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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1317

  • Bernard Lugan : “cette version des événements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande”

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    Publié le 12 octobre 2021 sur le blog de Bernard Lugan, historien spécialiste de l’Afrique

    Le 17 octobre prochain, comme chaque année, les autorités françaises, les islamo-gauchistes et le « Système » algérien vont commémorer un massacre qui n’a pas eu lieu…

    Sur ce blog, ayant périodiquement à la même date déconstruit l’histoire officielle de ce prétendu « massacre », je me contenterai de renvoyer au chapitre IX intitulé « 17 octobre 1961, un massacre imaginaire » de mon livre « Algérie l’Histoire à l’endroit » en ajoutant ici quelques éléments essentiels à la compréhension du montage culpabilisateur qui nous est imposé : 

    1) La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres. 

    2) Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins. 

    3) En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida de manifester afin de montrer sa force, et pour tenter d’achever sa prise de contrôle des Algériens vivant en métropole. 

    4) Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7000 comme cela est trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés « historiens », accusés d’avoir massacré des centaines de manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300. Or, cette version des évènements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande. Tout repose en effet sur des chiffres inventés ou manipulés à l’époque par le FLN algérien et par ses alliés communistes. Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961, est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation comme nous le verrons plus loin !!!

    […]

    La suite sur le blog de Bernard Lugan

  • Insécurité et rodéos sauvages : le maire de Lyon et le préfet du Rhône devant le tribunal après des plaintes de deux collectifs d’habitants

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

    Deux collectifs citoyens, « Presqu’île en colère » et « Lyon en colère », ont assigné en justice le maire de Lyon ainsi que le préfet du Rhône pour manquement à leur mission de protection de la sécurité et de la tranquillité publiques. Une audience aura lieu le 10 novembre devant le tribunal administratif.

    (…) Ces derniers ont en effet déposé deux plaintes distinctes en juin dernier, afin de dénoncer les responsabilités respectives du maire de Lyon et du préfet du Rhône, coupables selon eux d’une « carence » dans leur « mission de protection de la sécurité et tranquillité publiques », dans certains quartiers de Lyon, ainsi qu’à Villeurbanne. Les deux collectifs dénoncent notamment les rodéos urbains incessants.

    « Nous soutenons que ces autorités de police sont fautives car elles ont manqué à leurs obligations en tardant à prendre des mesures et/ou en ne prenant pas toutes les mesures utiles de nature à prévenir sérieusement les nuisances des rodéos urbains sur la Presqu’île et les troubles à l’insécurité et la tranquillité dans plusieurs autres quartiers de Lyon et Villeurbanne », affirme Me Edouard Raffin, avocat au barreau de Lyon, dans un communiqué.

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    (…) Actu 17 via fdesouche

  • Zemmour qualifié au second tour quel que soit le candidat à droite, selon un nouveau sondage Harris

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

     

    Le sondage Harris Interactive de ce mercredi affiche une stagnation d’Emmanuel Macron, Marine Le Pen et Éric Zemmour. L’essayiste reste à la deuxième place et se qualifierait pour le second tour. Xavier Bertrand progresse légèrement.

    Ce mercredi 13 octobre paraît le dernier sondage Harris Interactive pour Challenges. La semaine dernière, il avait fait beaucoup parler de lui en plaçant pour la première fois Éric Zemmour en position de se qualifier au second tour de la présidentielle. La tendance se confirme à nouveau aujourd’hui, tandis que les intentions de vote pour les trois premiers candidats n’ont pas bougé.

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    Ainsi, Emmanuel Macron reste bien plus haut que ses concurrents, à 24%. M.Zemmour est annoncé à 17%, devant les 15% de Marine Le Pen. Xavier Bertrand, qui a assuré lundi qu’il participerait au congrès des Républicains du 4 décembre, gagne un point (14%).

    L’ancien chroniqueur de CNews reste à 17% si Valérie Pécresse est la candidate de la droite, et monte à 18% si c’est Michel Barnier, toujours devant la candidate du Rassemblement national. Au second tour, le Président sortant l’emporterait quel que soit le candidat en face: 57% contre Zemmour, 54% contre Marine Le Pen et 52% contre Xavier Bertrand.

    L’Insoumis Jean-Luc Mélenchon resterait le candidat le mieux placé à gauche (11%), devant l’écologiste Yannick Jadot (7%) et Anne Hidalgo (5%), laquelle devrait recevoir l’investiture du Parti socialiste demain.

