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ue - Page 9

  • « Aucun acte de naissance nécessaire », feu vert de l’UE pour les enfants adoptés par les duos homosexuels

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2022

    La Cour européenne de justice a décidé hier d’imposer à tous les États membres de l’Union que les « parents » de même sexe et leurs enfants soient reconnus comme une famille dans tous les États membres. Dans une décision historique, la Cour européenne de justice a déclaré que si un pays reconnaît une relation parentale avec un enfant, alors chaque État membre devrait faire de même pour garantir le droit de l’enfant à la libre circulation.

    Cependant il est clair que dans aucun article d’aucun traité européen les institutions bruxelloises ne sont reconnues avoir une compétence même minimale en matière de droit de la famille. Il est également bien établi que chaque État a ses propres lois sur la citoyenneté. Mais qu’importe tout cela à la bien-pensante Union Européenne : le tyran européen veut imposer un nouveau modèle de famille et de progéniture, un point c’est tout, du droit il fait table rase quand cela l’arrange. 

    L’affaire judiciaire  (arrêt dans l’affaire C-490/20 ) est survenue après que les autorités bulgares ont refusé d’accorder un certificat de naissance à la fille nouveau-née d’un duo homosexuel au motif qu’un enfant ne peut pas avoir deux mères. La Bulgare Kalina Ivanova et la Britannique Jane Jones, née à Gibraltar, sont toutes deux enregistrées en Espagne en tant que « mères » de Sara, également née dans la péninsule ibérique en 2019. Aucune des femmes n’est d’origine espagnole, ce qui signifie que la citoyenneté espagnole n’est pas consentie à l’enfant et conformément à la loi sur la nationalité britannique de 1981, Jones ne peut pas transférer la nationalité britannique à sa fille car elle est née à Gibraltar.

    Sur cette base, Ivanova a demandé la nationalité bulgare pour sa fille, qui a ensuite été refusée car les mariages et les unions entre personnes du même sexe ne sont pas légalement reconnus en Bulgarie. En conséquence, Sara est restée apatride, sans accès à la citoyenneté, incapable de quitter le pays de résidence de sa famille, l’Espagne et sans documents personnels, limitant ainsi son accès à l’éducation, aux soins de santé et à la sécurité sociale.

    Eh bien, la Cour de justice a décidé qu’un passeport bulgare doit être délivré à l’enfant et cela s’appliquera à tous les États membres de l’UE qui ne garantissent pas la reconnaissance des enfants des duos Lgbtqi, ni ne reconnaissent pleinement ces « familles » arc-en-ciel. Évidemment, le chef de l’équipe juridique de l’ILGA européenne, le lobby Lgbtqi international très puissant et très financé, Arpi Avetisyan, a déclaré au Washington Post que la sentence apporte « la clarification tant attendue que la paternité/maternité établie dans un État membre de l’UE ne peut être niée par un autre, sous prétexte de protéger l’identité nationale » et s’est réjoui de ce « témoignage réel que l’UE est une union d’égalité et nous avons hâte de voir les familles arc-en-ciel jouir de leur droit à la liberté de mouvement et d’autres droits fondamentaux sur un pied d’égalité avec tout le monde ».

    La sentence ne pourra pas faire l’objet d’un appel, d’autres cas similaires seront portés à l’attention de la justice nationale des différents pays mais, depuis hier, tout gouvernement national est bien conscient qu’avec cette interprétation du droit de libre circulation, même s’il est clairement utilisé de manière instrumentale, dénature tout traité sur les compétences nationales en matière de mariage et de citoyenneté et de fait impose à tous les États l’équivalence pleine et totale entre les unions Lgbtqi et les mariages, la citoyenneté des enfants et, indirectement, la reconnaissance de la GPA (l’État devant « délivrer à cet enfant une carte d’identité ou un passeport sans exiger également un acte de naissance », ni « que les autorités nationales du pays membre dont il est issu dressent au préalable un acte de naissance »).

