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avortement - Page 6

  • La République est en danger : des autocollants ont été collés

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

    La République est en danger : des autocollants ont été collés

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    Des autocollants représentant un fœtus et un poignard ont été collés sur la devanture d’un centre du Planning familial situé dans le Xe arrondissement, dans la nuit de dimanche à lundi. Le Planning familial a déposé plainte. Caroline Rebhi, coprésidente du Planning familial, déclare :

    «Ces images représentent un fœtus et un poignard, ce qui sous-entend que l’avortement serait un crime. Les autocollants reprennent notre charte typographique. Ils ont probablement été collés par des militants anti-choix. »

    C’est la deuxième fois en moins d’un mois que des locaux du Planning familial subissent des dégradations de ce type. Des faits similaires se sont produits à Nantes le 21 mai.

    « Ces attaques sont liées et accentuées par le contexte autour du projet de loi bioéthique, notamment sur les questions de PMA et sur l’allongement des délais d’avortement ».

    « Les militants anti-choix sont bien organisés et très actifs au niveau national et européen, sans que l’on sache réellement de quel groupe il s’agit. Cette violence nous trotte dans la tête car nous savons que notre association peut être une cible ».

    Élisabeth Moreno, ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a condamné les faits, rappelant que

    « le droit à l’avortement est un droit inaliénable des femmes. Nous le défendrons partout où il sera remis en cause. »

     

    Source : lesalonbeige

  • Un juge fédéral argentin ordonne la suspension de la loi sur l’avortement

    Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2021

    Un juge fédéral argentin ordonne la suspension de la loi sur l’avortement

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    Le président du Tribunal fédéral n° 4 de Mar del Plata, Alfredo Eugenio López, a décrété une mesure conservatoire ordonnant à l’État national de suspendre l’application de la loi sur l’avortement au motif qu’elle viole la protection intégrale de la vie dès la conception.

    Dans sa décision, le magistrat a usé d’un arrêt de la Cour suprême datant de 1980, selon lequel

    « la vie est le premier droit de la personne humaine qui est reconnu et garanti par la Constitution nationale ».

    Il a considéré qu’en raison de l’intérêt supérieur de l’enfant et de la capacité juridique que la loi n° 26.061 reconnaît à tout citoyen d’engager une action en justice pour sa protection, les conditions requises pour l’établissement d’un cas litigieux étaient réalisées.

     

    D’autre part, le magistrat a déclaré l’inconstitutionnalité de la loi n° 26.854 sur les mesures de précaution contre l’État, au motif qu’elle viole la séparation des pouvoirs et la protection judiciaire.

    Le juge a également fait valoir que la mesure de précaution était appropriée car la prise en charge complète des personnes ayant droit à l’interruption légale de grossesse

    « affecte et met en danger la vie, la dignité et les droits de l’enfant à naître, ainsi que ceux de la mère enceinte ».

    Il a ainsi conclu que le droit à la vie reconnu dans la Constitution nationale, dans la Convention internationale des droits de l’enfant et dans la Convention américaine des droits de l’homme est en danger.

    Le recours se poursuivra après que l’État national aura présenté ses rapports, demandés après l’émission de l’injonction.

     

    Source : lesalonbeige

  • Hongrie : Entre 2010 et 2018, le taux d’avortement a chuté de 33,5%

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2020

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    Hongrie : Entre 2010 et 2018, le taux d’avortement a chuté de 33,5%

    L’Ambassadeur Edouard de Habsbourg-Lorraine parle de la politique familiale exceptionnelle de la Hongrie dans un entretien à IFamNews :

    Avant l’élection d’Orbán, la Hongrie était au bord de l’effondrement démographique. Ses politiques en faveur de la famille ont-elles eu un effet positif?

    Tout d’abord – la crise démographique ne touche pas seulement la Hongrie. Le pape François l’a dit laconiquement devant les ambassadeurs de l’UE: « Gli Europei non fanno piu figli » (« Les Européens ne font plus d’enfants »). La Hongrie n’est active dans ce domaine que depuis quelques années, car un pays sans familles fortes ne fonctionne tout simplement pas. Et les résultats sont absolument spectaculaires. Entre 2010 et 2018, le taux d’avortement a chuté de 33,5%, les mariages ont augmenté de 43% et les divorces ont également chuté de manière significative – de 22,5% entre 2010 et 2017. Et c’était AVANT la nouvelle initiative familiale des deux dernières années. En 2019, il y a eu 84% de mariages en plus par rapport à 2010 en raison de ces nouvelles mesures. Et en 2020, la fécondité, le nombre d’enfants par femme, est de 20% plus élevée qu’en 2010. Oui, vous pouvez changer les choses. […]

    Quel élément de la politique familiale s’est jusqu’à présent révélé particulièrement efficace?

