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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1570

  • Une nouvelle école hors-contrat à Fabrègues, au sud de Montpellier : les inscriptions sont d’ores-et-déjà ouvertes

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    Auteur : 

    Les mères dominicaines enseignantes de Fanjeaux ouvrent une nouvelle école pour la rentrée 2021: le Cours Saint-Dominique-Savio, à côté du Prieuré Saint-François-de-Sales de Fabrègues.

    L’école du prieuré de Fabrègues, fermée il y a dix-huit mois, rouvre ses portes en septembre 2021. Sous une autre forme, toutefois. En effet l’école sera désormais prise en charge à 100% par des sœurs enseignantes, de la Congrégation des dominicaines enseignantes de Fanjeaux.

    C’est une superbe opportunité pour les enfants de maternelle et du primaire. Il leur est garanti un enseignement d’excellence, une éducation chrétienne exigeante et épanouissante, le tout dans une atmosphère profondément catholique et un cadre de vie idéal. Tout cela au prix de 150 euros par mois, durant les 10 mois de l’année scolaire. Le nec plus ultra de l’enseignement catholique dans la région de Montpellier !

    LES INSCRIPTIONS SONT D’ORES ET DÉJÀ OUVERTES. 

    Sur demande, il est possible de recevoir les informations pratiques et les feuilles d’inscription.

    Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter le prieuré de Fabrègues : 1, RUE NEUVE DES HORTS 34690 FABRÈGUES

    Téléphone : +33 9 81 28 28 05

    Email : 34P.FABREGUES@FSSPX.FR

    Source : Abbé Louis-Marie BERTHE, Prieur FSSPX

  • En Estonie, la police humilie les opposants à la dictature sanitaire, allant jusqu’à faire déshabiller un homme âgé en pleine rue

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    Estonie – Une manifestation pacifique contre les verrouillages liés au COVID dans la capitale de l’Estonie en Europe de l’Est a été brisée par l’intimidation, l’humiliation et le mépris de la droit. Entre autres actions, la police estonienne a déshabillé un homme âgé jusqu’à ses sous-vêtements et l’a menacé de fouille anale pour avoir utilisé un seau comme un tambour pendant la manifestation. Les faits datent du dimanche 11 avril et n’ont pas été relayés par les médias du système.

    La police a interdit l’utilisation de panneaux et d’instruments. Les policiers ont été très agressifs et ont fait appliquer très strictement la règle de distance 2 + 2.

    La règle 2 + 2 est la formule locale de la distance sociale sous prétexte sanitaire. Les groupes ne peuvent être que de deux, et les deux du groupe de deux doivent être distants de 2 m. Non seulement l’État a déclaré que les protestations ne peuvent être faites qu’en nombre de dix personnes au maximum, mais celles qui y participent doivent également suivre la règle 2 + 2.

    Un autre homme – avec sa femme et sa fille dans un café en bas de la rue – a regardé la police armée entrer dans l’établissement. Ce témoin a raconté comment un policier a même tenté de tirer son enfant loin de sa femme par la force.

    Sur la place de la Liberté, Varro Vooglaid a vu les forces spéciales commencer à harceler et à humilier la population. «Ils harcelaient constamment les gens pour qu’ils s’écartent de 2 mètres, les bousculant avec violence et arrêtant toute personne exprimant son désaccord.» Vooglaid, avocat, est le fondateur de la Fondation estonienne de défense de la famille et de la tradition, une organisation engagée à préserver les valeurs chrétiennes, la famille et la liberté en Estonie.

    L’un des plus gros problèmes, a déclaré Vooglaid, est que la police ignore la loi. Ils disaient à tort aux gens qu’il était illégal de brandir des pancartes ou de jouer de la guitare dans la rue. Désormais, un nouveau projet de loi propose d’accorder à la police estonienne plus de pouvoir pour faire appliquer les restrictions relatives aux coronavirus. Répondant aux questions de médias polonais, Voolgaid a déclaré : « Les nouveaux pouvoirs concerneraient, par exemple, la possibilité d’engager des poursuites judiciaires contre des citoyens, pour ne pas avoir de masque sur le visage. De plus, les agents seraient en mesure de punir plus facilement et plus rapidement ceux qui enfreignent les restrictions relatives aux coronavirus. »

    En raison du recours excessif à la force par la police dimanche, la direction de la police a fait retirer les noms des policiers de leurs uniformes.

