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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1276

  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

    Chronique des cinglés

    Le Prix de thèse 2021 du Défenseur des droits a été décerné à Mme Elsa FAVIER, sociologue au centre Maurice-Halbwachs, pour sa thèse de doctorat en sciences sociales et genre

    “Enarques et femmes. Le genre dans la haute fonction publique”.

    Réalisée sous la direction de Mme Laure BERENI, et soutenue le 30 novembre 2020 à l’école des Hautes études en sciences sociales (EHESS), la thèse de Mme Elsa FAVIER éclaire un bouleversement majeur des dernières décennies : la féminisation des élites administratives. La part des femmes dans la haute fonction publique d’Etat est ainsi passée de 12 à 40 % entre 2001 et 2017.

    A partir d’une enquête ethnographique, statistique et sociohistorique, elle explore l’évolution de l’accès des femmes à des positions de pouvoirs au sein de l’Etat et les logiques sociales qui sont à l’œuvre à travers les profils des femmes qui y accèdent et la manière dont elles s’approprient des rôles professionnels historiquement construits comme masculins.

    Elle avait déjà reçu en juin dernier le Prix de Thèse PSL en Sciences Humaines et Sociales 2021.

    ***********

    M. Omar DIDI, co-président et responsable international du MAG Jeunes LGBT, Mouvement d’affirmation des jeunes lesbiennes, gais, bi et trans, trésorier et co-rapporteur de la commission inclusion/diversité du Forum Français de la Jeunesse (FFJ), membre du conseil scientifique et d’orientation de l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (INJEP), a été nommé président du Conseil d’orientation des politiques de jeunesse.

    Il succède à Mme Elsa BOUNEAU, directrice de la Fondation du protestantisme, ancienne présidente de la Fédération du scoutisme Français, ancienne membre de la section de l’aménagement durable des territoires du Conseil économique, social et environnemental (CESE), qui assumait cette présidence depuis février 2019.

    Source : lesalonbeig

  • A 14 semaines, l’avortement consiste à démembrer un corps formé et à écraser une tête déjà ossifiée

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

    A 14 semaines, l’avortement consiste à démembrer un corps formé et à écraser une tête déjà ossifiée

    Nicolas Tardy-Joubert, président de la Marche pour la Vie, a écrit une tribune à Emmanuel Macron :

    Le Président du groupe LREM à l’Assemblée Nationale, Monsieur Christophe Castaner, souhaite faire examiner, à nouveau, d’ici fin novembre une proposition de loi, pour étendre le délai d’une IVG de 12 à 14 semaines, supprimer la clause de conscience spécifique, ou permettre la réalisation d’IVG chirurgicales par les sage-femmes notamment.

    Nous sommes consternés de voir que, malgré une situation démographique préoccupante dans notre pays, certains idéologues n’envisagent le droit des femmes qu’avec une extension de la durée légale d’autorisation de l’avortement. Force est de constater que l’avortement, alors qu’il devait rester une exception dans la loi Veil, que nous ne pouvons approuver, est devenu une méthode de contraception comme une autre. Il nous semble urgent de revoir les politiques d’accueil de la vie. Vous avez proposé de faire des 1000 premiers jours de l’enfant une priorité de l’action publique, ce dont nous nous réjouissons. Mais il est aussi important de penser à l’accueil de la vie pendant toute la période gestationnelle. Les députés de votre majorité devraient plutôt travailler pour que l’avortement ne devienne jamais une fatalité pour des raisons économiques.

    Le cœur d’un bébé bat à partir de 6 semaines. De 12 à 14 semaines la taille du fœtus passe de 8,5 à 12 cm. A 14 semaines, l’avortement consiste à démembrer un corps formé et à écraser une tête déjà ossifiée. Nous connaissons, par ailleurs, les risques que l’avortement crée en matière de santé pour la femme, qu’ils soient psychologiques ou physiques. Le président du collège national des gynécologues et obstétriciens français, indique lui-même que « plus l’IVG est tardive, plus elle est dangereuse pour la femme ». Cet allongement est rejeté par l’immense majorité des professionnels. Vous avez d’ailleurs signifié votre opposition à l’extension de la durée légale de 12 à 14 semaines, dans le cadre d’un interview au magazine Elle, le 1er juillet dernier.

    Nous en appelons à votre conscience, à votre humanité, à votre autorité. Nous vous prions de faire retirer ou rejeter cette proposition de loi inscrite par votre majorité pour discussion à l’Assemblée nationale fin novembre. Nous vous demandons de mettre en œuvre une politique de prévention de l’avortement, en ligne avec les conventions internationales que la France a signées.

    Nous sommes à votre disposition pour vous rencontrer et vous prions de croire, Monsieur le Président de la République, en l’expression de notre haute considération.

     

    Source : lesalonbeige

  • Par pitié pour le peuple, les évêques doivent cesser de remuer la boue!

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

    Par pitié pour le peuple, les évêques doivent cesser de remuer la boue!

