame qui s’est noué.


    Source : contre-info

  • Emeutes à Grenoble : on entend moins Christophe Castaner

    Publié par Guy Jovelin le 05 mars 2019

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    Emeutes à Grenoble : on entend moins Christophe Castaner

    Cela fait trois jours que Grenoble connaît l’émeute des racailles et cela provoque moins de réaction que les manifestations des gilets jaunes. Les affrontements se poursuivent entre des dizaines de voyous et les gendarmes et policiers. Des parpaings tombent depuis le haut des immeubles. Des boules de pétanque et des cocktails Molotov ont été jetés depuis les toits ou les étages du quartier Mistral. Un homme d’environ 25 ans a été interpellé.

    Des habitants ont aussi monté ou tenté de monter des barricades par petits groupes très mobiles d’une quinzaine de personnes. Vers 22 heures, un feu d’artifice a été tiré au milieu des bâtiments.

     

    Source : lesalonbeige