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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1569

  • Toulouse : 150 personnes disent « stop » à l’islamophobie

    Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021

    24 Avril – “Toulouse marche contre l’islamophobie“. Cette banderole a été déployée par plus d’une centaine de manifestants, hier, après-midi au niveau de l’arrêt métro Capitole à Toulouse. Le collectif Palestine vaincra, Attac 31, le Nouveau parti anticapitaliste (NPA), CGT Educ’action31 ainsi que d’autres associations et collectifs ont lancé cet appel à mobilisation. Ces manifestants se sont rassemblés pour dénoncer “une islamophobie ambiante en France” et exiger le retrait du projet de loi séparatisme.

    Tour à tour, au micro, les différents représentants de ces collectifs, associations et mouvements politiques ont pris la parole et ont fait état des nombreuses mesures qui vont à leur sens à l’encontre de la laïcité en France avant de faire un écho sur le drame qui s’est noué, ce vendredi, à Rambouillet où une fonctionnaire de police a été tuée dans une attaque terroriste. En milieu de journée, la mobilisation s’est terminée, dans le calme.

    La Dépêche via fdesouche

    24 Avril 2021 – Facebook
  • Ce n’est pas la faute de l’islam, c’est la faute au confinement

    Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021

    Ce n’est pas la faute de l’islam, c’est la faute au confinement

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    Ils ont toujours beaucoup d’imagination pour éviter de remettre en cause la politique immigrationniste ou l’islam :

    Jamel G., selon les papiers d’identité retrouvés sur lui, était un ressortissant tunisien de 36 ans. Originaire de la région de Sousse, dans l’est de la Tunisie, il était arrivé en France en 2009 et avait bénéficié en 2019 d’une autorisation exceptionnelle de séjour salarié, puis d’une carte de séjour en décembre 2020, valable jusqu’en décembre 2021, selon le Parquet national antiterroriste (Pnat).

    Selon une source proche de l’enquête, ce chauffeur-livreur de profession vivait depuis quelques années dans une maison excentrée de Rambouillet. D’après un proche de sa famille en Tunisie interrogé par l’AFP, il habitait chez sa tante et avait au moins deux frères, dont un jumeau. Une source policière a toutefois confié au Figaro que le trentenaire résidait chez son père, qui se trouve d’ailleurs actuellement en garde à vue.

    L’homme avait résidé auparavant à Thiais, dans le Val-de-Marne. L’un de ses anciens voisins, interrogé par l’AFP, qui l’a connu à cette adresse deux mois en 2017, se souvient d’un homme «musulman» mais «pas pratiquant», vivant seul et travaillant dans le bâtiment. Il était inconnu des services de police et de renseignements, comme l’a confirmé une source policière au Figaro.

    «C’était quelqu’un de calme, pas particulièrement pieux», a indiqué à l’AFP un cousin, Noureddine, qui reconnaît ne pas avoir pas vu Jamel G. depuis longtemps. L’un de ses beaux-frères a indiqué à un correspondant de l’AFP qu’il était revenu deux semaines en Tunisie récemment. Une cousine trentenaire, Sameh, le décrit comme un homme dépressif, elle indique qu’il était suivi par un psychiatre en France.

    Sur sa page Facebook, le trentenaire, aux cheveux plutôt courts comme sa barbe, écrit être originaire de M’saken, ville de 60.000 habitants sur la côte est de la Tunisie. Pendant plusieurs années, ses posts publics sont consacrés en nombre à la dénonciation de l’islamophobie ou des propos de différents polémistes.

    Mais à partir d’avril 2020, au moment du confinement, il ne publie plus que de pieuses prières et des versets coraniques. Le 24 octobre, huit jours après l’assassinat du professeur de collège Samuel Paty par un islamiste, il avait changé sa photo de profil et rejoint une campagne intitulée: «Respectez Mohamed prophète de Dieu». Les enquêteurs sont en train d’analyser tous ses supports numériques (téléphones, ordinateurs…). Ils cherchent également à déterminer si Jamel G. a bénéficié d’un soutien, matériel ou idéologique.

    Au moment de l’attaque, l’assaillant aurait crié «Allah Akbar» avant de poignarder mortellement la fonctionnaire de police. Cet élément ainsi que «des éléments de repérages», la qualité de la victime – une fonctionnaire de police, conformément aux mots d’ordre récurrents du groupe djihadiste État islamique (EI), ont conduit le parquet antiterroriste à se saisir de l’enquête après «une évaluation (…) par la Sous-direction antiterroriste (Sdat)», a justifié le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard.

    Le mode opératoire, une attaque à l’arme blanche, a également motivé cette saisine. L’enquête a été confiée conjointement à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

    En attendant d’en savoir plus, le sinistre de l’Intérieur a fait savoir que la sécurité allait être renforcée devant les commissariats et les gendarmeries du pays.