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    Un lecteur nous adresse cet article:

    La publicité faite autour  du rapport Sauvé sur les abus sexuels qui auraient été commis dans l’Eglise au cours des dernières décennies est un acte contre la charité.

    Ceux qui l’ont décidée semblent ne pas se rendre compte de l’état de population française en cet automne 2021, en partie du fait de l’épidémie : absence de perspectives économiques et politiques, montée des suicides, des dépressions, des avortements, recours accru aux neuroleptiques, explosion des consultations en psychologie et psychiatrie, menace de crise internationale.

    Plongés dans une crise morale sans précédent, les Français attendaient de leurs pasteurs deux choses : des points de repères forts, une parole d’espérance réaliste, pas de « bonnes paroles », pas seulement pour l’au-delà mais pour ce temps.

    Au lieu de cela, ils auront reçu « en pleine gueule » un tombereau d’insanités. La plupart des Français ne se sentent pas personnellement concernés par ces affaires. Nous parlons des Français car le vrai troupeau, aujourd’hui, ce sont eux, pas les seuls abonnés de La Croix.

    Beaucoup pensent, non sans raisons, que le rapport est  exagéré . La seule chose sûre est que 243 victimes d’abus ont été entendues. 2819 auraient écrit une lettre.  Ça parait un gros chiffre en notre temps où personne n’écrit plus : une campagne de lettres, ça s’organise et certains lobbies savent le faire.   Quelle légitimité a l’INSERM pour faire des sondages en la matière ? Passer sur ces bases à 320 000 victimes (dont 219 000 de clercs, soit 3000 clercs en cause pour 110 000 ayant exercé sur la période) se rapportant pour 54 % à des affaires vieilles de plus d’un demi-siècle nous paraît de la  haute voltige.

    La méthode de l’extrapolation rétrospective n’est pas scientifique. Dire : il y a eu tant d’abus dans la période récente pour laquelle nous avons encore des témoins ;    il y avait dix fois plus de prêtres dans les années cinquante et donc dix fois plus d’abus est une manipulation.  Elle ne tient pas compte de l’historicité du phénomène dont le pape Benoît XVI, comme d’autres, pense qu’il est lié à l’explosion libertaire des années soixante-dix (et non au Concile). Elle ne correspond pas aux souvenirs que certains ont gardé des années cinquante. Dans les temps d’anticléricalisme très virulent (années 1880-1914), la question n’est pas évoquée. Elle l‘aurait été sans nul doute s’il y avait eu lieu.

    Que M. Sauvé dont « tout le monde disait du bien » dans la vie civile ait cautionné ce rapport ne suffit pas.  La loi morale interdit de ne pas avouer les fautes que l’on a commises. Mais en avouer que l’on n’a pas commises, surtout pour des pasteurs dont « la lumière doit briller aux yeux des hommes » (Mt 5,7), n’est non plus pas un acte  innocent.

    Le souci d’une purification toujours à recommencer, au prix d’aveux scabreux,  peut être même tenue pour une forme narcissique de recherche de la pureté de type pharisien. Les victimes, qui certes méritent une grande compassion, sont-elles unanimes à le demander ? Certaines n’en sont -elles pas profondément gênées ?

    Les évêques français semblent ignorer les mécanismes de communication subliminale : même si aucun d’entre eux n’a commis les fautes invoquées (nous n’en doutons pas), une opinion mal éclairée va associer désormais évêque à pédomanie, un mécanisme dont fut victime à Lyon le pauvre cardinal Barbarin et que cherchent sans nul doute à nourrir les ennemis de l’Eglise, infiltrés ou pas.

    Quoique le rapport l’exagère, le mal a existé, c’est une chose entendue. Les coupables, s’ils sont encore en vie, et s’ils ont toujours dans l’Eglise,  sont renvoyés à leur conscience et à la justice.

    Plutôt que de multiplier les résipiscences importunes, ceux qui, en connaissance de cause,  n’ont pas cherché à les neutraliser  devraient à notre sens, réviser leur doctrine sur deux sujets :

    • La solidarité de corps, épiscopal, clérical ou ecclésial, n’est pas le dernier mot de la charité.  Elle n’interdit pas par exemple qu’un prêtre dangereux, par ses mœurs ou par sa doctrine,  soit expulsé de l’Eglise.
    • Encore moins la crainte du scandale est-elle l’expression de la prudence ou de la sagesse. Nous ne parlons pas seulement de scandale qui  éclabousserait l’Eglise, mais tout simplement de celui qui ferait des remous. Le remous n’est pas un mal en soi. Et empêcher des remous peut l’être. J’ai entendu un homme d’Eglise critiqué parce qu’il était « clivant » et donc source de problèmes : mais Notre Seigneur Jésus Christ ne l’était-il pas, lui, clivant ?

    Le bruit fait autour du rapport Sauvé  a suscité découragement et colère chez beaucoup de fidèles – non contre les faits supposés mais leur exagération et leur publicité.  Il est notoire que beaucoup de pratiquants n’ont nullement envie de payer son coût exorbitant (3 millions d‘euros).

