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  • La Hongrie défie l’UE sur la loi de protection des mineurs par rapport à la propagande arc-en-ciel

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2021

    Comme il l’avait fait en 2016 pour rejeter les quotas de migrants décidés par l’Union européenne, Viktor Orbán n’a pas peur de la confrontation avec Bruxelles et appelle le peuple hongrois à se prononcer. Cette fois, l’affrontement avec l’UE concerne la loi pour la « protection des mineurs » et réprimant la pédophilie qui réglemente l’information sur la communauté Lgbtqi+ (lesbienne, gay, bisexuelle, trans, intersexe, queer, asexuelle, etc.). Le Premier ministre Orbán annonce un référendum sur la question : « Quand la pression contre notre patrie est si forte, seule la volonté commune du peuple peut défendre la Hongrie. »

    Entrée en vigueur le 8 juillet, la loi interdit de montrer ou de promouvoir, à l’école et dans les médias, des contenus qui représentent « des écarts par rapport à l’identité correspondant au sexe assigné à la naissance » si les destinataires sont mineurs. La mesure, jugée discriminatoire par l’UE, a été qualifiée de « honteuse » par la présidente de la Commission européenne Ursula von Der Leyen à tel point que Bruxelles a ouvert une procédure d’infraction contre la Hongrie, a reporté l’approbation du Fonds de relance (7, 2 milliards d’euros) à destination de Budapest et envisage l’introduction de sanctions après que le Parlement européen a voté une résolution exhortant l’Union à engager une action en justice contre le pays.

    Gouverné par la majorité absolue du Fidesz, le parti nationaliste et conservateur, la Hongrie souveraine fait peur à l’Europe mais n’entend pas reculer. Et choisi de s’en remettre à un référendum, faisant confiance aux Hongrois pour voter en faveur de cette loi.

    Le référendum est composé de cinq questions.

    1ère : « Soutenez-vous que les mineurs devraient suivre des cours sur le thème de l’orientation sexuelle sans le consentement des parents ? »

    2e : « Soutenez-vous la promotion des traitements de changement de genre chez les mineurs ? »

    3e : « Soutenez-vous que la chirurgie de changement de sexe devrait être disponible pour les mineurs ? »

    4e : «Soutenez-vous que le contenu médiatique qui influence le développement sexuel devrait être présenté aux mineurs sans restrictions ? »

    5e et dernière : « Faites-vous valoir que les contenus multimédias décrivant le changement de genre devrait être montré aux mineurs ? ».

    L’invitation du Premier ministre est de toujours voter « Non ».

    « C’est une initiative pour détourner l’attention des troubles du gouvernement hongrois », attaque l’opposition en citant le scandale Pegasus : des milliers d’hommes politiques, d’opposants et de journalistes également espionnés sur lequel l’UE a également lancé une enquête pour espionnage. L’appel de la minorité de gauche est de boycotter le référendum, qui veut « dresser les Hongrois les uns contre les autres » et utilise des mineurs à des « fins de propagande vile ». Mais quand il s’agit de dresser vaccinés contre non-vaccinés, cette conscience morale bien-pensante et arc-en-ciel universelle n’a rien à redire…

    En 2016, bien que le référendum n’ait pas atteint le quorum requis (seuls 43,2 % des votants), il avait quand même donné un signal politique fort. 98% des Hongrois qui s’étaient rendus aux urnes avaient en effet dit « Non », nous ne voulons pas que l’UE « impose des quotas sur les allocations de migrants à chaque pays membre, sans consulter le gouvernement et le parlement national et souverain hongrois ».

    Le nouveau référendum pourrait donner le même signal fort à l’Union Européenne avec une large majorité de votants pour le maintien de la loi pour la protection des mineurs et réprimant la pédophilie.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • l’Union européenne signale 1,5 million de blessures liées au vaccin, 15 472 décès

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2021

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    Source: exoportail

    La base de données européenne des rapports de réactions suspectes aux médicaments est EudraVigilance, qui suit également les rapports de blessures et de décès consécutifs aux «vaccins» expérimentaux COVID-19.

