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  • Migrants clandestins : un arrêt de la Cour de justice de l’UE va faciliter le travail des ONG de « sauvetage en mer »

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2022

    Rendu le 1 er  août, un arrêt de la CJUE enjoint les Etats membres à ne pas bloquer dans leurs ports les bateaux d’ONG de sauvetage en mer. Une décision saluée par le quotidien italien de centre gauche « La Repubblica », qui y voit aussi un revers pour le parti populiste anti-migrants de Matteo Salvini.

     

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    Juin 2019. Les autorités italiennes empêchent le bateau de l’ONG allemande Sea-Watch d’accoster sur l’île de Lampedusa, avec à son bord 53 migrants. A la tête du ministère italien de l’Intérieur à l’époque, Matteo Salvini , dirigeant de la Ligue du Nord, parti d’extrême droite anti-migrants. Le bras de fer entre celui-ci et la capitaine du navire, Carola Rackete , ponctuera la séquence médiatique d’alors.

    Au fil des années, l’histoire s’est répétée, avec en toile de fond une question juridique non tranchée : les autorités nationales d’un pays de l’UE ont-elles le droit de contrôler, voire de bloquer un navire dont l’activité principale est le sauvetage en mer ?

    Une décision de justice qui priorise le sauvetage

    « Les bateaux d’organisations humanitaires qui font du secours en mer ne peuvent pas être contrôlés par l’Etat où elles débarquent. A moins qu’il n’y ait un risque évident de danger pour la sécurité, la santé ou l’environnement », statue la juridiction, ajoutant que si contrôle il y a, celui-ci doit être dûment justifié par les autorités compétentes et non arbitraire.

    […]

     

    Les Echos

  • Alerte au Kosovo ! Ça bouge, là-bas...

    Publié par Guy Jovelin le 03 août 2022

    lafautearousseau

    Alerte au Kosovo ! Ça bouge, là-bas...

    La Maison blanche et ses carpettes europénnes (dont, évidemment, le Pays légal français) a bombardé, via son OTAN, un pays ami - la Serbie - puis l'a amputé d'une part de son territoire (le Kosovo) pour le remettre à des Mafias de tous ordres, dont l'une spécialisée dans le trafic d'organes humains (cf le sinistre Hashim Thaçi).

    Ce soi-disant État, fantôche autant que mafieux, ne se maintient que par les perfusions d'armements de l’OTAN et d'argent états-unien, ainsi que par un ignoble protectorat de fait de la technocratie bruxelloise.

    Les courageux résistants Serbes du Kosovo sont la mauvaise conscience du "machin" qu'on appelle "UE", en même temps qu'ils sont la fierté de l'Europe authentique, qui n'a ni oublié ni renié ses Racines...

    https://www.lefigaro.fr/international/tensions-au-kosovo-la-mission-de-l-otan-se-dit-prete-a-intervenir-dans-le-nord-du-pays-20220731?fbclid=IwAR1Sam0CaCHdN3qumzaYpocH44eOtYkoVS5exQ5xUe620eFpCxZKw4GbMWQ&fs=e&s=cl#l6am8wmu7mk17gszm9p

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    LE KOSOVO EST SERBE !

    https://www.breizh-info.com/2019/05/10/118486/serbie-petition-nouveau-statut-kosovo/

  • Union européenne : les pays européens achètent leur matériel militaire hors d’Europe

    Publié par Guy Jovelin le 01 août 2022

    F35, de Lockheed Martin

    Il y a quelques mois, l’Allemagne – bien qu’élément central de la funeste Union européenne –  a commandé 35 avions F35 chez Lockheed Martin (USA). Pourtant, le Rafale français rivalise aisément avec le F35, et coûte moins cher.

    Maintenant, c’est la Pologne qui achète d’un côté 250 chars Abrams (moins bon que le Leclerc français) aux Etats-Unis et de l’autre commande à la Corée 1000 blindés K2, autant de pièces K9 de 155mm, ainsi que 50 chasseurs FA50 !

    Bref, l’Union européenne ne correspond à aucune solidarité réelle (le couple franco-allemand existe généralement au détriment de la France), et le fait que Macron, avec son idéologie cosmopolite et décadente, indispose des pays plus normaux que le nôtre, se paye cher.

     

    Source : contre-info

  • L’Italie se révolte contre l’Union Européenne et refuse de réduire sa consommation de gaz de 15%

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2022

    La fronde gagne l’Union Européenne. Moins d’une semaine seulement après l’annonce de la décision de l’UE de réduire la consommation de gaz de 15%, plusieurs pays du Sud de l’Europe ont ouvertement fait part de leur désaccord. Jusqu’ici, les réfractaires étaient l’Espagne, le Portugal et la Grèce. Ils viennent d’être rejoints par l’Italie.

    En effet, d’après l’agence de presse italienne Ansa.it qui cite des sources diplomatiques, le gouvernement italien s’est, lui aussi, fermement opposé à l’idée de réduire sa consommation de gaz de 15%. D’après la même source, Rome s’oppose au 15% fixé par l’UE, au caractère obligatoire de la décision et à sa généralisation à tous les membres.

    Il convient de rappeler que l’Espagne a également catégoriquement rejeté cette décision, estimant qu’elle allait avoir des conséquences drastiques sur son économie. “Je suis vraiment désolée de devoir dire que l’Espagne ne soutient pas cette proposition. Nous considérons qu’elle se pose sans débat au préalable, sans débat d’orientation générale au Conseil de l’Europe, surtout lorsque les conséquences économiques sont particulièrement importantes”, a d’ailleurs fait savoir Teresa Ribera, ministre espagnole de l’Energie.