    L’Agenda Lgbtqi se réalise pas à pas par le biais de l’Union Européenne et des ses institutions. Ainsi la Cour de justice, en se prononçant déjà en faveur de la reconnaissance d’un couple LGBTI en Roumanie pour des raisons de travail en 2018, a décidé de démolir les compétences nationales en matière de mariage et d’imposer sa propre interprétation du droit de libre circulation (Jugement  C ‑673/16  Coman-Hamilton). De son côté, la Commission européenne a déclaré, ces dernières années, que les personnes LGBTI et les dogmes de genre étaient  une priorité absolue (voir les discours d’  Ursula Von der Leyen , Vera Jurova,  Helena Dalli  et Franz Timmerman). Elle a également lancé une  consultation « populaire »  (19 mai-25 août), sur les droits des couples LGBT à une pleine reconnaissance de l’homoparentalité et de leurs enfants (souvent issus de la gestation pour autrui ou de la fécondation hétérologue), malgré les résultats dépassant le ridicule pour la participation (389 personnes ou associations ). Le Parlement européen a promu pareillement de nombreuses initiatives en faveur du monde lgbtqi, de la  déclaration de l’Europe comme zone de liberté Lgbtqi  à celle sur la  reconnaissance  des mariages Lgbtqi dans tous les pays membres.

    La révolution arc-en-ciel a trouvé dans les institutions européennes, -covidistes acharnées ce qui procède aussi de la révolution arc-en-ciel-, un allié de poids. Et ainsi, Sara, l’enfant sans citoyenneté véritable par le libre choix des deux lesbiennes qui se déclarent « ses mères » pourra voyager dans toute l’Europe alors qu’au même moment de simples et honnêtes citoyens européens n’ont plus le droit de la libre circulation, -droit qui leur est enlevé avec l’assentiment de l’Union Européenne-, uniquement parce qu’ils ont fait le choix libre et éclairé de refuser des injections expérimentales covid-19 censées lutter contre une maladie qui a un taux de létalité de -1%…

    L’Union Européenne, c’est un voyage en Absurdie !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Interdiction de vendre ou louer des maisons ‘polluantes’, l’Union Européenne recule

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2021

    Indubitablement, la dictature verte de l’union Européenne a pris un coup dans l’aile, pour un temps tout au moins.

    Né de la polémique soulevée par la décision de l’union Européenne d’interdire la vente mais aussi la location des maisons qui consomment trop et ne sont pas conformes aux nouvelles directives climatiques européennes, le mécontentement de plusieurs a fait plier la Commission Européenne. Les gouvernements des différents pays ont bien perçu cette colère pour ne pas suivre aveuglément les technocrates bruxellois sur ce chantier.

    L’UE change donc d’avis sur les classes énergétiques des bâtiments : seuls 15 % des pires devront être mis aux normes. Si l’ancienne directive avait été maintenue, l’Italie par exemple aurait eu plus de 16 millions de bâtiments à risque car appartenant à la classe énergétique G. D’ici quelques années (à partir de 2027) il n’aurait plus été possible de les louer ou de les vendre et progressivement tous les autres jusqu’à accéder à la classe A et à ses sous-classes. En pratique, toute construction aurait nécessité des travaux d’un certain type et surtout des coûts énormes.

    Dans la nouvelle mouture, chaque état devra identifier les pires bâtiments d’un point de vue énergétique mais sans aucune interdiction de vente et de location s’il n’y a pas l’amélioration de l’efficacité tant demandée. En pratique, l’Etat pourra proposer au propriétaire d’améliorer la qualité de son immeuble, maison ou établissement mais sans rien imposer. Ce sera au propriétaire seul de décider quant à des travaux énergétiques.

    Quelque peu embarrassée, Bruxelles a commenté ainsi son rétropédalage : « Il existe plusieurs manières d’atteindre l’objectif d’exigences minimales, explique un haut fonctionnaire de l’UE, et nous ne proposons certainement pas » une interdiction de vendre ou de louer les propriétés qui consomment. Bref, après les décisions déraisonnables de ces derniers jours, la Commission a réfléchi : une telle interdiction n’aurait pas été physiquement possible sans « entraîner d’énormes difficultés politiques pour n’importe quel gouvernement », ajoute le responsable.

