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ue - Page 8

  • Europe : L’UE veut faciliter l’immigration de travail provenant du Maroc, de la Tunisie, du Sénégal, du Nigéria et du Pakistan

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2022

    La Commission européenne devait présenter, mercredi 27 avril, un projet de directive visant à ­faciliter l’arrivée « de compétences et de talents » en Europe. En clair, favoriser une migration légale de travailleurs et de jeunes pour répondre au défi démographique et pallier le manque de main-d’œuvre dans des secteurs comme la santé, la technologie, la construction ou le transport.

    (…)

    L’exécutif européen voulait aussi attendre le résultat de la présidentielle française pour ne pas courir le risque d’une instrumentalisation de ces questions par l’extrême droite. Enfin, le constat, fermement appuyé par les fédérations patronales, que plusieurs Etats membres souffrent d’une pénurie de main-d’œuvre pouvant entraver les politiques de relance a constitué une autre incitation pour l’exécutif européen.

    La Commission, qui affirme vouloir présenter « un plan ambitieux et durable », précise toutefois qu’aucun pays membre ne sera forcé de l’appliquer. Pas question d’un nouveau « suicide politique », observe un diplomate en faisant référence au projet de quotas obligatoires de réfugiés à accueillir qu’avait évoqué le collège, dirigé à l’époque par Jean-Claude Juncker. Il avait entraîné une grave crise et créé une césure entre les Etats fondateurs et les pays d’Europe centrale et orientale. Il s’agit bien, cette fois, de respecter la compétence des Etats membres, souligne la Commission. « Chacun décidera et l’Union soutiendra les Etats, sur le plan pratique et opérationnel, à affronter les défis de la démographie et de la migration », insiste-t-on à Bruxelles. En 2021, c’est le Parlement qui l’avait invitée à proposer des mesures visant à harmoniser les conditions d’accueil, à simplifier les procédures et à lutter ­contre le travail clandestin.

    (…)

    Elle devrait concerner d’abord la Tunisie, le Maroc et l’Egypte, ensuite le Sénégal, le Nigeria, le Pakistan et le Bangladesh. Des pays qui sont déjà liés à l’UE par divers accords dans le domaine de l’immigration, mais qui fournissent également des contingents importants de clandestins. De quoi ­confirmer que le projet vise en priorité à un rééquilibrage de la relation entre les pays concernés et l’Europe, et à une sorte de donnant-donnant : l’Europe offrirait plus d’ouverture à une migration régulée en échange d’un meilleur contrôle de l’immigration illégale. C’était l’un des objectifs du « pacte migratoire » défini par Bruxelles, dont l’adoption se heurte toujours à des difficultés. Sous l’impulsion de la présidence française de l’UE, il a dès lors été convenu entre les Vingt-Sept qu’il fallait privilégier une avancée par étapes, dont cette initiative fait partie.

    Il reste à savoir si les pays tiers, qui rechignent souvent à accepter le retour de leurs nationaux privés d’un titre de séjour dans un pays de l’Union, se résoudront à faciliter les réadmissions en échange de mesures pour leurs citoyens les mieux formés. Ceux-ci devraient bénéficier de décisions plus souples en matière de permis de travail, de droits de résidence et de respect des droits fondamentaux. La Commission insiste aussi sur sa volonté de permettre à des jeunes, peut-être moins formés, de voyager et de travailler plus facilement dans l’Union. Et de favoriser également l’accès d’autres à l’entrepreneuriat, notamment dans le secteur-clé des nouvelles technologies. La mobilité de tous au sein de l’espace européen devrait également être rendue plus aisée.

    Le Monde via fdesouche

  • A présent, Zelensky publie la liste des armes dont il a besoin et exige 7 milliards de dollars par mois de l’UE

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    lesobservateurs

    L'Ukraine a besoin de 7 milliards de dollars par mois, a dit Zelensky à von der Leyen

    Les comédiens ukrainiens ont eu une idée incroyable:
    une visite d'Ursula von der Leyen à Boutcha. 

