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“Ils m’ont pris ma maison, celle où j’ai grandi et fondé ma famille”, s’indigne Roland. Ce retraité de 88 ans lutte depuis le mois de septembre pour expulser des squatteurs qui se sont installés dans son habitation, située avenue de Fronton, à Toulouse.
Depuis plusieurs mois, cet ancien salarié de La Dépêche du Midi navigue entre sa propriété toulousaine et un appartement loué dans un département voisin pour se rapprocher de sa femme, Odile, placée dans un Ehpad. Jusqu’à septembre, il revenait chaque semaine avenue de Fronton pour se reposer et entretenir la maison. Lorsqu’il n’était pas présent, une aide ménagère récupérait le courrier et s’assurait que tout allait bien.
33 victimes, 18 prévenus : le procès dit de “la mendicité bulgare” s’ouvre à Toulouse
Le procès dit de la « mendicité forcée bulgare » s’ouvre ce lundi 18 janvier devant le tribunal correctionnel de Toulouse. 18 personnes sont poursuivies pour traite d’êtres humains, blanchiment aggravé et exploitation de la mendicité. Les victimes ont été rapatriées en Bulgarie.
Une victime décrit une organisation bien rodée, avec une tête de réseau, un intendant, une personne chargée de collecter l’argent et une autre en charge de la surveillance des mendiants.
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La défense réfute l’idée de riches d’un côté et de mendiants de l’autre
Contrainte par la force de mendier, chaque victime rapportait entre 60 et 150 euros par jour. Un tableau sombre que tempère maître Alexandre Martin. Avec son associé il représente une famille de six personnes, soit un tiers des prévenus :
Il n’y’a pas d’un côté les riches mafieux et de l’autre les mendiants. Peut-être que certains en ont profité. Mais la présentation binaire qui en est faite est fallacieuse”
Le site Acontrecorps.com publie une étude sur la présence des « géants de la malbouffe » dans les grandes villes françaises. Bordeaux est en tête, tandis que Toulouse se place à la 17e place. Un derby perdu, mais sans regret ni rancune.
Le classement des villes abritant le plus grand nombre d’enseignes issues de grandes chaînes de fast-food par rapport à la population, a été publié, mardi 12 janvier sur le site Acontrecorps.com, un média de santé et de bien-être.
« Alerter sur la présence accrue des géants de la malbouffe »
Une étude portant sur les 32 plus grandes villes françaises, et sur la présence de 16 grands chaînes de restauration rapide, prônant la « malbouffe ». Parmi elles, McDonald’s, Burger King, Quick, KFC, Paul, La Brioche Dorée, Domino’s Pizza, Subway, La Mie Câline, Starbucks, La Croissanterie, Pizza Hut, Pomme de Pain, O’Tacos, Bagelstein et Speed Burger. L’objectif affiché par le site est « d’alerter sur la présence accrue des géants de la malbouffe et d’inciter les métropoles à être vigilantes et limiter ce mode d’alimentation, principal vecteur d’obésité chez les jeunes ».
En tête de ce triste classement, Bordeaux avec 51 enseignes implantées dans sa ville, dont 11 McDonalds, 9 Paul et pas moins de 5 Starbucks. Dans cette ville de 260.352 habitants, le total pour 1.000 habitants en 2021 est de 0,1959. La capitale de la Guyenne est suivie par Tours, avec un total de 24 enseignes et un taux de 0,1724 pour 1.000 habitants. Metz, Limoges et Lille suivent. Paris se classe à la 7e place, avec un total record de 336 enseignes.
Toulouse 17e
Toulouse se classe à la 17e place avec un total de 60 enseignes de la « malbouffe » implantés dans nos rues. Soit un taux de 0,122 pour 1.000 habitants. Cette étude nous permet de savoir en détail le nombre de commerces, par groupe, qui composent les rues de la ville rose. On dénombre 13 McDonalds, 2 Quick, 3 Burger King, 5 KFC, 4 Paul, 3 Brioche Dorée, 6 Domino’s Pizza, 7 Subway, 3 Mie Câline, 3 Starbucks, 3 La Croissanterie, 3 Pizza Hut, 1 Pomme de Pain, 2 O’tacos, 1 Bagelstein, 1 Speed Burger.
