GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1175

  • Valence : lors d’un hommage à Samuel Paty, un élève de 11 ans crie “Allah Akbar”, son père le félicite et menace d’incendier le collège (MàJ : Hamid A. jugé pour “menaces de mort” sur le personnel éducatif)

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2022

    fdesouche

    Sebastien de Lyon 20/01/2022 à 16h12

    20/01/2022

    En octobre 2021, un homme de 43 ans avait félicité son fils de 11 ans, qui avait crié «Allah Akbar» pendant un hommage à Samuel Paty, avant d’insulter et menacer le personnel éducatif de l’établissement.

    Un homme de 43 ans est jugé jeudi 20 janvier à Valence (Drôme) pour «menaces de mort sur personnes chargées d’une mission de service public» et «atteintes aux biens publics». Cet agent de sécurité, de nationalité française, avait menacé de mort le personnel d’un collège de Valence, où son fils avait reçu un avertissement après avoir crié «Allah Akbar» lors d’un hommage à Samuel Paty en octobre 2021. Il avait été placé sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès.

    (…) Le Figaro


    20/10/2021

    Fin d’après-midi, comme des nuées de moineaux, les élèves s’échappent du collège Jean-Zay.

    « On est en classe de 5e  et 4e. La minute de silence en hommage, c’était normal, bien sûr ». Mais ils ne vont pas s’éterniser sur le sujet… « Pour nous, ce que l’élève a crié “Allah Akbar”, ce n’est pas forcément lié à cet hommage. En plus à ce moment-là, notre prof était un peu tendu. » Pour eux, l’affaire va trop loin : « faire intervenir la police quand même… Pour nous, ce père a voulu soutenir son fils. » Avant de reconnaître malgré tout « Ouais, il a peut-être fait une connerie ».


    19/10/2021

    Selon Alex Perrin, procureur de la République de Valence : « Le père du collégien a été identifié comme étant Hamid A., 43 ans, né à Valence et y demeurant, de nationalité française et agent de sécurité. La perquisition du domicile de l’intéressé a permis la découverte d’une bible, de deux livres salafistes, d’un nunchaku, d’un sabre, d’une canne épée ainsi que la somme de 11 500 € ».

    Toujours selon le procureur : « Une expertise psychiatrique est en cours et la garde à vue du quadragénaire a été prolongée. Des premières vérifications effectuées, le mis en cause était connu des services de police et des services judiciaires pour des faits anciens. Les investigations complémentaires se poursuivent sous la direction du parquet de Valence ».

    Le Dauphiné

  • Burkini à la piscine municipale : la Ville de Grenoble répond par “ni oui ni non”

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2022

    Burkini à la piscine municipale : la Ville de Grenoble répond par "ni oui ni non"

    (…) Après plusieurs rencontres, une ultime médiation a été menée ce mercredi 19 janvier 2022 entre la mairie et les membres de l’Alliance Citoyenne. Les trois membres du collectif ayant participé à ce rendez-vous ont annoncé le verdict devant la mairie de Grenoble, face à une cinquantaine de personnes : c’est toujours non, mais…

    « Il y a une opposition au changement du règlement intérieur des piscines », explique l’une des militantes. « On nous dit qu’il n’y a pas de position au sein de la majorité. Mais c’est une excuse. Ça suffit, on ne se laissera pas faire face à une majorité qui n’a pas le courage de s’affirmer ».

    « Dans le cas d’un changement de règlement intérieur, une interpellation citoyenne peut servir à engager un débat mais ne peut pas acter une décision, si celle-ci n’a pas fait l’objet d’une délibération votée », explique la majorité d’Éric Piolle par voie de communiqué. « Aussi, à ce jour la conclusion de la médiation est claire : la Ville de Grenoble ne peut s’engager à faire immédiatement évoluer le règlement intérieur des piscines en supprimant la notion de longueur des maillots de bain. Le Conseil municipal en décidera si tel est sa volonté, dans la temporalité qui est la sienne. »

    « On va déclencher le deuxième pallier d’interpellation citoyenne », assurent quant à eux les représentants du collectif, qui espèrent que la mesure pourra être portée jusqu’à une votation en conseil municipal, et ont demandé un rendez-vous avec le maire. « Et on continuera nos actions, à la piscine et à la mairie ».

    actu.fr via fdesouche.com/2022/01/20/burkini-a-la-piscine-municipale-la-ville-de-grenoble-repond-par-ni-oui-ni-non/

  • Défaite de l’équipe de foot algérienne : le Maroc, la Tunisie et la Guinée accusés de sorcellerie

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2022

     
  • “Pluriel”: la botte secrète d’Emmanuel Macron pour séduire les diasporas africaines

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2022

    Une poignée de proches du président français préparent le lancement début février d’une initiative politique d’un nouveau genre, baptisée “Pluriel” et oscillant entre le collectif et le mouvement. Portée par plusieurs ministres et députés, elle doit permettre de mordre sur l’électorat de centre gauche, mais aussi et surtout de toucher les “diasporas africaines”.

