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ue - Page 16

  • Nouvel appel européen de Greta Thunberg

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2020

    Greta Thunberg et trois autres jeunes militantes écologistes ont lancé jeudi un nouvel appel aux dirigeants de l'Union européenne pour «faire face à l’urgence climatique», dans une tribune signée par 150 scientifiques et de très nombreuses célébrités.

    L’appel demande notamment, «avec effet immédiat», de «cesser les investissements dans l’exploration et extraction d’énergies fossiles, de céder toutes les subventions à ces énergies et de sortir complètement et immédiatement des énergies fossiles». Ou encore d’oeuvrer à faire de l'»écocide» un crime devant la Cour internationale de justice de l’ONU à La Haye.

    [...]

     

    20min.ch via lesobservateurs

  • Le Premier ministre slovène : « La démographie est très importante. S’il n’y a plus d’Européens, tout est perdu (…) Les conséquences de l’immigration sont irréparables »

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2020

    Par  le 12/07/2020

    Slovénie – Selon les mots du Premier ministre Janez Janša, idéologiquement, la principale menace pour l’Europe en tant que telle est le marxisme culturel. « Nous suivons tous ce qui se passe et je dois dire que c’est la même formule qui a été écrite dans le Manifeste communiste il y a 200 ans. Pour créer un monde nouveau, selon le communisme, il faut démanteler la nation, la famille, la propriété privée, les écoles privées et la religion. C’est ce qui se passe actuellement, à travers les médias, les universités, l’industrie culturelle, les institutions multinationales et certains partis politiques. Une chose qui a été partiellement mentionnée précédemment est que moins quelqu’un obtient de votes lors d’une élection, plus il ou elle prêche la démocratie, les valeurs, la manière de créer un nouveau monde. Il se passe quelque chose qui est habilement caché, mais quiconque connaît l’histoire et les concepts politiques peut clairement voir où nous allons », a souligné le Premier ministre slovène. (…)

    Selon lui, le défi stratégique le plus important pour l’UE est désormais sa démographie. « Nous pouvons tout faire et même plus, mais s’il n’y a plus d’Européens pour partager les valeurs communes, tout est perdu », a souligné le Premier ministre, ajoutant que les familles sont les cellules de base de la société et qu’elles doivent être protégées et soutenues, c’est pourquoi les politiques favorables à la famille pour les sociétés vieillissantes sont d’une importance stratégique. « (…) Nous pouvons voir les conséquences de l’immigration, qui dans certains pays sont même irréparables », a souligné le Premier ministre.

    Gov.si via fdesouche

  • Union Européenne : La Turquie va recevoir 500 millions d’euros supplémentaires pour financer les « réfugiés »

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2020

    L'UE veut augmenter les fonds destinés aux réfugiés en Turquie. Comme l'ont rapporté les journaux du groupe de presse Funke (éditions du samedi), la Commission européenne veut offrir 485 millions d'euros supplémentaires pour financer deux projets d'aide aux réfugiés. Cet argent doit être versé en complément des six milliards d'euros que l'UE avait promis dans l'accord avec la Turquie en 2016.

    À l'époque, Ankara s'était engagée à reprendre tous les réfugiés arrivant dans les îles grecques de la mer Égée et à prendre des mesures plus fermes contre les bandes de passeurs. En retour, l'UE avait promis des milliards d'aide à la Turquie. Mais pendant des mois, Ankara a accusé les Européens de verser l'argent trop lentement, et a menacé à plusieurs reprises de ne pas respecter l'accord.

    A présent, afin de désamorcer le conflit, la Commission européenne veut fournir des fonds supplémentaires. Selon le rapport, ces fonds doivent être mobilisés directement et à court terme via le budget actuel de l'UE 2020. Toutefois, le Parlement européen et le Conseil des États membres doivent encore se mettre d'accord sur une modification du budget 2020 à ce sujet.

    La Commission européenne met en garde : "En raison de l'épidémie de Covid19, la situation économique en Turquie s'aggrave et les réfugiés non protégés sont parmi les plus touchés par la crise.

    Par conséquent, les ressources nécessaires devraient être mobilisées d'urgence pour financer la poursuite des deux principales opérations d'aide humanitaire de l'UE.

    [...]

    (Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

    Die Welt via lesobservateurs

  • IL FAUT SORTIR DE LA CEDH !

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2020

    POSTÉ LE MAI 26, 2020, 11:20

    La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) coexiste avec la Cour de Justice européenne à Strasbourg.

    Si l’existence de la seconde se justifie dans une instance internationale structurée avec des règles communes précises, il n’en est pas de même de la première.

    La CEDH n’est pas une émanation de l’UE en tant que telle.

    Elle se réfère à la Déclaration universelle des droits de l’homme, proclamée par l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948.

    Le pouvoir de ses juges est immense car son action prend la forme vague de défense des droits de l’homme, des libertés, de la lutte contre le réchauffement climatique, des lois de bioéthique, etc.

    Dans les faits, elle défend la mondialisation, l’abolition des frontières, l’immigration, l’euthanasie, l’avortement, les LGBT, la légalisation de la drogue, la notion de blasphème, etc.

    Elle se compose de 47 États membres.

    On y retrouve tous les pays de l’UE, mais aussi 20 autres pays dont certains à la légitimité douteuse, soit en raison de leur implantation géographique extra-européenne (Azerbaïdjan, Turquie, Géorgie, Ukraine), soit en raison de leur taille lilliputienne (San Marin, Liechtenstein, Andorre), soit en raison de leur appréciation approximative de la démocratie (Monténégro, Moldavie, Turquie, Azerbaïdjan), soit un cocktail de tout cela.