La limite de cette étude est qu’elle se concentre sur les grands groupes mais ne prend pas en compte les nombreux petites chaînes et commerçants indépendants, dont les kebabs qui se multiplient dans les rues.
Ils mangeaient des graines de tournesol, les fameuses pipas. Et crachaient, comme de rigueur, les enveloppes par terre, après s’être régalé de leur contenu. Le problème, c’est que ces deux ados de 14 et 16 ans ne se trouvaient pas dans la rue, en plein air, mais… dans le métro de Toulouse.
L’épouse également violentée
De plus, en ce début d’après-midi du mardi 5 janvier, le quai de la station Jean-Jaurès était assez fréquenté. C’est d’ailleurs ce qu’un homme en fauteuil roulant a fait remarquer aux deux lascars. Arguant que l’épidémie de Covid-19 était loin d’être révolue et que cracher au sol dans un lieu clôt n’était ni d’une intelligence ni d’un respect à couper le souffle.
Les deux jeunes n’ont semble-t-il pas bien pris l’admonestation. S’affranchissant de l’âge et du handicap de la victime, ils l’ont frappée (1 jour d’ITT). L’épouse, âgée de 54 ans a également été violentée (1 jour d’ITT), de même que le fils du couple, âgé de 24 ans.
La soirée de la Saint-Sylvestre a été marqué par plusieurs incidents à Toulouse. Une vingtaine de véhicules ont été la proie d’incendies volontaires.
Le couvre-feu semble avoir été plutôt bien respecté dans le département, où environ 200 amendes pour non-respect de la mesure ont été dressées sur l’ensemble du département en zone gendarmerie, selon le général Jacques Plays interrogé parLa Dépêche. Mais dans certains secteurs, plusieurs incidents ont émaillé la nuit du réveillon, obligeant les forces de l’ordre à intervenir à plusieurs reprises.
Au total, une vingtaine de véhicules ont été incendiés pendant la nuit du réveillon à Toulouse. Les policiers ont dû intervenir dans les quartiers de Bagatelle et de Bellefontaine. Un équipage de la Brigade anti-criminalité (BAC) ont été la cible de tirs de mortiers, rue Paul-Gauguin, qui ont dû riposter par des tirs de grenade. Aucun blessé n’est à signaler, précise Actu Toulouse.
Des chiffres inférieurs à l’année précédente où une trentaine d’incendies ont été déclenchés durant le passage à l’année 2020. En 2019, 43 véhicules ont été la proie des flammes.
Une « tentative d’homicide » place Arnaud-Bernard
Plus tôt dans la soirée, des coups de feu ont été entendus sur la place Arnaud-Bernard. Un homme a été pris pour cible aux alentours de 19 heures. Il a été pris en charge par les secours après avoir été blessé à une jambe. Transféré à l’hôpital Purpan, son pronostic vital n’est pas engagé.
Les policiers ont interpellé un suspect dans un squat situé à quelques pas de la place. Il aurait été identifié par des témoins. L’individu a été placé en garde à vue pour « tentative d’homicide ». L’arme reste introuvable.
Des incidents partout en France
Ailleurs en France, un homme de 25 ans est mort dans la nuit, « la tête arrachée » par un mortier d’artifice qu’il manipulait, près de Strasbourg. De graves incidents ont émaillé le secteur durant la nuit.
Près de Rennes, une rave-party a réuni plus d’un millier de personnes est était encore en cours dans la matinée. Des véhicules de gendarmes ont été pris pour cible par des fêtards, obligeant les militaires à abandonner leurs voitures.
A Angers, une quarantaine de voitures ont été incendiées. Gendarmes, policiers et pompiers ont été la cible de tirs de feux d’artifice. A Bordeaux, une trentaine de véhicules ont été dégradés, et plusieurs dizaines à Lyon.