    Source

  • Génial, ils mettent des armes à feu sur les robots-chiens maintenant

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

     

    par Caitlin Johnstone.

    Ils ont commencé à monter des fusils de sniper sur des robots-chiens, ce qui est une excellente nouvelle pour tous ceux qui espéraient qu’ils commencent à monter des fusils de sniper sur des robots-chiens.

    Lors de la réunion annuelle et de l’exposition de l’Association de l’Armée américaine, Ghost Robotics (le concurrent militaire de la société plus connue Boston Dynamics) a fièrement présenté une arme conçue pour être fixée à ses robots quadrupèdes fabriqués par une société appelée SWORD Defense Systems.

    « Le Fusil sans Pilote à Usage spécial (SPUR – Special Purpose Unmanned Rifle) de SWORD Defense Systems a été spécialement conçu pour offrir un tir de précision à partir de plateformes sans pilote telles que le quadrupède Vision-60 de Ghost Robotics », proclame SWORD sur son site Web.

    « Le SPUR est équipé d’une chambre 6,5 Creedmoor permettant un tir de précision jusqu’à 1200 m. Il peut également utiliser des cartouches 7,62×51 mm OTAN si des munitions sont disponibles. Grâce à ses capteurs très performants, le SPUR peut opérer dans une multitude de conditions, de jour comme de nuit. Le SPUR de SWORD Defense Systems est l’avenir des systèmes d’armement sans pilote, et cet avenir est maintenant ».

     

    En mai dernier, l’armée de l’air américaine a diffusé une vidéo sur le « Robot-Chien Fantôme » avec lequel ces armes sont conçues, montrant les machines en train de faire du sport, de se relever après avoir été retournées, et même de danser. Tout cela devient beaucoup moins mignon quand on imagine qu’elles effectuent ces manœuvres tout en portant une arme conçue pour exploser des crânes à un kilomètre de distance.

    À un moment donné dans la vidéo, un sergent-chef explique à l’animateur comment ces robots-chiens peuvent être équipés de toutes sortes d’appareils, tels que des systèmes de communication, des dispositifs de neutralisation des explosifs et munitions, des appareils pour tester les produits chimiques et les radiations, et pendant tout le temps où vous l’écoutez énumérer ces choses, vous pensez « Des armes. Oui, des armes. On peut y attacher des armes, pourquoi ne pas le dire tout simplement ? ».

    Le prototype SPUR n’est qu’une des nombreuses armes différentes que nous verrons certainement testées pour être utilisées avec des robots quadrupèdes dans les années à venir, et finalement nous verrons probablement ses successeurs testés sur des étrangers appauvris lors d’interventions militaires inutiles des États-Unis et/ou de leurs alliés. Ils rejoindront les autres systèmes d’armes sans pilote de l’arsenal impérial, comme le célèbre programme de drones des États-Unis, le Samsung SGR-A1 de la Corée du Sud, le drone turc Kargu, qui aurait déjà attaqué des êtres humains en Libye sans en avoir reçu l’ordre, et le fusil de précision robotisé assisté par l’IA, utilisé par les services secrets israéliens en coordination avec le gouvernement américain pour assassiner un scientifique iranien l’année dernière.

    Dans un avenir pas si lointain, les systèmes d’armes sans pilote seront peut-être également convoités par des civils fortunés.

    En 2018, l’auteur et professeur influent Douglas Rushkoff a écrit un article intitulé « La survie des plus riches » dans lequel il a révélé qu’un an plus tôt, il avait reçu des honoraires énormes pour rencontrer cinq investisseurs de fonds de couverture extrêmement riches. Selon Rushkoff, ces milliardaires anonymes lui ont demandé conseil pour élaborer une stratégie de survie après ce qu’ils ont appelé « l’événement », leur terme pour désigner l’effondrement de la civilisation par la destruction du climat, la guerre nucléaire ou toute autre catastrophe qu’ils considéraient apparemment comme suffisamment probable et proche pour commencer à s’y préparer.