    Il y a un juge par État, quelle que soit sa taille ou sa population.

    La CEDH est efficacement noy­autée par des associations liées financièrement ou idéologiquement à l’« Open Society Foundation » (OSF) du milliardaire mondialiste Soros qui manipule directement ou indirectement nombre de ses juges issus de diverses ONG, dont 7 ou 8 majeures lui sont inféodées.

    La cour peut être saisie par presque n’importe qui, n’importe quel organisme ou association, n’importe quel État ou groupe de pression – dont les ONG, qui ne s’en font pas faute, très souvent avec succès.

    Et ce n’est pas qu’une réunion de philosophes et d’idéalistes discourant sur les moyens de parvenir à un monde paradisiaque.

    Elle prend des décisions, en se référant donc à des textes imprécis, sujets à interprétation.

    C’est presque une cour suprême. En près d’un demi-siècle, la juridiction a rendu plus de 10 000 arrêts.

    Ses décisions, qui font souvent jurisprudence, sont obligatoires et les États concernés sont conduits à modifier leur législation ou leur pratique administrative pour s’y conformer.

    La France y obéit. Donc, parfois, nous obéissons à des décisions influencées par la Turquie ou l’Azerbaïdjan.

    La CEDH n’est pas représentative, mais a un pouvoir quasi discrétionnaire sur les pays constituant l’UE.

    C’est un obstacle considérable à la mise sur pied d’une politique identitaire et migratoire efficace.

    L’Europe doit s’en débarrasser ou nous devons la quitter.

    C’est impératif.

    Qu’on ne dise pas que ce retrait est impossible. La France n’a signé son adhésion qu’en 1974 et n’a autorisé ses résidents à y faire appel qu’en 1981.

    Un retour en arrière est donc possible.

     

    Source : les4verites

  • le coronavirus nous fait pleinement entrer dans le XXIe siècle

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2020

    Rédigé par notre équipe le 14 mai 2020.

     

    Les transitions technologiques sont, bien davantage que les transitions politiques, les vrais marqueurs des changements d’ères. Ainsi, c’est la révolution industrielle qui donna à l’Occident sa suprématie, au début du XIXe siècle, sur l’ensemble du monde, et notamment sur la Chine qui, jusque-là, n’avait rien à envier, en termes de puissance, aux Européens.

    Alors que le nerf de la guerre, depuis le XIXe siècle, était constitué par les matières premières, celui du XXIe siècle sera constitué par la puissance numérique : intelligence artificielle, mégadonnées, opérateurs réseaux. Dans ce domaine, la Chine pourrait devenir la plus grande propriétaire de ces richesses.

    Or, les mesures de confinement mondial ont entraîné un accroissement exponentiel de l’usage des technologies numériques, notamment à travers la généralisation du télétravail. Et ceci alors que la numérisation du monde est loin d’être achevée : de nombreux territoires dans le monde ne sont pas encore dotés de relais internet ou de réseaux informatiques efficaces.

    De fait, la numérisation internationale nécessitera, afin de continuer son développement, des investissements financiers pharaoniques afin de développer les infrastructures adéquates. Aujourd’hui, seuls deux pays auraient les moyens de mettre en œuvre cette homogénéisation technologique mondiale : les Etats-Unis et la Chine. Entre les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) américains et les BATX (Baidu, Alibaba, Tencent, Xiaomi) chinois, la course à l’hégémonie numérique est lancée.

    A travers son projet de Nouvelles routes de la soie, de même que son emprise toujours plus importante sur les économies africaines, la Chine semble pour l’instant dominer la compétition. En outre, la Chine possède toujours des réserves financières considérables, alors que les Etats-Unis, mais aussi l’UE, n’en finissent plus de creuser leurs dettes.

    La « guerre technologique » que mènent les Etats-Unis à la Chine à propos de Huawei cristallise, de même, les enjeux hégémoniques du monde numérique : en faisant pression sur leurs alliés, les Etatsuniens cherchent à empêcher ou freiner un déclassement dans un secteur où, jusqu’ici, ils régnaient en maîtres.

    L’Europe a-t-elle les moyens de changer de cap et de déjouer son destin de « colonie numérique » ? Rien n’est moins sûr. Pour ce faire, les dogmes de l’UE devraient être abattus. On se souvient que, en 2016, l’UE avait scandaleusement empêché la fusion d’Airbus et Ariane, ce qui aurait créé un géant mondial dans le secteur spatial. Cette interdiction, émise par la Commission européenne, avait été justifiée par le respect de la libre-concurrence et la volonté de ne pas engendrer une « position dominante » sur le marché… Peut-on être davantage suicidaire (et ridicule) quant au sabotage de sa propre puissance ?

    Jusqu’au XVIIIe siècle, la Chine était le pays le plus puissant du monde. Par la suite, dans les années 1950, les Etats-Unis récupérèrent l’hégémonie mondiale. En définitive, les Européens ne possédèrent une hégémonie incontestable sur l’ensemble de la planète qu’au cours d’une période de 250 ans. Alors que nous assistons à une lutte stratégique entre la puissance qui nous a précédé et celle qui nous a suivi, les Européens doivent à tout prix renouer avec leur volonté de puissance. Sans quoi, elle ne deviendra qu’une colonie parmi d’autres.

     

    Source : 24heuresactu