    Adieu donc à l’interdiction émise ces derniers jours qui « n’est pas contenue dans la proposition : il ne sera pas interdit aux propriétaires d’immeubles et d’appartements de vendre des immeubles s’ils sont en classe G », la plus basse, réitère le haut fonctionnaire à l’agence de presse italienne AdnKronos. À ce stade, la balle passe aux États individuels qui devront, de façon autonome, résoudre le problème des bâtiments les plus polluants et les moins économes en énergie dans un avenir proche. Bien sûr, il faudra identifier les 15% « des bâtiments qui ont les pires performances et qui auront besoin d’être rénovés » auxquels la priorité doit être donnée.

    Dans tous les cas, même s’ils ne sont pas obligatoires, les bâtiments publics et non résidentiels tels que les bureaux devront passer au niveau F d’ici 2027 et atteindre le niveau E d’ici 2030. Pour les bâtiments résidentiels (les maisons en propriété) au lieu de cela, il y aura plus de temps : passage à la classe F en 2030 et, au moins, à la classe E d’ici 2033. Comme le rapporte le quotidien italien Il Messaggero, l’objectif ultime de Bruxelles sera d’obtenir, d’ici 2050, un logement parc à zéro émission grâce à des interventions sur au moins 35 millions de bâtiments, réussissant à réduire d’au moins 60 % le CO2 et toutes les consommations énergétiques liées au chauffage. Parallèlement à ce dossier, l’UE fera connaître prochainement la stratégie d’incitation et d’augmentation de la production de biogaz et de réduction des émissions de méthane en apportant les propositions faites par l’Italie, l’Espagne et la France ces derniers mois alors que le prix du gaz avait commencé à monter en flèche.

    D’ici 2050, de l’eau aura coulé sous les ponts, bien des changements politiques profonds sont possibles, et l’Union Européenne, cet environnement nocif de technocrates déconnectés du réel, aura peut-être trépassée… 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Vers l’obligation vaccinale ?

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2021

    Vers l’obligation vaccinale ?

    Début novembre, la présidente de la Commission européenne, Ursula van der Leyen, et le directeur général de Pfizer, Albert Bourla, ont reçu le prix des « dirigeants distingués » du Conseil de l’Atlantique, à Washington, lors du gala du 60e anniversaire de cette organisation. C’était très touchant :

    Hier, Ursula a déclaré, en réaction à la propagation du nouveau variant :

    “Si vous regardez les chiffres, nous avons maintenant 77% des adultes de l’Union européenne vaccinés ou si vous prenez l’ensemble de la population, c’est 66%. Et cela signifie qu’un tiers de la population européenne n’est pas vacciné. Ce sont 150 millions de personnes (…) Donc je pense qu’il est compréhensible et approprié d’avoir cette discussion maintenant : comment pouvons-nous encourager et potentiellement penser à la vaccination obligatoire au sein de l’Union européenne ? Il faut en discuter, cela nécessite une approche commune, mais c’est une discussion qui, je pense, doit être menée.”

    Le nouveau chancelier allemand Olaf Scholz a apporté son soutien à l’obligation vaccinale et a appelé à un vote parlementaire. La Grèce, quant à elle, impose une amende mensuelle de 100 euros aux personnes de plus de 60 ans qui ne sont pas vaccinées. En Autriche l’obligation est pour tout le monde. Selon l’avant-projet de loi sur la question, toute personne qui n’aura pas répondu à deux convocations pour se faire piquer devra payer une amende de 3600 €. Amende qui pourra ensuite monter jusqu’à 7200 €. Tous les six mois.

    Pourtant, le dr Sucharit Bhakdi, professeur émérite de microbiologie médicale et d’immunologie, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’université de Mayence en Allemagne, a souligné de son côté :

    Ce que nous avons vu et ce dont nous sommes témoins actuellement, c’est ce que nous vous avions annoncé il y a près d’un an. Il n’existe pas de vaccin que vous mettez dans votre muscle et qui puisse vous protéger contre une infection des voies respiratoires. Un point, c’est tout.

