GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1573

  • Genderofolie : un père de famille canadien emprisonné pour s’opposer au changement de sexe de sa fille

    Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2021

    On sait le Canada de Trudeau très en phase avec l’idéologie du genre. La révolution arc-en-ciel y est fait la loi au sens figuré comme au sens propre. Robert Hoogland, père d’un mineur canadien qui s’oppose aux thérapies de transition sexuelle de sa fille (pour paraître un homme), a été condamné à 6 mois de prison et à une amende de 30 000 $ après deux ans de combats. Sa faute ? Aimer sa fille, la considérer comme une fille et ne pas garder le silence sur les expériences chimiques auxquelles elle est soumise. Un père condamné parce qu’il veut être père jusqu’au bout.

    En mars dernier, MPI vous faisait part de l’histoire de ce père de famille qui risquait la prison pour s’être opposé au changement de sexe de sa fille de 14 ans. Rob Hoogland avait décidé de ne pas signer le « consentement éclairé » pour que sa fille de 14 ans subisse un traitement de changement de sexe, qui comprend, entre autres procédures, l’administration de bloqueurs de puberté.

    L’affaire dramatique a commencé en février 2019, la Cour suprême de la Colombie-Britannique à Vancouver, au Canada, avait ordonné que la fille de Hoogland commence à recevoir des injections de testostérone à l’âge de 14 ans, indépendamment du consentement des parents. Le tribunal avait également statué que si l’un des parents de la fille l’appelait « comme une fille ou avec des pronoms féminins », ce parent serait reconnu coupable de violence familiale. Déjà le même jour, le père de la fille, Robert Hoogland, avait déclaré qu’il refusait d’obéir à la demande simplement « parce que », a-t-il protesté, sa fille « est une fille. Son ADN ne changera pas à travers toutes ces expériences qu’ils sont en train de faire ». Par conséquent, l’homme n’avait pas gardé le silence.

    En janvier 2020, son appel ayant été rejeté, ce père désespéré avait donc commencé à accorder des entretiens dans lesquels il critiquait les médecins impliqués dans la prescription d’hormones mâles à sa fille, précisant que « si dans 5 ou 10 ans ma fille venait à me demander ‘’pourquoi aucun de vous n’a rien fait pour tout arrêter?‘’, je lui dirai que j’ai fait tout ce que j’ai pu et, même quand il n’y avait rien d’autre à faire, j’ai continué pour les autres parents. »

    En mars 2021, Hoogland avait été arrêté sur ordre de la Cour suprême de la Colombie-Britannique pour s’être prononcé contre les injections de testostérone ordonnées par le tribunal pour sa fille adolescente. Il s’était vu refuser la libération sous caution et le juge Michael Tammen avait ordonné d’emprisonner le père de famille jusqu’au procès du 12 avril 2021, puis à cette même date, il avait été libéré avec l’ordre de ne pas parler en privé ou publiquement de l’affaire.

    Ces derniers jours, la condamnation définitive est tombée : le 17 avril, Robert Hoogland a été condamné à 6 mois de prison et à une amende de 30 000 dollars.

    Robert Hoogland représente un premier cas de « prisonnier d’opinion » en raison de son opposition à l’idéologie du genre ! La Gaystapo a frappé… et frappé violemment.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Raymond Devos en riait, la ville de Paris l’a fait : 4 sens interdits

    Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2021

    Ubuesque : vidéo https://twitter.com/i/status/1385164937941639174

     

     
  • La Grande Mosquée de Paris lance un certificat en finance islamique

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    L’Institut Al-Ghazali de la Grande Mosquée de Paris a annoncé, jeudi 8 avril, quelques jours avant le mois du Ramadan, le lancement au mois de mai d’un nouveau certificat de la finance islamique destiné au grand public.

    La France possède, en effet, la plus importante population musulmane d’Europe qui comptait, d’après le Pew Research Center 5,72 millions de personnes en 2016 et devrait représenter 12,5 % de la population française en 2050. La France compte plus de citoyens musulmans que huit membres de la Ligue arabe : Palestine, Oman, Mauritanie, Koweït, Qatar, Bahreïn, Djibouti, et Comores. Avec de telles données démographiques, il est probable que la finance islamique puisse connaitre en France un bel essor malgré un climat anxiogène autour de la question de la place de l’islam au sein de la société française.  […]

    La finance islamique est un compartiment de la finance éthique. Elle recouvre l’ensemble des transactions et produits financiers conformes à l’éthique islamique, qui repose sur cinq piliers : l’interdiction de l’intérêt ; l’adossement exclusif à l’économie réelle et tangible ; l’exclusion de certains secteurs d’investissement jugés nocifs à la vie humaine tels que par exemple le tabac, l’alcool, la pornographie et les jeux d’argent ; la prohibition de la spéculation hasardeuse et de la réalisation d’investissements aléatoires et incertains ; et enfin, la redistribution sociale et solidaire. […]

    La Banque centrale européenne indiquait dès 2013, dans un rapport consacré à la finance islamique en Europe, que celle-ci semblait avoir un bon potentiel à développer en France.