    Un abonné européen nous a récemment envoyé un courriel pour nous rappeler que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays européens faisant partie de l’Union européenne (UE), qui compte 27 pays.

    Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, soit environ 50, bien qu’il y ait des divergences d’opinion quant aux pays qui font techniquement partie de l’Europe.

    Ainsi, aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel de personnes décédées ou blessées en Europe à la suite des injections de vaccins COVID-19 serait bien plus élevé que celui que nous indiquons ici.

    La base de données EudraVigilance indique qu’au 19 juin 2021, 15 472 décès et 1 509 266 blessures ont été signalés à la suite de l’injection de quatre vaccins expérimentaux COVID-19.

  • 3 milliards d’euros : la Turquie nous remercie. Ou pas

    Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2021

    3 milliards d’euros : la Turquie nous remercie. Ou pas

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    L’Union européenne s’apprête à renouveler avec la Turquie l’accord migratoire de 2016 et à débourser trois milliards d’euros entre 2022 et 2024, qui viendront s’ajouter aux 535 millions déjà octroyés en 2021. Théoriquement, pour que des ONG prennent en charge les réfugiés à l’intérieur de ses frontières. Le vice-président de la Commission chargé des questions migratoires a admis qu’« une partie de cet argent pourrait aussi aller à l’État turc ».

     

    Source : lesalonbeige

  • En représailles aux sanctions de l’UE la Biélorussie laisserait passer des centaines de migrants illégaux, principalement des Irakiens

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2021

    Rien qu’au cours des deux dernières semaines, près de 100 migrants, principalement des Irakiens, sont entrés illégalement dans l’UE par la frontière entre le Belarus et la Lituanie. C’est ce qu’ont rapporté les autorités frontalières lituaniennes.

    Interrogée par BILD, l’agence européenne de protection des frontières Frontex, située à Varsovie, a confirmé une “augmentation significative des franchissements illégaux de la frontière” en provenance du Belarus. Au total, on en compte déjà 439 cette année, soit cinq fois et demie plus que sur l’ensemble de l’année dernière.

    Les politiciens lituaniens tirent la sonnette d’alarme depuis des semaines, accusant les autorités biélorusses d’être responsables de cette évolution. “Il semble que des fonctionnaires biélorusses puissent être impliqués dans un flux organisé de migrants illégaux“, a déclaré le ministre lituanien de l’Intérieur Agnė Bilotaitė.

    Le Premier ministre lituanien, Ingrida Simonyte, a déclaré : “Il ne s’agit pas d’un simple épisode d’immigration illégale comme nous en voyons à d’autres frontières.

    À partir de juillet, “plusieurs dizaines de gardes-frontières de l’UE” assisteront leurs collègues, a déclaré leur porte-parole au BILD. “Les agents européens déployés par Frontex aideront la Lettonie et la Lituanie dans la surveillance des frontières et les autres fonctions de gestion des frontières, y compris le rapatriement.”

    Le problème : la Lituanie a une frontière de quelque 680 km avec le Belarus, qu’il est presque impossible de protéger sans lacunes.

    Le nombre croissant de migrants en Lituanie et en Lettonie pourrait également devenir un problème pour l’Allemagne : En effet, dès qu’un migrant a déposé une demande d’asile, il peut théoriquement et légalement passer par la Pologne pour se rendre en Allemagne afin de déposer une nouvelle demande d’asile, sachant qu’il ne sera guère poussé.

    Comme l’a appris BILD auprès de la police fédérale, cette “migration secondaire” se produit déjà à une échelle croissante, par exemple depuis la Grèce. Selon le rapport, les groupes les plus importants prennent l’avion d’Athènes à Varsovie, puis entrent en Allemagne en voiture, en minibus ou en train. Entre fin janvier et fin février, selon la police fédérale, “environ 140 personnes du groupe en question ont été rencontrées sur le territoire fédéral.