    Quiconque dit le contraire est ou bien ignorant, ou bien il ment. Malheureusement, 99,9 % des personnes qui disent cela sont ignorantes. Elles ne savent pas cela parce qu’elles ne l’ont jamais appris, elles ne l’ont jamais étudié, elles n’ont jamais fait de recherches. Et les 0,1 % qui le savent, soit ils sont achetés, soit ils sont criminels.

    Ursula, achetée ?…

    Du côté des Etats-Unis, le procureur général du Missouri, Eric Schmitt, avait mené une coalition de dix Etats contre l’obligation vaccinale des soignants décrétée par Jo Biden. Le juge fédéral Matthiew Schelp (nommé par Donald Trump) a rejeté ce dispositif vaccinal, non voté par le Congrès, comme contraire au fédéralisme et contraire aux « décisions médicales personnelles de millions d’Américains ». Les dix Etats concernés sont, outre le Missouri, le Nebraska, l’Arkansas, le Kansas, l’Iowa, le Wyoming, l’Alaska, les Dakota du Sud et du Nord et le New Hampshire.

     

    Source : lesalonbeige

  • Migrants qui partent, migrants qui arrivent, migrants qui traversent, l’UE dans tous ses états

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2021

    A l’Est, dans cette Europe slave qui défend son identité et sa culture, les migrants massés à la frontière biélorusse repartent chez eux. La fermeté des Polonais pour empêcher l’invasion, contre vents et marées, contre les technocrates de l’Union européenne et les pleureuses de la bien-pensance, a gagné. L’aéroport de Minsk, capitale Biélorussie, est plein à craquer d’aspirants à l’Eldorado européen déboutés qui rentrent chez eux.

     

    A l’Ouest, dans cette Europe dévirilisée, déchristianisée, soumise à la déconstruction systématique promue par une intelligentzia mondialiste et apatride, bastion de la conscience morale universelle et des ONG pseudo-humanitaristes, la mort d’une trentaine de migrants qui tentaient de traverser la Manche pour rejoindre de France l’Angleterre, remet la question de l’accueil de toute la misère du monde au centre du débat politique. Et confirme les limites des injonctions bruxelloises et l’absence d’une politique européenne claire de défense des frontières.

    Face au réel, Londres aux prises avec la plus massive « invasion » outre-Manche depuis le débarquement normand en 1066, résiste. Et la France ploie. La polémique anglo-française concernant l’immigration s’est aggravée. Londres déplore l’arrivée de France, en moins d’un an, de plus de 26 000 immigrés clandestins dont 1 185 en une seule journée. Le gouvernement britannique a donc durci sa position vis-à-vis de la France mais aussi de l’Union européenne incapable de contrôler ses frontières tant entrantes que sortantes.

    La colère de Londres est compréhensible, étant donné qu’environ un millier de personnes sont arrivées de la Manche en 2019 et environ 8.000 en 2020. Les 30 migrants clandestins décédés mercredi en tentant de traverser la Manche, dont des enfants et des femmes enceintes, ont amplifié la polémique. Le gouvernement britannique a « à plusieurs reprises » proposé à Paris du personnel et des moyens supplémentaires pour patrouiller la frontière en proposant de couvrir les coûts jusqu’à 54 millions de livres (près de 63 millions d’euros) pour tenter de décourager les passages, a déclaré un porte-parole du premier ministre Boris Johnson.

    Le Royaume-Uni a renouvelé son offre de patrouilles conjointes avec la France dans la Manche, a réitéré hier le ministre britannique de l’Intérieur, Priti Patel, faisant référence à une conversation qu’il a eue avec son homologue français Gérald Darmarin. Patel a ensuite précisé que la traversée était « inutile » pour les immigrés clandestins, ajoutant que « personne ne doit quitter la France » pour être en sécurité. Le ministre a rappelé que les personnes devraient demander l’asile dans le premier « pays sûr » qu’elles atteignent après avoir quitté leur pays, anticipant une nouvelle loi sur les frontières qui s’attaquera aux « facteurs d’attraction » qui incitent les migrants illégaux à tenter d’atteindre le Royaume-Uni.