    Si un État souhaite encourager les familles à se lancer dans l’aventure des (grandes) familles, il doit d’abord y mettre les moyens. Un mélange d’allégements fiscaux et de soutien financier direct est très important. Quelques exemples: à partir du troisième enfant, vous ne payez pratiquement aucun impôt sur le revenu, une femme avec quatre enfants ne paie plus d’impôts. Il existe des prêts pour les jeunes couples mariés que vous n’avez pas à rembourser à partir du troisième enfant. Il existe également des prêts pour la construction de maisons, un soutien financier pour les grandes voitures familiales. Les grands-parents reçoivent un soutien pour la garde d’enfants.

    Mais il est également important qu’il soit socialement bien accepté d’avoir de nombreux enfants. La famille est particulièrement encouragée dans la Constitution. Et tout est toujours plus facile lorsque des personnalités publiques se présentent comme pro-famille. Le Premier ministre Orbán est clairement et visiblement père de famille et pro-famille, notre ministre de la Famille et bien d’autres se montrent comme pro-famille et comme mères et pères de famille. Cela donne l’exemple et encourage les gens.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’Angleterre impose de force l’avortement en Irlande du Nord

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2020

    L’Angleterre impose de force l’avortement en Irlande du Nord

    La chambre des lords a très largement adopté, par 355 voix contre 77, les « règlements » par lesquels les députés britanniques ont imposé l’avortement en Irlande du Nord. Et cela malgré le vote de l’Assemblée d’Irlande du Nord, qui les a rejetées le 2 juin.

    La baronne Nuala O’Loan, qui mène le combat contre cette réglementation depuis le début, a présenté un amendement qui la rejette, au motif que

    • les élus d’Irlande du Nord l’ont rejeté,
    • un sondage a montré que 79% des habitants étaient contre,
    • plus de 18.000 Nord-Irlandais viennent de signer une lettre aux lords et aux députés pour leur demander de ne pas approuver ce règlement.

    Son amendement a été rejeté par 388 voix contre 112.

    Le baron Alton a souligné que le « débat » avant le vote avait été une parodie de démocratie : chaque intervenant avait droit à une minute : 18 contre, 20 pour. Et les dirigeants des partis avaient un temps additionnel pour se manifester en faveur de l’avortement, tandis que les trois pairs d’Irlande du Nord n’eurent pas la parole

    Lord Willie McCrea, faisant allusion aux discours du gouvernement pendant l’épidémie de covid-19, a remarqué :

    « Chaque jour nous avons entendu une homélie de ministres nous disant combien il est important de sauver des vies, pourtant rien que l’an dernier près de 210.000 enfants ont été perdus à cause de l’avortement » en Angleterre et au Pays de Galles.

    Le texte va être (re)voté demain par la chambre des Communes.

     

    Source : lesalonbeige

  • « Les services de santé sexuelle et reproductive » incluent l’avortement

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2020

    « Les services de santé sexuelle et reproductive » incluent l’avortement

    Un groupe des droits de l’homme des Nations Unies a critiqué plusieurs États américains parce qu’ils ont déclaré cette semaine que l’avortement était un service non essentiel pendant le confinement lié au COVID-19, en affirmant que « l’avortement légal et sûr » est un élément clé des « prestations de service de santé sexuelle et reproductive ». Le groupe a également dénoncé une récente lettre du chef de l’agence des États-Unis d’aide à l’étranger appelant à la suppression de l’expression « santé sexuelle et reproductive » d’une résolution de l’Assemblée mondiale de la santé.

    La déclaration est venue du Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles, qui fait partie des Procédures Spéciales du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies. Les États-Unis se sont retirés du Conseil en 2018. La déclaration a ensuite été approuvée par les rapporteurs spéciaux des Nations Unies, dont le mandat couvre la santé et la violence à l’égard des femmes. Celles-ci font partie des Procédures Spéciales de l’ONU.

     

    Source : lesalonbeige