    Le premier acte pastoral que l’on attend des évêques est de tourner la page.

     

    Source : lesalonbeige

  • Tribunal d’Évry-Courcouronnes (91): un migrant frappe des policiers, insulte la France, qualifie la juge de « raciste » et revendique son appartenance à Daesh

    Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2021

    Essonne. Il crie “Je suis Daesh” et frappe des policiers en plein tribunal 

     

    […]

     

    « Je suis Daesh » dans les couloirs du tribunal

    Il est plus exactement 11 h lorsqu’une escorte policière du centre de rétention de Palaiseau accompagne le prévenu devant la juge des libertés et de la détention. Après avoir refusé de s’entretenir avec son avocat commis d’office, l’homme de 22 ans demande à être libéré.

    Refusant de sortir de la salle, il insulte la juge de « raciste ». Finalement dehors, il tente plusieurs fois de forcer le passage pour négocier sa libération. Face à son comportement, les policiers le menottent.

    Proférant de nouveau des insultes envers la juge, les policiers et la France, ce dernier s’en prend ensuite aux forces de l’ordre. Après avoir donné un coup de pied au ventre à l’un d’eux, il crache dans les yeux d’un autre et le frappe au visage. « Je suis Daesh ! Je suis Daesh ! », crie le suspect en mimant un couteau dans ses mains.

     

    […]

     

    Le procureur de la République requiert alors huit mois de prison ferme avec mandat de dépôt contre le prévenu. L’avocat de la défense formule pour sa part une demande de relaxe pour le chef d’apologie du terrorisme, estimant que son client voulait « juste faire peur aux policiers ».

    Une demande entendue par le tribunal qui le relaxe pour ce fait.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur Actu Essonne

  • Les Daltons, produit du laxisme généralisé

    Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2021

    Le parcours du délinquant qui diffuse ses exploits sur les réseaux sociaux se déroule désormais selon trois étapes incontournables : arrestation → libération → plateau de Cyril Hanouna.

    Après avoir reçu en grande pompe l’agité qui s’était filmé en train de subtiliser le matériel d’une voiture de pompiers en intervention, l’émission se devait de donner la parole au groupe d’amateurs de rodéos urbains intitulé les « Dalton ». La référence à l’univers carcéral se lit sur leurs tenues jaunes à rayures noires. Ils ne sont pas encore en prison mais se tiennent prêts. Avec cette société odieuse dans laquelle ils vivent, il faut s’attendre à tout. Les pires injustices, les pires maltraitances. Ce sont quatre victimes qui sont venues dépeindre l’oppression dont ils font l’objet. Les médias, le maire, le préfet… jamais de répit, jamais de tranquillité. Cyril Hanouna se rend compte qu’il a invité de braves petits gars au bout du rouleau.

    Mais avant d’en arriver aux épisodes les plus tragiques de leur condition, le premier interviewé tient à présenter ses excuses à la population : « Parce qu’on a compris que ça pouvait énormément causer de torts, de craintes. » Allez prévoir qu’une moto arrivant sur la roue arrière dans une rue piétonne va susciter l’inquiétude des passants (comme le montre une vidéo). Allons. Les Dalton ne sont pas devins.

    Preuve du harcèlement intensif qu’elle subit, la fratrie signale qu’elle est momentanément amputée de son cinquième élément. Après la diffusion d’un clip mêlant rodéos moto et armes à feu, celui-ci dort en prison dans sa tenue à rayures. Pour six mois ! L’indignation des quatre rescapés est à son comble. « Dans quel pays vit-on, je vous le demande ? »

    Face à la détresse de ses invités, le professeur Hanouna cherche à comprendre le but ultime de ces pétarades dans les rues de Lyon et sur le périphérique. « Est-ce que vous voulez essayer de renverser l’ordre public ou pas du tout ? » demande-t-il au porte-parole des bagnards. Mais où va-t-il chercher tout ça ? « Non, on n’est pas dans ce concept-là. Nous, c’est la musique », répond la victime. Premier prix de pot d’échappement au conservatoire de Lyon. Respect.

    L’animateur rappelle qu’il s’agit d’un groupe de rap. L’opération marketing est à demi avouée par l’invité emmitouflé dans sa cagoule : « Des actes symboliques pour faire parler un peu de nous. » Le tout enrobé d’un épais sirop victimaire. Ils n’ont rien décidé, « c’est monsieur le maire et monsieur le préfet qui sont entrés en guerre avec nous depuis le début ».

    À la remarque de l’animateur rappelant que les rodéos sont hors la loi, il lui est répondu : « Dans quel clip il n’y a pas de rodéos ? » Baigné dans un climat de laxisme généralisé, aux yeux du rappeur, l’illégalité devient la norme. Face à un Darmanin qui tire moins vite que son ombre, il n’est pas surprenant que des Dalton se croient tout permis.

    Jany Leroy

    Source : http://bvoltaire.fr