    En ce qui concerne le Portugal, notre média a appris du site d’information portugais, Observador.pt, que le gouvernement portugais a totalement rejeté cette proposition. D’après ce média, le ministre portugais de l’Environnement, Duarte Cordeiro, juge cette décision “inacceptable” et estime qu’elle ne sert pas les intérêts de son pays. Apparemment, il n’est pas le seul membre du gouvernement portugais à s’opposer à cette décision. Joao Galamba, secrétaire d’Etat pour l’Environnement et l’Energie, n’est pas non plus favorable à une réduction de 15% de la consommation en gaz du pays.

    En Grèce également, même son de cloche. La décision de l’Union Européenne fait grincer des dents. C’est du moins ce que nous apprend le média grec Ekathimerini. En effet, d’après cette source, le porte-parole du gouvernement grec, Yiannis Economou, a été très clair sur cette question.

    “Le gouvernement n’est pas d’accord en principe avec la proposition de la Commission d’une réduction de 15% de la consommation du pays en gaz naturel”, a-t-il fait savoir, ajoutant que son pays a soumis des propositions à Bruxelles espérant qu’elles porteront leur fruit. Pour le gouvernement grec, toute réduction du gaz aura un impact non négligeable sur son économie.

     

    Source 

  • Crise du gaz : Von der Leyen veut les pleins pouvoirs, certains se rebellent, et l’Union se déchire

    Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2022

    Les sanctions contre la Russie se retournent contre l’Europe : l’hiver prochain pourrait être froid. La Commission européenne, responsable de ces folles sanctions qui riment avec l’austérité énergétique voulue par les khmers verts et le Forum de Davos, a donc décidé d’un plan d’urgence gaz actant une baisse de 15 % de la consommation pour préserver l’approvisionnement des familles et des secteurs essentiels.

    Pour imposer ce rationnement aux pays de l’union Européenne, Ursula Von der Leyen veut les pleins pouvoirs. Ce seraient des pouvoirs extraordinaires pour introduire la coupure et le rationnement obligatoires du gaz. La Commission européenne l’a demandé mercredi dernier aux États membres, anticipant un plan d’urgence européen qui prévoit une réduction de 15 % de la consommation de tous les pays jusqu’au printemps prochain, si la Russie venait à couper complètement l’approvisionnement en gaz. C’est la principale mesure du paquet Économiser du gaz pour un hiver en toute sécurité.

    « L’Union européenne est confrontée au risque de nouvelles réductions des approvisionnements en gaz en provenance de Russie, en raison de l’utilisation par le Kremlin des exportations de gaz comme d’une arme », a déclaré la Commission. La présidente Ursula von der Leyen, oubliant qu’elle est une des premières responsables des sanctions contre la Russie, a attaqué le Kremlin :

    « La Russie nous fait chanter. En cas d’interruption partielle, majeure ou totale, l’UE doit être prête ».

    Déjà 12 Etats membres sont victimes d’une réduction partielle ou totale des flux. Dès lors, « la coupure totale du gaz russe est un scénario probable ». Cela affecterait tous les États membres. Les stocks de gaz n’atteindraient pas 80 % de plein, s’arrêtant entre 65 et 71 %. Les pays les plus touchés seraient les plus dépendants de la Russie, mais les effets économiques se feraient sentir sur tout le monde. C’est aussi pour cette raison que la présidente de la Commission européenne a lancé un appel à la « solidarité », avec l’Allemagne qui dans ce cas serait le principal bénéficiaire. Le gaz « économisé » ira dans une sorte de fonds européen de solidarité pour les pays qui en ont besoin.

    La proposition d’Ursula signifie : rationnement, interruption de la chaîne du froid avec gaspillage de tonnes de nourriture avariée, industries « énergivores » fermées par la seule volonté de la Commission, chômage, mort de faim et misère, une récession sans précédent.

    Afin d’obliger les pays, la Commission européenne veut se doter des pleins pouvoirs en utilisant l’article 122 du traité, qui permet d’adopter des mesures d’urgence sans consultation du Parlement européen et à la majorité des voix au Conseil en cas de problèmes d’approvisionnement dans divers secteurs, notamment pour l’énergie.

    Le plan d’Ursula est dicté par l’Allemagne. C’est cette dernière qui a lancé l’idée que si Gazprom coupe complètement le gaz, les autres pays européens doivent partager le gaz des réserves avec les autres, dont l’Allemagne.

    L’Espagne, le Portugal et la Grèce ont rapidement réagi en s‘opposant successivement à la réduction de la consommation de gaz. Le gouvernement espagnol a lancé l’offensive contre la Commission européenne en jugeant que la demande de Bruxelles n’était ni « juste » ni « efficace », selon les déclarations de Teresa Ribera, ministre de la Transition écologique espagnole. « Les familles espagnoles ne subiront pas de coupures de gaz ou d’électricité dans leur logement […] et l’Espagne défendra la position de l’industrie espagnole », a-t-elle promis.

    Dès le lendemain le Portugal et la Grèce s’étonnaient de ne pas avoir été consultés préalablement sur le sujet et refusaient eux-aussi le plan bruxellois. De son côté la Hongrie se rapproche de la Russie plutôt que de se plier aux règles de Bruxelles.

    Alors que la Commission prévoit un hiver catastrophique et un énième plan d’urgence en accusant Vladimir Poutine de maux anxiogènes à venir, la Russie la déjuge : Gazprom, ayant récupéré sa turbine séquestrée au Canada, le Nord Stream 1 rouvre après maintenance et revient avec un débit régulier pour approvisionner l’Allemagne exactement comme avant. Et augmente celui de l’Italie. C’est évidemment la manière dont Moscou salue la sortie de Draghi !

    Après les annonces grandiloquentes d’une union retrouvée sur le front ukrainien, l’Union européenne vacille sur le front de l’énergie. L’union se déchire sur le gaz…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info