    Bild via fdesouche

  • « L’avortement est un droit humain. » L’UE veut abolir l’objection de conscience

    Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2021

    La culture de mort n’a pas de limites. De l’Union Européenne arrive la dernière folie en son nom.

    Le Parlement européen se prépare à voter une résolution inspirée du soi-disant « rapport Matic », c’est-à-dire un document élaboré par la Commission, établie au sein de la même assemblée législative de l’UE, pour les droits des femmes et l’égalité des genres. Dans le projet de résolution, intitulé La situation de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans l’UE du point de vue de la santé des femmes et dont le rapporteur est l’eurodéputé social-démocrate croate Predrag Fred Matic, l’avortement est défini « comme un droit humain », que tout gouvernement serait obligé de garantir sans limitation. Dans la plupart des pays européens, l’avortement, de nos jours, n’est pas considéré comme une liberté fondamentale.

    Dans le détail, le projet de résolution sur lequel l’assemblée européenne devra s’exprimer demain, sous réserve d’une mise à jour du calendrier parlementaire, demandera officiellement à tous les États membres, s’il est approuvé, de reconnaître l’avortement comme un « service de santé essentiel » et comme d’ailleurs un « droit de l’homme ». Le rapport Matic exhorte ensuite les pays de l’UE à « lever les barrières » qui empêchent actuellement les femmes d’interrompre leur grossesse ; de tels obstacles seraient de « longues périodes d’attente », « le refus de soins médicaux fondé sur les convictions personnelles des médecins », la nécessité de « consultations » ou « autorisations de tiers » comme conditions préalables indispensables à la pratique d’un avortement. Par conséquent, la proposition de résolution identifie le droit des médecins à l’objection de conscience comme une grave limitation au plein exercice des droits fondamentaux des femmes, ainsi qu’un « déni de soins de santé ».

    L’approbation de la résolution Matic, fondée sur la demande de suppression, par les États, de tout obstacle législatif ou éthique au droit à l’avortement, ouvrirait la voie, selon des ONG pro-vie comme CitizenGo, à d’autres revendications idéologiques : avortement et contraception pour les filles « quel que soit leur âge » et sans accord parental, enseignement des théories du genre dès l’école primaire sans en informer ni demander l’autorisation des membres de la famille, opérations de « changement de sexe » également accessibles aux mineurs et toutes rémunérées par les systèmes de santé publique.

    En plus de l’association susmentionnée, les évêques européens ont également pris position, même si faiblement, contre les conclusions et propositions contenues dans le rapport Matic, à travers la Commission des Conférences épiscopales de l’Union européenne (COMECE). Dans une note publiée jeudi dernier, cette instance représentative de l’Eglise conciliaire a déclaré :

    « Une intervention médicale de cette ampleur ne peut et ne doit pas devenir une pratique normale : la qualifier de service essentiel dégrade l’enfant à naître. L’enfant à naître a un droit humain à la vie. »

    Dans le même document, la Comece se dit également « alarmée par le déni du droit fondamental à l’objection de conscience, qui est une émanation de la liberté de conscience. La résolution remet en cause l’existence même d’un droit du personnel médical à refuser certains services de santé, dont l’avortement, sur la base des clauses de conscience ».

    Les autorités slovaques s’opposent pareillement à ce prochain vote parlementaire européen, contestant le droit des organes de l’UE de traiter de l’avortement en invoquant la stricte répartition des compétences entre l’Union et les États membres inscrite dans les traités fondamentaux de l’UE. Le Parlement de Bratislava a ainsi voté, encore jeudi dernier, une résolution spécifique dans laquelle il souligne que les traités précités précisent que les questions concernant la politique de l’éducation et de la santé « relèvent de la responsabilité des États membres ». Par conséquent, Bruxelles et Strasbourg ne peuvent aucunement intervenir et prendre des décisions dans ces domaines et, inévitablement, le document Matic, poursuit l’acte approuvé par l’Assemblée législative slovaque, « viole la règle de subsidiarité et dépasse les pouvoirs du Parlement européen ».

    Affaire à suivre…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info