    Rushkoff écrit que, finalement, il est devenu évident que la principale préoccupation de ces ploutocrates était de maintenir le contrôle d’une force de sécurité qui protégerait leurs domaines de la populace dans un monde post-apocalyptique où l’argent ne signifierait peut-être plus rien. Je vous encourage à lire attentivement le paragraphe suivant de l’article, car il en dit long sur la façon dont ces personnes voient notre avenir, notre monde et leurs semblables :

    « Cette seule question nous a occupés pendant le reste de l’heure. Ils savent que des gardes armés seront nécessaires pour protéger leurs installations des foules en colère. Mais comment vont-ils payer les gardes une fois que l’argent ne vaudrait plus rien ? Qu’est-ce qui pourraient empêcher les gardes de choisir leur propre chef ? Les milliardaires ont envisagé d’utiliser des serrures à combinaison spéciale sur l’approvisionnement en nourriture qu’ils étaient les seuls à connaître. Ou faire porter aux gardes une sorte de collier disciplinaire en échange de leur survie. Ou peut-être construire des robots pour servir de gardes et de travailleurs – si cette technologie pouvait être développée à temps ».

    Quelque chose à garder en tête si vous vous retrouvez un jour à espérer avec ferveur que le monde soit sauvé par des milliardaires.

    Reid Hoffman, cofondateur de LinkedIn, a déclaré que plus de la moitié des milliardaires de la Silicon Valley ont investi dans une sorte d’ « assurance apocalypse », comme un bunker souterrain, afin de s’assurer qu’ils survivent aux catastrophes qui pourraient résulter du statu quo dont ils profitent actuellement si largement. Le New Yorker a publié un article sur ce phénomène des méga-riches qui se préparent à l’apocalypse. Nous pouvons être sûrs que les forces militaires ne sont pas les seules à prévoir d’avoir des machines à tuer éternellement loyales pour protéger leurs intérêts à l’avenir.

    Nous sommes gouvernés par des bellicistes et des sociopathes, et aucun d’entre eux n’a de projets sains pour notre avenir. Ils ne sont pas gentils, et ils ne sont pas sages. Ils ne sont même pas particulièrement intelligents. À moins que nous ne trouvions un moyen d’arracher leurs doigts du volant de notre monde pour que nous puissions nous détourner de la direction que nous prenons, les choses vont probablement devenir très sombres et effrayantes.

    source : https://caityjohnstone.medium.com

    traduit par Réseau International

  • Les États-Unis font planer la menace militaire contre l’Iran si la diplomatie échoue

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

     

    Les États-Unis de Joe Biden ont fait planer mercredi la menace d’un recours à l’option militaire contre l’Iran en cas d’échec de la diplomatie pour empêcher Téhéran de se doter de l’arme atomique, faisant pour la première fois clairement écho aux avertissements israéliens. À la veille d’une visite cruciale du négociateur de l’Union européenne jeudi à Téhéran, l’impatience monte côté américain mais aussi européen, et le changement de ton est manifeste.

    Washington pense « qu’une solution diplomatique est la meilleure manière » d’éviter que la République islamique devienne une puissance nucléaire, a déclaré le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken lors d’une conférence de presse avec son homologue israélien Yaïr Lapid dans la capitale américaine. Mais il a jugé peu « encourageants » les signaux émanant de Téhéran, qui n’a toujours pas fixé de date pour la reprise des négociations visant à sauver l’accord international de 2015 sur le nucléaire iranien, à l’arrêt depuis juin. « Il faut être deux pour dialoguer et nous n’avons pas constaté, à ce stade, de volonté d’en faire autant de la part de l’Iran », a déploré le secrétaire d’État, estimant une nouvelle fois que la « fenêtre de tir » se refermait à grand pas.

    « Nous sommes prêts à nous tourner vers d’autres options si l’Iran ne change pas de direction », a-t-il prévenu alors qu’il était interrogé sur la possibilité du recours à la force. « Nous envisagerons toutes les options. » À ses côtés, le ministre israélien a enfoncé le clou, sans être contredit. « En disant “d’autres options”, je pense que tout le monde comprend », a-t-il lancé, dans une allusion claire à l’option militaire. Yaïr Lapid a d’ailleurs été encore plus explicite au nom de l’État hébreu, opposé de longue date à l’accord de 2015 qu’il juge insuffisant.

    « Le secrétaire d’État Blinken et moi sommes des enfants de survivants de l’Holocauste. Nous savons qu’il y a des moments où les nations doivent avoir recours à la force pour protéger le monde du Mal », a-t-il déclaré. « Israël se réserve le droit d’agir à tout moment, et quels que soient les moyens », a-t-il martelé.

    Lire l’article entier sur lefigaro.fr