    (…) La lettre A via fdesouche

  • Vider les prisons pour cause de Covid ? La machine infernale est en marche !

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2022

    20 Janvier 2022, 08:24am | Publié par Thomas Joly 

    image_0931529_20220120_ob_14c97d_8e4364bdc530c20e8db88a3c136a7337e0423d.jpg

    Il faudrait être bien naïf pour imaginer que, aujourd’hui, les peines de prison continueront à être fixées par les tribunaux compétents. En effet, il y a cette loi de programmation et de réforme de la Justice, datant du 23 mars 2019, visant à « favoriser, lorsqu’elles sont possibles, les peines alternatives à l’incarcération ». Pas tant par trop-plein d’humanisme que par manque de place dans les geôles républicaines, semble-t-il.

    Une dérive que vient confirmer cette note confidentielle signée Laurent Ridel, directeur de l’administration pénitentiaire, envoyée à nombre de juges, histoire de leur indiquer la bonne marche à suivre : « Je tiens à vous alerter sur la situation de surencombrement des établissements de votre ressort. […] Cette situation complexifie lourdement les mesures de sécurité que nous devons mettre en œuvre pour limiter la propagation du virus. »

    Étrange mail qui a fini par atterrir à la rédaction du Point : sachant que la prison est le stade ultime du confinement, on aurait pu penser que les nouveaux arrivants étaient testés et que, faute de contact avec l’extérieur, les détenus ne pouvaient être contaminés par de tierces personnes. Il est à croire que non. Bref, toujours à lire le courrier en question, il s’agirait avant tout de « réduire la densité carcérale ». À ce compte, il faudrait également fixer des quotas de patients à virer des hôpitaux débordés ou des élèves à exclure d’écoles elles aussi surchargées pour éviter de possibles clusters…

    Et Laurent Ridel, en l’occurrence garde des Sceaux autoproclamé, de conseiller : « Il semble que moins de 2 % des détenus condamnés font actuellement l’objet d’une libération sous contrainte […] alors que 30 % des personnes condamnées y sont à première vue éligibles. » Cette « libération sous contrainte », c’est par exemple la détention en des centres semi-ouverts ou le bracelet électronique. Mais ce que le même Ridel oublie de préciser, c’est la manière dont il faudra surveiller ces dizaines de milliers de prisonniers élargis ; déjà que les forces de l’ordre ne parviennent pas à faire comprendre à un Patrick Balkany qu’un bracelet électronique n’a rien à voir avec celui qu’on vous met au poignet à l’entrée des boîtes de nuit, alors…

    Sans surprise, ça grogne du côté de la magistrature. Cité par Le Point, ce magistrat de Reims : « Le directeur de l’administration pénitentiaire se permet, par écrit et avec le minimum de formes requises, de donner de quasi-instructions à des magistrats indépendants. Pour nous demander quoi ? D’adapter nos décisions aux capacités hôtelières des prisons, comme s’il existait un numerus clausus et comme s’il avait une quelconque autorité sur nous. »

    Il est vrai qu’avec cette affaire, les juges se trouvent à la fois accusés de sévérité et de laxisme. Et le même de poursuivre : « Le problème du surencombrement des prisons ne date pas d’hier. Le gouvernement caresse en permanence l’opinion dans le sens du poil avec des discours répressifs et sécuritaires, tout en nous encourageant à vider les prisons. » On a déjà lu moins nigaud.

    Plus sérieusement, et Covid ou pas, la vérité est qu’en France, les conditions de détention sont souvent indignes d’un pays civilisé, que nombre de ces détenus, lorsqu'ils sont étrangers, auraient vocation à regagner leurs pénates d’origine, une fois leur peine purgée et que les constructions de nouvelles prisons sont sans cesse repoussées.

    L’autre vérité est que cette situation est plus que représentative de la philosophie macronienne qui considère la France comme une start-up nation et tient le gouvernement pour un simple conseil d’administration. Il faut donc gouverner à flux tendus et gérer les stocks, même ceux d’êtres humains ; même ceux de prisonniers qui ne sont pas les meilleurs des citoyens. Mais qu’au moins ce système aille jusqu’au bout de sa logique et fasse gérer les prisons par le groupe Accor, avec réductions à partir de dix nuitées et tarifs spéciaux pour les visites en groupe.

    Nicolas Gauthier

    Source : http://bvoltaire.fr