    Zelensky a énuméré hier (13 avril) les armes dont son pays a besoin.

    L'Ukraine a besoin de 7 milliards de dollars par mois de financement immédiat pour couvrir les paiements sociaux et les salaires, a dit le président Volodymyr Zelensky à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, lors de sa visite à Kiev la semaine dernière, selon des source proches du dossier, écrit Bloomberg.

    Zelensky a également parlé des défis auxquels l'Ukraine est confrontée dans ses exportations de céréales, et von der Leyen a répondu que l'UE l'aiderait à accélérer les procédures de passage des frontières, écrit le portail.

    Par ailleurs, la Banque mondiale prévoit qu'avec la fermeture des ports ukrainiens sur la mer Noire et les graves dommages causés à l'industrie de l'Ukraine orientale, le PIB de l'Ukraine pourrait chuter de 45 % en 2022.

    Les prévisions de la Banque mondiale du 10 avril notaient que la récession économique de l'Ukraine dépendrait de la durée de la guerre. Selon la Banque mondiale, la moitié des entreprises ukrainiennes ont fermé, et le volume d'affaires des entreprises restées ouvertes est très inférieur à la normale. La fermeture de la route de la mer Noire a fait tomber de 90 % les exportations de céréales et 50 % des exportations totales du pays, a écrit Vg.hu.

    source: https://www.vadhajtasok.hu/2022/04/14/ukrajnanak-havi-7-milliard-dollarra-van-szuksege-mondta-zelenszkij-von-der-leyennek

    traduction: Albert Coroz

     

  • L’Union européenne mobilise 150 milliards d’euros pour l’Afrique

    Publié par Guy Jovelin le 14 février 2022

  • « Aucun acte de naissance nécessaire », feu vert de l’UE pour les enfants adoptés par les duos homosexuels

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2022

    La Cour européenne de justice a décidé hier d’imposer à tous les États membres de l’Union que les « parents » de même sexe et leurs enfants soient reconnus comme une famille dans tous les États membres. Dans une décision historique, la Cour européenne de justice a déclaré que si un pays reconnaît une relation parentale avec un enfant, alors chaque État membre devrait faire de même pour garantir le droit de l’enfant à la libre circulation.

    Cependant il est clair que dans aucun article d’aucun traité européen les institutions bruxelloises ne sont reconnues avoir une compétence même minimale en matière de droit de la famille. Il est également bien établi que chaque État a ses propres lois sur la citoyenneté. Mais qu’importe tout cela à la bien-pensante Union Européenne : le tyran européen veut imposer un nouveau modèle de famille et de progéniture, un point c’est tout, du droit il fait table rase quand cela l’arrange. 

    L’affaire judiciaire  (arrêt dans l’affaire C-490/20 ) est survenue après que les autorités bulgares ont refusé d’accorder un certificat de naissance à la fille nouveau-née d’un duo homosexuel au motif qu’un enfant ne peut pas avoir deux mères. La Bulgare Kalina Ivanova et la Britannique Jane Jones, née à Gibraltar, sont toutes deux enregistrées en Espagne en tant que « mères » de Sara, également née dans la péninsule ibérique en 2019. Aucune des femmes n’est d’origine espagnole, ce qui signifie que la citoyenneté espagnole n’est pas consentie à l’enfant et conformément à la loi sur la nationalité britannique de 1981, Jones ne peut pas transférer la nationalité britannique à sa fille car elle est née à Gibraltar.

    Sur cette base, Ivanova a demandé la nationalité bulgare pour sa fille, qui a ensuite été refusée car les mariages et les unions entre personnes du même sexe ne sont pas légalement reconnus en Bulgarie. En conséquence, Sara est restée apatride, sans accès à la citoyenneté, incapable de quitter le pays de résidence de sa famille, l’Espagne et sans documents personnels, limitant ainsi son accès à l’éducation, aux soins de santé et à la sécurité sociale.