    L’ancienne ministre des Affaires intérieures, Marte Helme, a déclaré publiquement: « L’État policier est ici .»

    Non seulement les policiers agissent en dehors de la loi, mais le nouveau projet de loi leur permettrait de le faire dans un anonymat presque complet.

    Le Premier ministre Kaja Kallas nie qu’un usage excessif du pouvoir ait eu lieu. «Lorsque des règles ont été imposées à une société, il est dans l’intérêt de ceux qui les respectent que ceux qui ne les respectent pas soient tenus responsables», a-t-elle soutenu.

    Les signes d’une société en voie de devenir un État policier peuvent être vus partout dans le monde, car les gens sont obligés de subir des privations de libertés qui durent maintenant depuis plus d’un an. Dans le même temps, les manifestations se multiplient.

    Grâce à son compte Facebook, Vooglaid a encouragé tous les citoyens à poursuivre les manifestations pacifiques. Maintenant, cependant, «l’acuité des manifestations doit être dirigée vers le gouvernement et la police et exiger une réelle responsabilité pour leurs actions».

     

    Source : medias-presse.info

  • C’était un 22 avril…

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    Publié le 22 avril 2021 Auteur par Rédaction

    philippe_auguste.gif1182 : excédé, le roi de France Philippe Auguste expulse de ses états tous les Juifs, sans exception. Il les avait tous arrêtés, un jour de sabbat, dans toutes les villes du Royaume. Etant ainsi détenus dans leurs synagogues, ils n’obtinrent leur liberté qu’« en rendant l’or et l’argent qu’ils avaient extorqués par les usures les plus diverses ». Le roi anéantit toutes les créances et confisqua tous leurs biens.

     

     

     

     

    Source : contre-info

  • Émeutes à Tourcoing : quel est le profil des interpellés et ont-ils été condamnés ?

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    Quelles ont été les suites judiciaires après les émeutes de Tourcoing (Nord) ? Les individus interpellés ont-ils été condamnés ? La question se pose à l’heure où la justice est régulièrement accusée de laxisme. La récente polémique après le verdict du procès de l’attaque de Viry-Châtillon en est l’illustration. Des journalistes du Figaro  ont assisté à une audience au tribunal correctionnel de Lille, vendredi 23 avril, durant laquelle deux prévenus étaient présentés à la justice en comparution immédiate : Moussa et Samir [les prénoms ont été changés] , tous les deux nés en 2002.

    Il est environ 15h quand Moussa, vêtu d’un jean et d’un sweat à capuche sombres, s’avance seul à la barre. Le jeune homme de 19 ans n’a pas d’avocat. […] «Qu’est-ce que vous faites de vos journées Monsieur ?», questionne la présidente. «En ce moment je travaille chez moi. Je suis lycéen en 1ère, en gestion-administration. Je fais mes devoirs», répond le jeune homme d’une voix calme et posée. Il dit envisager de faire un BTS par la suite. Mais cette image d’élève modèle est mise à mal par les propos…. de sa propre mère, qui pointe son faible investissement. . […]

    C’est au tour de Samir, vêtu d’un jean et d’un sweat rouge et bleu, de se présenter à la barre accompagné de son avocat. […] «Qu’est-ce que vous faites de vos journées ?», lui demande la présidente. «Je suis étudiant en terminale pro commerce», explique-t-il d’une voix timide, les mains dans le dos. Samir vit chez ses parents avec ses trois sœurs et selon sa mère, citée par la présidente, il n’y a pas de problème particulier avec le lycée. […]

    Moussa est placé sous contrôle judiciaire avec une obligation de résider à Lille et une obligation de formation (il devra fournir des bulletins de présence et de notes). Il lui est par ailleurs interdit de quitter le domicile entre 20h et 7h et il devra pointer chaque semaine au commissariat de Lille. Quant à Samir, il est lui aussi placé sous contrôle judiciaire avec une obligation de formation (il doit justifier qu’il va à l’école) et un pointage une fois par semaine au commissariat de Tourcoing.

     

    Le Figaro via fdesouche

  • IL Y A UN AUTRE CONSEIL SCIENTIQUE, ET CELUI LA FAIT MAL !

