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  • Le Premier ministre slovène : « Ce n’est pas le devoir de l’UE ou de la Slovénie d’aider et de payer tous les gens de la planète qui fuient, au lieu de lutter pour leur pays »

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2021

    (…) Le Premier ministre slovène et président en exercice du Conseil de l’Union européenne, Janez Janša, a clairement exprimé son refus de voir « la crise migratoire de 2015 se reproduire ».

    (…) Le Premier ministre slovène Janez Janša, dont le pays préside actuellement et jusqu’en décembre le Conseil de l’Union européenne, s’est également très clairement exprimer à ce sujet ce dimanche :

    « L’Union européenne n’ouvrira pas de couloir humanitaire ou migratoire aux réfugiés afghans et ne permettra pas à la crise migratoire de 2015 de se reproduire

    […] Nous ne permettrons pas que l’erreur stratégique de 2015 se répète. Nous aiderons uniquement les personnes qui nous ont aidés lors de la mission de l’OTAN […] L’Union européenne et la Slovénie n’ont aucune obligation d’aider et de financer tous les réfugiés de la planète ».

     

    Ainsi les autorités de Ljubljana ont indiqué être prêtes à accueillir cinq réfugiés afghans ayant travaillé pour l’armée slovène lors de sa mission en Afghanistan.

    (…) Visegrad Post

    « Ce n’est pas le devoir de l’UE ou de la Slovénie d’aider et de payer tous les gens de la planète qui fuient, au lieu de lutter pour leur pays », a-t-il ajouté. Lundi, le silence des autres dirigeants européens après ces déclarations témoignait du malaise des Etats membres quant au sort des Afghans terrorisés par la prise de pouvoir des talibans, à la suite du retrait des forces occidentales du pays.

    Le Monde

  • La présidente de la Commission européenne a assuré les États membres de l’UE du soutien financier de l’Europe s’ils accueillent des migrants afghans

    Publiépar Guy Jovelin le 22 août 2021

    La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a exhorté samedi tous les pays, en premier lieu les pays européens, à accueillir une partie des réfugiés afghans exfiltrés de Kaboul et a assuré les États membres de l’UE qui le feront du soutien financier de l’Europe. «J’appelle tous les États qui ont participé aux missions en Afghanistan, les Européens et les autres, à accorder des quotas d’accueil suffisants pour que collectivement, nous puissions venir en aide à ceux qui ont besoin de protection», a déclaré Ursula von der Leyen au terme d’une visite en Espagne dans le centre d’accueil pour les employés afghans de l’UE à Kaboul.

    « La Commission est prête à envisager les moyens budgétaires nécessaires pour soutenir les États membres de l’UE qui se proposeront pour aider des réfugiés à s’installer sur leur territoire », a-t-elle poursuivi lors d’une conférence de presse sur la base militaire de Torrejón de Ardoz, au nord-est de Madrid, où ce centre d’accueil a été installé. On ignore à ce jour combien de pays membres de l’UE se sont engagés à accueillir sur leur sol des réfugiés afghans et si certains gouvernements ont refusé.

    Accompagnés du Premier ministre espagnol Pedro Sánchez, Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen, Charles Michel, avaient auparavant visité les installations mises à la disposition des réfugiés sur cette base, où doivent transiter tous les Afghans qui travaillaient à Kaboul pour les institutions de l’UE et leurs familles avant d’être répartis ensuite dans différents pays pour y refaire leur vie. Dans une allusion au caractère très sensible de ce sujet dans l’Europe des 27, Charles Michel a, pour sa part, admis que l’immigration constituait «une question difficile dans l’Union européenne» et a plaidé pour la mise en place de «migrations régulières, ordonnées».

    […]

    20Minutes via fdesouche
  • La Hongrie défie l’UE sur la loi de protection des mineurs par rapport à la propagande arc-en-ciel

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2021

    Comme il l’avait fait en 2016 pour rejeter les quotas de migrants décidés par l’Union européenne, Viktor Orbán n’a pas peur de la confrontation avec Bruxelles et appelle le peuple hongrois à se prononcer. Cette fois, l’affrontement avec l’UE concerne la loi pour la « protection des mineurs » et réprimant la pédophilie qui réglemente l’information sur la communauté Lgbtqi+ (lesbienne, gay, bisexuelle, trans, intersexe, queer, asexuelle, etc.). Le Premier ministre Orbán annonce un référendum sur la question : « Quand la pression contre notre patrie est si forte, seule la volonté commune du peuple peut défendre la Hongrie. »

    Entrée en vigueur le 8 juillet, la loi interdit de montrer ou de promouvoir, à l’école et dans les médias, des contenus qui représentent « des écarts par rapport à l’identité correspondant au sexe assigné à la naissance » si les destinataires sont mineurs. La mesure, jugée discriminatoire par l’UE, a été qualifiée de « honteuse » par la présidente de la Commission européenne Ursula von Der Leyen à tel point que Bruxelles a ouvert une procédure d’infraction contre la Hongrie, a reporté l’approbation du Fonds de relance (7, 2 milliards d’euros) à destination de Budapest et envisage l’introduction de sanctions après que le Parlement européen a voté une résolution exhortant l’Union à engager une action en justice contre le pays.