    Eh bien, la Cour de justice a décidé qu’un passeport bulgare doit être délivré à l’enfant et cela s’appliquera à tous les États membres de l’UE qui ne garantissent pas la reconnaissance des enfants des duos Lgbtqi, ni ne reconnaissent pleinement ces « familles » arc-en-ciel. Évidemment, le chef de l’équipe juridique de l’ILGA européenne, le lobby Lgbtqi international très puissant et très financé, Arpi Avetisyan, a déclaré au Washington Post que la sentence apporte « la clarification tant attendue que la paternité/maternité établie dans un État membre de l’UE ne peut être niée par un autre, sous prétexte de protéger l’identité nationale » et s’est réjoui de ce « témoignage réel que l’UE est une union d’égalité et nous avons hâte de voir les familles arc-en-ciel jouir de leur droit à la liberté de mouvement et d’autres droits fondamentaux sur un pied d’égalité avec tout le monde ».

    La sentence ne pourra pas faire l’objet d’un appel, d’autres cas similaires seront portés à l’attention de la justice nationale des différents pays mais, depuis hier, tout gouvernement national est bien conscient qu’avec cette interprétation du droit de libre circulation, même s’il est clairement utilisé de manière instrumentale, dénature tout traité sur les compétences nationales en matière de mariage et de citoyenneté et de fait impose à tous les États l’équivalence pleine et totale entre les unions Lgbtqi et les mariages, la citoyenneté des enfants et, indirectement, la reconnaissance de la GPA (l’État devant « délivrer à cet enfant une carte d’identité ou un passeport sans exiger également un acte de naissance », ni « que les autorités nationales du pays membre dont il est issu dressent au préalable un acte de naissance »).

    L’Agenda Lgbtqi se réalise pas à pas par le biais de l’Union Européenne et des ses institutions. Ainsi la Cour de justice, en se prononçant déjà en faveur de la reconnaissance d’un couple LGBTI en Roumanie pour des raisons de travail en 2018, a décidé de démolir les compétences nationales en matière de mariage et d’imposer sa propre interprétation du droit de libre circulation (Jugement  C ‑673/16  Coman-Hamilton). De son côté, la Commission européenne a déclaré, ces dernières années, que les personnes LGBTI et les dogmes de genre étaient  une priorité absolue (voir les discours d’  Ursula Von der Leyen , Vera Jurova,  Helena Dalli  et Franz Timmerman). Elle a également lancé une  consultation « populaire »  (19 mai-25 août), sur les droits des couples LGBT à une pleine reconnaissance de l’homoparentalité et de leurs enfants (souvent issus de la gestation pour autrui ou de la fécondation hétérologue), malgré les résultats dépassant le ridicule pour la participation (389 personnes ou associations ). Le Parlement européen a promu pareillement de nombreuses initiatives en faveur du monde lgbtqi, de la  déclaration de l’Europe comme zone de liberté Lgbtqi  à celle sur la  reconnaissance  des mariages Lgbtqi dans tous les pays membres.

    La révolution arc-en-ciel a trouvé dans les institutions européennes, -covidistes acharnées ce qui procède aussi de la révolution arc-en-ciel-, un allié de poids. Et ainsi, Sara, l’enfant sans citoyenneté véritable par le libre choix des deux lesbiennes qui se déclarent « ses mères » pourra voyager dans toute l’Europe alors qu’au même moment de simples et honnêtes citoyens européens n’ont plus le droit de la libre circulation, -droit qui leur est enlevé avec l’assentiment de l’Union Européenne-, uniquement parce qu’ils ont fait le choix libre et éclairé de refuser des injections expérimentales covid-19 censées lutter contre une maladie qui a un taux de létalité de -1%…

    L’Union Européenne, c’est un voyage en Absurdie !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Interdiction de vendre ou louer des maisons ‘polluantes’, l’Union Européenne recule

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2021

    Indubitablement, la dictature verte de l’union Européenne a pris un coup dans l’aile, pour un temps tout au moins.