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    LA REALITE DU COVID VUEPAR LE CONSEIL SCIENTIFIQUE INDEPENDANT

    Vous l’ignoriez sans doute, mais le Conseil Scientifique institué par Emmanuel Macron pour diriger nos vies selon des critères supposés être les plus savants possibles, donc irréprochables, ce Conseil officiel a un pendant non officiel : le Conseil Scientifique Indépendant qui réunit un aréopage de
    médecins, de professeurs, de savants de tous horizons.

    Je viens d’écouter leur dernière réunion sur YouTube puisque les médias ne tiennent surtout pas à leur donner une quelconque publicité tant leurs révélations sont énormes. Énormes elles le sont, à 360° de ce que nous entendons de la bouche des Atal, des médecins, des journalistes qui monopolisent nos antennes. Et Jean Castex et Olivier Véran auront beau nous annoncer c e qu’ils considèrent de bonnes nouvelles, ce Conseil indépendant nous délivre les vraies chiffres.

    Ce Conseil a été crée en janvier par le collectif de médecins « Laissons les médecins prescrire ». Il est composé de docteurs,de professeurs, de scientifiques qui se rebellent contre ce qu’il n’hésitent pas à appeler une dictature sanitaire. Et ils se défendent, bien entendu, d’être des complotistes, et veulent seulement souhaiter offrir une vision objective et rigoureuse de la situation sanitaire, sans aucun conflit d’intérêts, ce qui ne semble pas être le cas de certains membres du Conseil officiel. Son but : informer les Français des meilleurs choix à faire, et il met à leur disposition pour ce faire, leur chaîne YouTube. On retrouve dans ses membres, Philippe de Chazournes de Med’Océan, les Professeurs Toubiana et Perronne, le chercheur mathématicien Vincent Pavan, Hélène Banoun, biologiste et Louis Fouché, un anesthésiste adepte du parler vrai.

    Eric Menat s’offusque que le gouvernement n’a jamais accepté de soigner les malades, alors qu’il aurait pu recommander aux médecins l’usage de l’Ivermectine qui, à travers le monde, a eu des effets remarquables. «  En France, dit-il, on a choisi de soigner avec rien alors qu’il existe des médicaments qui permettent d’aller mieux. C’est le Tout Vaccin préconisé par nos ministres alors qu’à léheure actuelle, précise le docteur Menat, personne ne peut certifier de l’efficacité du vaccin en se référant uniquement aux chiffres de la mortalité. ». Et de préciser qu’on devrait soigner, prévenir puis vacciner ». Louis Fouché affirme que « faire la promotion d’un traitement insuffisamment éprouvé, c’est selon le Conseil de l’Ordre de la charlatanerie ».

    Vincent Pavan dénonce, dans ce premier Conseil du 9 avril, comme une fraude avérée l’étude de ComCor sur laquelle Jean Castex s’est basé pour fermer les restaurants. Une étude menée par Arnaud Fontanet que ce mathématicien dénonce comme arbitraire, frauduleuse et incohérente. Mais le pire est tenu dans les propos d’Hélène Banoun qui se référant aux constatations du réseau Sentinelles constate qu’une personne est vraiment malade sur dix malades imaginaires : 22870 nouveaux malades ont été déclarés par le réseau Sentinelles alors que le ministère de la Santé en a compté 200.000 ! Le taux d’incident est de 100, et non pas de 500, chiffre pouvant permettre de parler de pandémie, et enfin la circulation du virus SARS-CoV-2  est devenue bien inférieure à celles des trois autres virus grippaux saisonniers .

    Ce réseau sentinelle a été créé en 1984, pour recenser tous les diagnostics communiqués par les médecins généralistes sur les différentes maladies affectant leurs patients. En ce qui concerne le Covid, sont donc dénombrés les patients présentant les symptômes réels de la maladie, et non pas les “cas positifs asymptomatiques” chers à Olivier Véran.

    La conclusion de la dernière vidéo du 15 avril est que « Tout cela ne remet évidemment pas en cause la gravité du coronavirus, mais ne justifie pas non plus le confinement général d’un pays, ni la peur panique irraisonnée qui s’est emparée d’une bonne partie du pays. » Lire leur dernière vidéo https://yetiblog.org/archives/30940

    Floris de Bonneville

     

    Source : ndf