    Gouverné par la majorité absolue du Fidesz, le parti nationaliste et conservateur, la Hongrie souveraine fait peur à l’Europe mais n’entend pas reculer. Et choisi de s’en remettre à un référendum, faisant confiance aux Hongrois pour voter en faveur de cette loi.

    Le référendum est composé de cinq questions.

    1ère : « Soutenez-vous que les mineurs devraient suivre des cours sur le thème de l’orientation sexuelle sans le consentement des parents ? »

    2e : « Soutenez-vous la promotion des traitements de changement de genre chez les mineurs ? »

    3e : « Soutenez-vous que la chirurgie de changement de sexe devrait être disponible pour les mineurs ? »

    4e : «Soutenez-vous que le contenu médiatique qui influence le développement sexuel devrait être présenté aux mineurs sans restrictions ? »

    5e et dernière : « Faites-vous valoir que les contenus multimédias décrivant le changement de genre devrait être montré aux mineurs ? ».

    L’invitation du Premier ministre est de toujours voter « Non ».

    « C’est une initiative pour détourner l’attention des troubles du gouvernement hongrois », attaque l’opposition en citant le scandale Pegasus : des milliers d’hommes politiques, d’opposants et de journalistes également espionnés sur lequel l’UE a également lancé une enquête pour espionnage. L’appel de la minorité de gauche est de boycotter le référendum, qui veut « dresser les Hongrois les uns contre les autres » et utilise des mineurs à des « fins de propagande vile ». Mais quand il s’agit de dresser vaccinés contre non-vaccinés, cette conscience morale bien-pensante et arc-en-ciel universelle n’a rien à redire…

    En 2016, bien que le référendum n’ait pas atteint le quorum requis (seuls 43,2 % des votants), il avait quand même donné un signal politique fort. 98% des Hongrois qui s’étaient rendus aux urnes avaient en effet dit « Non », nous ne voulons pas que l’UE « impose des quotas sur les allocations de migrants à chaque pays membre, sans consulter le gouvernement et le parlement national et souverain hongrois ».

    Le nouveau référendum pourrait donner le même signal fort à l’Union Européenne avec une large majorité de votants pour le maintien de la loi pour la protection des mineurs et réprimant la pédophilie.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • l’Union européenne signale 1,5 million de blessures liées au vaccin, 15 472 décès

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2021

    synthesenationale

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    Source: exoportail

    La base de données européenne des rapports de réactions suspectes aux médicaments est EudraVigilance, qui suit également les rapports de blessures et de décès consécutifs aux «vaccins» expérimentaux COVID-19.

    Un abonné européen nous a récemment envoyé un courriel pour nous rappeler que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays européens faisant partie de l’Union européenne (UE), qui compte 27 pays.

    Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, soit environ 50, bien qu’il y ait des divergences d’opinion quant aux pays qui font techniquement partie de l’Europe.

    Ainsi, aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel de personnes décédées ou blessées en Europe à la suite des injections de vaccins COVID-19 serait bien plus élevé que celui que nous indiquons ici.

    La base de données EudraVigilance indique qu’au 19 juin 2021, 15 472 décès et 1 509 266 blessures ont été signalés à la suite de l’injection de quatre vaccins expérimentaux COVID-19.

  • 3 milliards d’euros : la Turquie nous remercie. Ou pas

    Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2021

    3 milliards d’euros : la Turquie nous remercie. Ou pas

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    L’Union européenne s’apprête à renouveler avec la Turquie l’accord migratoire de 2016 et à débourser trois milliards d’euros entre 2022 et 2024, qui viendront s’ajouter aux 535 millions déjà octroyés en 2021. Théoriquement, pour que des ONG prennent en charge les réfugiés à l’intérieur de ses frontières. Le vice-président de la Commission chargé des questions migratoires a admis qu’« une partie de cet argent pourrait aussi aller à l’État turc ».

     

    Source : lesalonbeige