    Né de la polémique soulevée par la décision de l’union Européenne d’interdire la vente mais aussi la location des maisons qui consomment trop et ne sont pas conformes aux nouvelles directives climatiques européennes, le mécontentement de plusieurs a fait plier la Commission Européenne. Les gouvernements des différents pays ont bien perçu cette colère pour ne pas suivre aveuglément les technocrates bruxellois sur ce chantier.

    L’UE change donc d’avis sur les classes énergétiques des bâtiments : seuls 15 % des pires devront être mis aux normes. Si l’ancienne directive avait été maintenue, l’Italie par exemple aurait eu plus de 16 millions de bâtiments à risque car appartenant à la classe énergétique G. D’ici quelques années (à partir de 2027) il n’aurait plus été possible de les louer ou de les vendre et progressivement tous les autres jusqu’à accéder à la classe A et à ses sous-classes. En pratique, toute construction aurait nécessité des travaux d’un certain type et surtout des coûts énormes.

    Dans la nouvelle mouture, chaque état devra identifier les pires bâtiments d’un point de vue énergétique mais sans aucune interdiction de vente et de location s’il n’y a pas l’amélioration de l’efficacité tant demandée. En pratique, l’Etat pourra proposer au propriétaire d’améliorer la qualité de son immeuble, maison ou établissement mais sans rien imposer. Ce sera au propriétaire seul de décider quant à des travaux énergétiques.

    Quelque peu embarrassée, Bruxelles a commenté ainsi son rétropédalage : « Il existe plusieurs manières d’atteindre l’objectif d’exigences minimales, explique un haut fonctionnaire de l’UE, et nous ne proposons certainement pas » une interdiction de vendre ou de louer les propriétés qui consomment. Bref, après les décisions déraisonnables de ces derniers jours, la Commission a réfléchi : une telle interdiction n’aurait pas été physiquement possible sans « entraîner d’énormes difficultés politiques pour n’importe quel gouvernement », ajoute le responsable.

    Adieu donc à l’interdiction émise ces derniers jours qui « n’est pas contenue dans la proposition : il ne sera pas interdit aux propriétaires d’immeubles et d’appartements de vendre des immeubles s’ils sont en classe G », la plus basse, réitère le haut fonctionnaire à l’agence de presse italienne AdnKronos. À ce stade, la balle passe aux États individuels qui devront, de façon autonome, résoudre le problème des bâtiments les plus polluants et les moins économes en énergie dans un avenir proche. Bien sûr, il faudra identifier les 15% « des bâtiments qui ont les pires performances et qui auront besoin d’être rénovés » auxquels la priorité doit être donnée.

    Dans tous les cas, même s’ils ne sont pas obligatoires, les bâtiments publics et non résidentiels tels que les bureaux devront passer au niveau F d’ici 2027 et atteindre le niveau E d’ici 2030. Pour les bâtiments résidentiels (les maisons en propriété) au lieu de cela, il y aura plus de temps : passage à la classe F en 2030 et, au moins, à la classe E d’ici 2033. Comme le rapporte le quotidien italien Il Messaggero, l’objectif ultime de Bruxelles sera d’obtenir, d’ici 2050, un logement parc à zéro émission grâce à des interventions sur au moins 35 millions de bâtiments, réussissant à réduire d’au moins 60 % le CO2 et toutes les consommations énergétiques liées au chauffage. Parallèlement à ce dossier, l’UE fera connaître prochainement la stratégie d’incitation et d’augmentation de la production de biogaz et de réduction des émissions de méthane en apportant les propositions faites par l’Italie, l’Espagne et la France ces derniers mois alors que le prix du gaz avait commencé à monter en flèche.

    D’ici 2050, de l’eau aura coulé sous les ponts, bien des changements politiques profonds sont possibles, et l’Union Européenne, cet environnement nocif de technocrates déconnectés du réel, aura peut-être trépassée… 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info