     

    Source : lesalonbeige

  • Syrie : 200 djihadistes tués par l’aviation russe

    Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021

    aviation russe,djihadistes,syrieSyrie : 200 djihadistes tués par l’aviation russe

    D’Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    Il y a bien longtemps que Russes et Syriens subissaient des coups de main islamistes venus du désert. Difficiles à repérer dans ces étendues caillouteuses parsemées de grottes et d’accidents de terrain propices aux caches, plusieurs centaines de djihadistes surgissaient tout à coup pour attaquer barrages ou convois de l’armée syrienne. Depuis début 2020, les Russes ont reconnu deux morts et l’on évalue les pertes iraniennes à 150 morts et les pertes syriennes à 1.200 morts. C’est beaucoup, pour une armée déjà exsangue.

    Les attaques pouvaient se produire aussi bien à l’est qu’à l’ouest de Palmyre, cette dernière étant maintenant parfaitement sécurisée depuis l’installation d’une base russe.

    Des renseignements parvenus ont fait état de projets d’attaques d’envergure élaborés à partir de bases camouflées. Après plusieurs recoupements, le ministère de la Défense russe a annoncé, lundi 19 avril, l’intervention de l’aviation : « Les forces aériennes russes ont effectué plusieurs frappes à la suite desquelles deux abris ont été détruits et environ 200 combattants tués. » Les Russes précisent encore que « 24 pick-up équipés de mitrailleuses lourdes et environ 500 kg de munitions et de composants pour la fabrication d’explosifs improvisés » ont également été détruits.

    L’affiliation de ces djihadistes n’a pas été précisée mais il serait logique qu’il s’agisse de membres de Daech, ceux-ci s’étant réfugiés en nombre dans le désert syrien après les derniers combats perdus de Baghouz, en mars 2019.

    Toutefois, le communiqué russe donne une précision étonnante : il dit que ces combattants ont été formés dans plusieurs régions, « y compris dans la zone d’Al-Tanf qui est contrôlée par les forces américaines ». Rappelons que les Américains occupent en toute illégalité une partie de la Syrie : tout d’abord une vaste zone à l’est de l’Euphrate leur permettant d’exploiter la plupart des puits de pétrole syriens avec leurs alliés kurdes. Ce fait est bien connu.

    Mais les Américains ont également construit, au sud de la Syrie, le long de la frontière jordanienne, une vaste base appelée Al-Tanf. La plus grande discrétion règne sur le sujet et personne ne peut s’approcher de cette base. On sait juste qu’un nombre indéterminé d’ex-« rebelles » y ont trouvé refuge après leur défaite contre l’armée syrienne. Qu’y font-ils ? Mystère. Mais cette accusation russe assez explicite est intéressante. Elle témoigne, bien sûr, d’une montée croissante des tensions entre les deux pays depuis l’élection de Biden, mais aussi, les Russes ne parlant jamais au hasard, d’un possible regain d’intérêt des Américains pour déstabiliser à nouveau la Syrie.

    Décidément, la guerre en Syrie, qui implique un nombre impressionnant de participants extérieurs, peut encore provoquer bien des surprises. Mais deux choses sont certaines : les Russes tiennent la main et ne la lâcheront pas et les Américains n’ont pas l’intention de laisser la Syrie se reconstruire sous la houlette russo-iranienne.

     

    Source : lesalonbeige

  • Vaccinés !

    Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021

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    Les soignants du centre de vaccination d’Épernay ont administré du sérum physiologique à 140 personnes mardi 20 avril, à la place du vaccin de Pfizer-BioNTech.

     

    Source : lesalonbeige

  • Homme-singe, premiers embryons chimériques des apprentis-sorciers modernes

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    Nos sociétés post-modernes, sans repères, sans foi, sans identité, aux idéologies fluides et déconstructivistes, ouvrent la voie à toute sorte d’expériences sur l’être humain, aussi petit-soit-il qu’un embryon, pour le plus grand danger de l’humanité.

    Sous couvert de faire progresser les thérapies médicales, dont la médecine régénérative, -et en cela aussi la pandémie de covid aura été une aubaine en faisant sauter des verrous éthiques-, une nouvelle transgression vient d’être franchie : des embryons chimériques homme-singe ont été créés. Deux équipes, l’une française, l’autre sino-américaine, ont cultivé durant trois à dix-neuf jours des embryons de macaques, dans lesquels ils avaient ajouté des cellules humaines. Les taux de cellules humaines intégrées dans les embryons de singe, cependant, sont restés très faibles dans la première étude, publiée le 12 janvier dans la revue Stem Cell Reports. Et modestes dans la seconde étude, intitulée Contribution chimérique des cellules souches pluripotentes humaines étendues à des embryons de singe ex vivo et publiée le 15 avril dans la revue Cell.