    Les demandes d’asile au Royaume-Uni ont atteint cette année leur plus haut niveau depuis 2004, certifie le British National Bureau of Statistics (Ons). 37 562 demandes d’asile jusqu’en septembre, ce qui correspond à une augmentation de 18% par rapport à 2021, alors qu’il y en a 67 547 en attente d’évaluation. Les demandeurs sont principalement originaires d’Iran, d’Érythrée, d’Albanie, d’Irak et de Syrie.

    Le président français Emmanuel Macron a appelé à un renforcement de la coopération européenne en matière de migration irrégulière, déclarant que « la France ne permettra pas que la Manche devienne un cimetière ». Curieusement, exactement ce que l’Italie demande en vain depuis des années. Mais Macron a également déclaré à Johnson, lors d’un entretien téléphonique, qu’  « il s’attend à ce que les Britanniques coopèrent pleinement et s’abstiennent d’exploiter une situation dramatique à des fins politiques ». Mercredi, le Premier ministre britannique avait déclaré que les efforts déployés sur la crise migratoire n’étaient pas suffisants et qu’il avait « du mal à convaincre certains partenaires, notamment les Français, d’être à la hauteur de la situation ».

    Des flux migratoires aussi massifs et similaires, même en nombre de ceux qui ont franchi illégalement la frontière cette année, à destination de la Grande-Bretagne et de la Pologne, contribuent à ridiculiser l’Europe et sa capacité et sa volonté de défendre les frontières. L’absence de politiques communes, de refoulement et de volonté afin de ne pas accepter d’immigrants illégaux et de poursuivre les trafiquants encouragent en effet les migrants et les organisations criminelles qui les gèrent.

    L’augmentation des traversées de la Manche est inacceptable pour le gouvernement et la société britanniques et renforce le détachement de Londres de l’Union européenne. Une UE qui paie une fois de plus l’absence d’une politique du tiers-monde claire et sans ambiguïté, comme l’a bien illustré le refus de la Commission de financer la construction de barrières anti-immigration irrégulière à ses frontières extérieures, demandées par pas moins de 13 États membres.

    Cette énième crise des migrants illégaux le long des frontières des États individuels confirme une fois de plus l’absence de l’UE dans la défense des frontières communes. Sa volonté de ne pas aider à la construction de « murs » et de ne pas appliquer d’autres mesures pour décourager le trafic de migrants le long des frontières extérieures de l’UE conduira inévitablement à devoir faire face aux murs intérieurs érigés par les États individuels et à l’augmentation des tensions au sein de l’UE. Cela compromettra encore davantage la stabilité du traité de Schengen tout en couvrant l’Europe technocratique de ridicule aux yeux des immigrés clandestins et des trafiquants. Un ridicule qui malheureusement ne la tue pas…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La porte-parole du chef de l’État bélarusse assure qu’Angela Merkel va négocier avec l’UE un « corridor humanitaire » pour évacuer 2000 migrants en Allemagne

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2021

    Les grandes puissances du G7 ont appelé jeudi le Bélarus à mettre fin « immédiatement » à la crise migratoire en cours aux frontières de l’Union européenne (UE), accusant Minsk de chercher à « détourner l’attention » des violations du droit international et des droits de la personne.

    Dans un communiqué, les chefs de la diplomatie du Royaume-Uni (qui occupe la présidence tournante du G7), du Canada, de France, des États-Unis, d’Allemagne, d’Italie, du Japon et de l’Union européenne « condamnent l’orchestration par le régime bélarusse de l’immigration illégale à travers ses frontièresNous demandons au régime de cesser immédiatement sa campagne agressive et d’exploitation afin d’éviter de nouvelles morts et de nouvelles souffrances », déclarent-ils.

    […]

     

    Environ 7000 migrants se trouvent actuellement au Bélarus, dont quelque 2000 à la frontière avec la Pologne, a affirmé jeudi la présidence du Bélarus.

    La porte-parole du chef de l’Etat bélarusse, Natalia Eïsmont a affirmé que Minsk allait oeuvrer au rapatriement de 5000 migrants, assurant que la chancelière allemande Angela Merkel allait négocier avec l’Union européenne un « corridor humanitaire » pour évacuer les 2000 restants en Allemagne, une affirmation que Berlin n’avait pas commentée dans l’immédiat.

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