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turquie - Page 7

  • Faire plier la Turquie.

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    L'agression opérée le 10 juin par la marine turque contre une frégate française en mission au large de la Libye pour le compte de l'organisation atlantique, constitue bel et bien  un acte de guerre. En se contentant de dénoncer un "incident qui met en lumière la mort célébrale de l'OTAN", Emmanuel Macron tente d'égarer  les esprits par une réaction verbale sans portée, dérivative et hors sujet.
     
    Dérivative, parce que l'OTAN dont la Turquie demeure un membre choyé par la pseudo-communauté occidentale, loin d'être au bord de l'agonie reste, malgré les prises de position distanciées de Donald Trump, un instrument majeur de la domination américaine et continue de pousser ses pions à l'est de l'Europe.
     
    Hors sujet, car ce que l'on attendrait d'un Président de la République française serait une mise en garde sévère, naturellement suivie d'effets si cet avertissement ultime n'était pas entendu, adressée à la Turquie contre toute nouvelle action touchant des éléments militaires ou civils de notre souveraineté nationale.
     
    La Turquie a enclenché une offensive globale visant à terme à la reconstitution de l'empire ottoman. Offensive économique au Maghreb, identitaire dans les Balkans, militaire en Libye ou Ankara soutient et arme le GNA islamiste et s'oppose frontalement au Maréchal Aftar qui bénéficie quant à lui de l'aide de l'Egypte qui reste pour la Turquie un objectif majeur à abattre. La proximité d'Erdogan avec les frères musulmans éradiqués par le Président Al Sissi et la volonté d'Ankara de peser durablement et profondément sur l'avenir de la région contiennent les ferments d'un conflit programmé.
     
    La France doit choisir son camp. 
     
    Si la France était un État national, la Turquie se verrait avertie que tout nouvel "incident" maritime mettant en cause un de nos bâtiments se traduirait par une riposte immédiate et que tout navire hostile serait coulé.
     
    La Turquie serait prévenue que toute intrusion politique visant à mobiliser sa diaspora contre les intérêts français entraînerait la rupture des relations diplomatiques et l'expulsion sans délais de tous ses ressortissants hors du territoire national.
     
    La Turquie saurait que tout chantage à l'ouverture des voies nationales serait sanctionné par des rétorsions économiques drastiques. Mais il est vrai que dans un État national, le rétablissement des frontières et la volonté d'en finir par tous les moyens avec la déferlante avant de l'inverser par la rémigration,  rendraient toute tentative en ce sens d'Ankara nulle et non avenue.
     
    Dans un État national, enfin, la France, étant sortie de l'OTAN et s'étant dotée des moyens diplomatiques et militaires de sa politique, serait libre de ses actions extérieures et de ses alliances nécessaires.
  • Le chef de l’armée grecque avertit la Turquie : « Quiconque s’attaque à la Grèce, nous le brûlerons d’abord et nous verrons ensuite qui c’était »

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2020

    Par  le 21/06/2020

    Le chef d’état major de l’armée grecque a averti la Turquie lors d’une conférence de presse au ministère grec de la défense vendredi, et a déclaré que la Grèce ne tolérera aucune violation de sa souveraineté.

    Le général Konstantinos Floros, chef de l’état-major général de la défense nationale hellénique, est intervenu après avoir écouté le ministre turc des affaires étrangères Mevlüt Çavuşoğlu affirmer que la Grèce ne pouvait pas exercer sa pleine souveraineté dans les îles grecques proches de la Turquie. Ceci est en contradiction avec le droit international.

    (…) Floros a cependant lancé un avertissement fort contre la Turquie, en déclarant : « Les forces armées sont une armée de terre, une marine et une force aérienne organisées. Il est très difficile de les affronter et quiconque le fera devra payer un prix très élevé, ce que nos voisins savent ».

    « Une réponse militaire est une possibilité. Personne ne peut l’exclure », a-t-il déclaré lorsqu’on lui a demandé quel type de réponse pourrait être apportée à toute provocation turque.

    « Si quelque chose comme cela se produit sur un groupe d’îles, cela s’étendra immédiatement à d’autres régions », a-t-il dit, ajoutant que tout accident en mer Égée sera causé par la pression quotidienne créée par la Turquie.

    Le commentaire le plus frappant est cependant lorsqu’il a déclaré que « quiconque attaque le territoire grec, nous le brûlerons d’abord et nous verrons ensuite qui c’était ».

    Greek City Times via fdesouche

  • Union Européenne : La Turquie va recevoir 500 millions d’euros supplémentaires pour financer les « réfugiés »

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2020

    L'UE veut augmenter les fonds destinés aux réfugiés en Turquie. Comme l'ont rapporté les journaux du groupe de presse Funke (éditions du samedi), la Commission européenne veut offrir 485 millions d'euros supplémentaires pour financer deux projets d'aide aux réfugiés. Cet argent doit être versé en complément des six milliards d'euros que l'UE avait promis dans l'accord avec la Turquie en 2016.

    À l'époque, Ankara s'était engagée à reprendre tous les réfugiés arrivant dans les îles grecques de la mer Égée et à prendre des mesures plus fermes contre les bandes de passeurs. En retour, l'UE avait promis des milliards d'aide à la Turquie. Mais pendant des mois, Ankara a accusé les Européens de verser l'argent trop lentement, et a menacé à plusieurs reprises de ne pas respecter l'accord.

    A présent, afin de désamorcer le conflit, la Commission européenne veut fournir des fonds supplémentaires. Selon le rapport, ces fonds doivent être mobilisés directement et à court terme via le budget actuel de l'UE 2020. Toutefois, le Parlement européen et le Conseil des États membres doivent encore se mettre d'accord sur une modification du budget 2020 à ce sujet.

    La Commission européenne met en garde : "En raison de l'épidémie de Covid19, la situation économique en Turquie s'aggrave et les réfugiés non protégés sont parmi les plus touchés par la crise.

    Par conséquent, les ressources nécessaires devraient être mobilisées d'urgence pour financer la poursuite des deux principales opérations d'aide humanitaire de l'UE.

    [...]

    (Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

    Die Welt via lesobservateurs

  • Le coronavirus aura eu raison d’Erdogan et de l’invasion migratoire: la Turquie ferme ses frontières

    Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2020

    Rien en semblait pouvoir arrêter la crise migratoire déclenchée par la Turquie aux frontières de la Grèce et de la Bulgarie. Rien en semblait faire entendre raison au président turc qui veut être sultan, Receypt Erdogan. 

    Rien… sauf le coronavirus. Ce minuscule organisme, invisible à l’œil nu, aura eu la peau de la pression exercée sur l’Europe par Erdogan, expert ès-maître-chanteur pour faire plier l’Union Européenne à ses desiderata. La Turquie, pour se protéger contre l’épidémie du Covid-19, a annoncé le 18 mars dernier, la fermeture de ses frontières terrestres avec la Grèce et la Bulgarie dans le cadre de mesures prises pour limiter la propagation du coronavirus.

    Les points de passages avec ces deux pays seront fermés aux voyageurs à partir de mercredi à minuit a décrété le ministère de l’Intérieur turc. Plusieurs milliers de migrants sont massés à la frontière de la Grèce, qui résiste vaillamment à l’invasion, depuis le mois dernier pour essayer de gagner l’Europe. Et vont y rester.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Turquie : cimetières chrétiens vandalisés

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2020