    « L’article, relate le quotidien italien La Nuova Bussola Quotidianna, rédigé par des chercheurs chinois et américains appartenant à divers instituts ou universités, dont une catholique, rend compte de l’expérimentation suivante. Des cellules humaines adultes ont été prélevées et amenées à régresser à un stade de pluripotence (cellules hPSC), c’est-à-dire à un stade où elles peuvent théoriquement générer de nombreux tissus et organes. Ces cellules reconverties ont été insérées dans des blastocystes de singe (le blastocyste est le niveau de développement embryonnaire 5 à 6 jours après la conception) pour voir comment elles interagissaient. Sur les 132 embryons ainsi manipulés, seuls trois, après 19 jours, étaient encore en vie. Le vingtième jour, ces trois embryons sont également morts. »

    Le journaliste pose alors la question essentielle, existentielle pourrait-on dire, sans jeu de mots :

    « Pourquoi ces embryons de chimères ont-ils été créés ? »

    D’après l’étude, « la première motivation, explique LNBQ, serait d’étudier le comportement in vivo des cellules pluripotentes humaines. Deuxièmement, l’étude a voulu étudier les possibilités réelles concernant la ‘’génération d’organes et de tissus destinés à la transplantation‘’. Enfin, ‘’ces résultats peuvent aider à mieux comprendre le développement humain précoce et l’évolution des primates et à développer des stratégies pour améliorer le chimérisme humain dans des espèces évolutives éloignées‘’.

    Des scientifiques créent des embryons mi-homme, mi-singe

    Les implications éthiques de ces chimères singe-homme sont si graves que même le magazine Cell qui héberge l’article émet des réserves sur l’efficacité pratique de cette expérimentation et sur son éthique.

    Concernant l’utilité de cette expérience, LNBQ souligne que le généticien Giuseppe Novelli, de l’Université de Rome Tor Vergata, demande rhétoriquement :

    « Sommes-nous sûrs que c’est un chemin qui mène à la formation d’organes fonctionnels ? Sommes-nous certains de devoir utiliser des embryons de chimères s’il est possible d’obtenir des organoïdes à partir de cellules souches induites d’une seule espèce ? »

    Sur le plan plus purement moral, le quotidien italien note ces quelques réflexions que nous faisons nôtres :

    « Premièrement, pour éviter toute ambiguïté, ces embryons ne sont pas des embryons humains métissés avec des cellules de singe, mais le contraire. Ce sont des embryons de singe avec du matériel biologique humain.

    « Dans un second temps, revenons à la remarque du Dr Novelli : s’il existe d’autres solutions plus efficaces pour étudier le comportement des cellules souches pluripotentes et obtenir des organoïdes, pourquoi ne pas les poursuivre ? Bref, même si certains objectifs indiqués par l’étude seront nobles, la méthode utilisée n’est pas la plus efficace.

    « Troisièmement – et nous arrivons à la critique la plus importante – prendre des cellules humaines à insérer dans des embryons de singe est la porte d’entrée pour faire le contraire et obtenir un homme-singe. Nous commençons par prendre des embryons humains pour y insérer des cellules de singe, puis nous arrivons à modifier l’ADN humain avec un patrimoine génétique semblable à celui des singes. C’est pourquoi, comme Novelli le souligne encore, ‘’l’introduction de cellules souches embryonnaires humaines dans le blastocyste d’un macaque est fortement interdite par toutes les directives bioéthiques existantes : les cellules chimériques embryonnaires sont potentiellement capables de générer des chimères-embryons – et donc des fœtus – dont on ne sait rien‘’ ».

    « Cette éventualité, rappelle le journaliste italien, s’est déjà produite dans le passé. En 1997, des noyaux de cellules humaines ont été insérés dans des ovocytes de souris et la rencontre entre le patrimoine génétique humain et animal s’est répétée dans les années à venir avec les vaches et les porcs. Il existe de nombreux variants. Par exemple, nous avons ceux qui, contrairement à la qualification indiquée dans cet article, sont désignés par certains chercheurs comme des chimères : des êtres vivants issus de la fusion de deux zygotes pouvant appartenir à la même espèce ou à des espèces différentes [cf. RT TECIRLIOGLU ET AL., Transfert nucléaire de cellules somatiques interspécifiques et données préliminaires pour iSCNT cheval-vache / souris, dans «Stem Cell Rev.», n. 2 (2006), pp. 277-287]. Les organismes transgéniques, en revanche, sont des organismes dont le patrimoine génétique contient des gènes exogènes insérées dans l’ADN nucléaire, intacts ou modifiés. Les hybrides, en revanche, sont des organismes issus de la fusion de deux gamètes de deux espèces différentes [cf. S. CAMPORESI – G. BONIOLO, Craignant un Minotaure inexistant ? Les enjeux éthiques de la recherche sur les embryons hybrides cytoplasmiques, dans «J. Med. Ethics », non. 34 (2008), p. 821]. Chez les cybrides, cependant, la fusion ne concerne pas les gamètes mais une cellule avec un noyau et un ovocyte dénucléé : le patrimoine génétique final de cette fusion dérive donc pour la plus grande part du noyau et pour une petite partie des mitochondries de l’ovocyte. »

    Bref, conclut LNBQ, « les chercheurs jouent à l’apprenti sorcier depuis de nombreuses années. Le plus grand risque, comme mentionné ci-dessus, est celui de mélanger, comme cela s’est déjà produit, le patrimoine génétique humain avec celui animal. De cette façon, nous aurions l’homme vache ou l’homme porc ou l’homme singe, juste pour plaire à Darwin. De telles expériences nous amènent à conclure qu’avant de créer l’homme-bête, l’homme s’est déjà fait bête. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info