    Dans notre pays, la finance islamique continue d’offrir des opportunités considérables. À titre d’exemple de cette vitalité du marché français, on peut citer le lancement récent de la mutuelle Takaful Sakina Funérailles destinée à financer le rapatriement des corps vers le pays d’origine de ses adhérents y compris ceux décédés du Covid-19. […]

    Dans le monde, l’industrie financière islamique a connu une croissance de 525,75 % entre 2006 et 2019, passant de 462 milliards en 2006 à 2429 milliards de dollars d’actifs en 2019. […]

    saphirnews via fdesouche

  • Carrefour économisera environ 300 millions d’euros en recrutant en CDI des jeunes des quartiers prioritaires pendant que les autres passeront en contrat pro

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

     

    Pour aider les jeunes largement impactés par un marché de l’emploi en crise, l’État subventionne les contrats de professionnalisation. Carrefour profite de l’occasion pour remplacer ses CDD et ainsi faire des économies.

    Ève (1) n’en revient toujours pas. Depuis sept mois, elle travaillait à la caisse d’un Carrefour du Nord de la France. Son CDD s’achève dans les jours qui viennent et on lui a promis qu’il serait renouvelé. Mais son manager lui propose un drôle de deal : une prolongation au même poste… en alternance. C’est ça ou rien. « Je n’ai pas plus d’explication à te donner, ça vient de la RH », lui assure son supérieur. La jeune femme refuse finalement le contrat pro moins bien payé qui lui est proposé et se retrouve au chômage.

    Dans une autre enseigne du groupe, en Île-de-France, Marie (1), la vingtaine, travaillait en réserve. Elle n’a pas été renouvelée. Victime d’un accident du travail après avoir porté une charge importante, elle est immobilisée plusieurs semaines, peu avant le renouvellement de son CDD. Sa direction a décidé de s’en séparer, sans ménagement. Aux quatre coins de la France, plusieurs salariés décrivent les mêmes méthodes. « Depuis novembre, tout est bon pour ne pas renouveler un CDD. Ceux qui ont moins de 29 ans se voient proposer un contrat pro. S’ils refusent, ils ne sont pas renouvelés. ….

    (…) Chez les syndicats, cette annonce a fait plus que grincer des dents. À l’unisson, ils dénoncent une méthode « perverse qui détruit des CDD déjà en place » pour les remplacer par des jeunes en alternance ou des contrats-aidés.

    Objectif selon les syndicats : faire des économies en engrangeant les subventions. Un jeune en contrat pro alterne temps de formation et temps en entreprise. Il est payé au maximum à 90% du Smic, pour un job au drive ou en caisse où il sera vite aussi performant qu’un autre. L’employeur est également exonéré, en très grande partie, de cotisations sociales et patronales. Si l’on cumule ces avantages avec l’aide exceptionnelle pour les employeurs, c’est le jackpot : Carrefour fait presque 60% d’économies, par rapport à un salarié classique au Smic.

    Quant aux recrutements en CDI, Carrefour privilégie les jeunes issus de « Quartiers de la Politique de la Ville » (QPV) dont le recrutement est lui aussi subventionné par l’État. Sur un CDI Carrefour va économiser, en cumulé sur trois ans, 15.000 euros. Au total, selon nos calculs, entre les contrats pro et ces emplois aidés, Carrefour économisera environ 100 millions d’euros par an pendant trois ans.….

    Streetpress via fdesouche

  • Près des trois quarts des demandeurs d’asile vont être orientés en régions, pour soulager l’Île-de-France : un objectif de 119.978 places d’hébergement

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    fdesouche

    Près des trois quarts des demandeurs d'asile vont être orientés en régions, pour soulager l'Île-de-France

    Un nouvel arrêté, pris dans le cadre de “l’orientation régionale directive” prévue par la loi de septembre 2018 pour une immigration maîtrisée, prévoit désormais l’orientation de 77% des demandeurs d’asile en régions, pour soulager l’Île-de-France qui accueille actuellement 46% d’entre eux. Ce même arrêté fixe aussi la capacité d’hébergement par région, selon les différents types de structures. Du fait notamment de cette concentration en Ile-de-France, un décret examiné ce 21 avril en Conseil des ministres donne par ailleurs au préfet de police de Paris de coordination en matière d’immigration et d’asile sur l’ensemble de la région. Un préfet délégué à l’immigration sera nommé.

    (…)

    Un objectif de 119.978  places d’hébergement, réparties entre régions

    (…)

    Un rééquilibrage territorial sur le flux de réfugiés

    (…)

    Avec toutefois un bémol à ce dispositif : sa mise en œuvre devrait contribuer à réduire les tensions en Île-de-France mais elle ne fera pas disparaître la question des réfugiés “hors circuit”, ni celle des déboutés du droit d’asile, qui devraient rester très largement concentrés en Île-de-France.

    www.banquedesterritoires.fr

    A relire :