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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1577

  • Nouveau martyr : l’Etat islamique assassine un copte en Egypte

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

    Nouveau martyr : l’Etat islamique assassine un copte en Egypte

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    Dans une vidéo de 13 minutes, l’organisation de l’Etat islamique opérant au Sinaï a montré l’assassinat de Nabil Habashi Salama, un chrétien copte orthodoxe de 62 ans, tué froidement par balles à bout portant dans le désert. Il a été tué avec deux autres hommes identifiés comme des membres de la tribu locale des Tarabine.

    C’est l’Eglise copte égyptienne qui a révélé l’identité du chrétien Nabil Habashi Salama. Cet homme était porté disparu depuis son enlèvement en novembre 2020. Il avait participé à la reconstruction des églises détruites par les islamistes dans la région.

    Dans la vidéo, son assassin, le visage flou et portant un AK-47 en bandoulière, lève l’index vers le ciel et adresse un « avertissement aux chrétiens d’Egypte » : « C’est le prix que vous payez pour soutenir l’armée égyptienne ». 

    Nabil Habashi Salama faisait partie d’une des plus anciennes familles coptes de la région. Il était bijoutier et il avait une boutique de vêtements et aussi de téléphones portables. Sa fierté était d’avoir fait que Bir Al-Abd ait une église.

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron à fond, pour la sécurité "en même temps"

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

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    Source : medias-presse.info

  • Booba : « Vous disparaîtrez avant nous et vous l’aurez mérité. »

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

    Twitter – Screen

    Le journaliste Redwane Telha, Rédacteur en Chef de France Inter :

    Twittervia fdesouche

  • Réduction de peine : et si on inversait le raisonnement ?

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

    « Mon projet de loi a pour seul but de restaurer la confiance dans la justice » claironne Eric Dupond-Moretti. « Vaste programme ! » aurait répondu un ancien Président. Et de proposer, entre autres mesures, de filmer les procès, comme si la caméra pouvait être l’instrument de l’équité judiciaire ! C’est dérisoire.

    inverser le raisonnement,réduction de peineEn matière pénale, une grande part de l’exaspération des Français vient du constat qu’une peine infligée n’est pratiquement jamais intégralement appliquée. Nous avons, en effet, un régime extraordinaire dans lequel la réduction de la peine infligée est automatique, c’est-à-dire systématique : c’est le principe du « crédit de réduction de peine ». Ainsi, par exemple, un condamné à cinq ans de prison bénéficie, d’entrée de jeu, d’une réduction de peine tarifée de onze mois. S’il se comporte normalement, il ne restera en prison que quatre ans et un mois. Pour qu’un condamné exécute la totalité de sa peine, c’est-à-dire pour que le juge d’application des peines lui supprime son « crédit », il faut qu’il se soit particulièrement mal comporté en prison.

    Et si l’on inversait le raisonnement ? 

    Tout condamné exécuterait l’intégralité de sa peine, sans remise possible : cinq ans, c’est cinq ans, pas moins.

    Alors s’ouvrirait une alternative. Ou bien le condamné s’est comporté correctement en prison : en ce cas, il sort lorsque la durée totale de sa peine est atteinte. Ou bien il ne s’est pas bien comporté : alors, le juge d’application des peines aurait le pouvoir d’augmenter son temps de détention.

    Il s’agit d’un renversement total de la logique actuelle. Aujourd’hui, on ne punit pas le mauvais comportement puisque le seul risque encouru consiste à effectuer la peine infligée, ce qui, convenons-en, n’a rien d’une punition. Pour le citoyen ordinaire, une peine doit être exécutée, c’est aussi simple que cela. Imagine-t-on que l’on puisse « négocier » le montant d’une pension alimentaire à verser ou le coût d’une contredanse à payer ?

    Dans son projet de réforme, le garde des Sceaux prévoit bien de supprimer les crédits de réduction de peine, ce qui va dans le bon sens, mais maintient l’allègement en cas de bonne conduite, ce qui ne change rien à la logique appliquée aujourd’hui : rien n’empêchera le juge souverain de revenir au système actuel de mansuétude systématique, tant décrié. Difficile de retrouver la confiance en ce cas.

     

    Yannik Chauvin

    Docteur en droit, écrivain, compositeur
  • Ramadan et déconfinement au faciès

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

    Pour les musulmans, le ramadan a commencé le mardi 13 avril et s’achèvera le 12 mai. Un ramadan sous confinement… pas tant que cela.

    Selon des informations recueillies par Le Figaro « la direction départementale de l’Hérault a reçu un message d’information du ministère de l’Intérieur indiquant qu’une «tolérance est accordée» aux «fidèles» souhaitant pratiquer la prière à 5h30, avant la fin du couvre-feu ».

    Une tolérance aux heures de couvre-feu, pour la première prière du matin, puis pour l’aumône, le soir, est accordée aux musulmans dans certains départements en raison du ramadan, il s’agirait du Tarn, de l’Hérault et de la Gironde.

    « Dans le Tarn, peut-on lire dans le même article du Figaro, comme l’ont révélé nos confrères du média local Le Journal d’Ici, les forces de l’ordre ont reçu pour consigne, de la part de la préfecture, de ne pas verbaliser les musulmans circulant entre 19 heures et 22 heures, et à partir de 5 heures, alors que la France est actuellement sous couvre-feu pour cause de Covid. Un courriel reçu le mercredi 14 avril par les gendarmes et les policiers du département, que le média local a pu consulter, assurait que ‘’les pratiquants sont autorisés par la préfecture à dispenser l’aumône (se traduisant par la livraison de nourriture à des amis, famille…)‘’. Cette consigne, indiquée dans un mail que Le Parisien ‘’est en mesure de confirmer‘’, vaut pour toute la durée du ramadan, fixée cette année du 13 avril au 12 mai. »

    Il est également souligné dans le courriel, indique Ouest-France que « le créneau nocturne correspond à la rupture du jeûne et il est potentiellement susceptible de générer des rassemblements sur la voie publique ou aux abords des mosquées ».

    Les forces de l’ordre de Gironde ont également reçu un mail similaire ce jeudi 15 avril, selon Marianne :

    « Plusieurs responsables locaux du culte musulman ont demandé à pouvoir autoriser leurs coreligionnaires à pratiquer la prière du matin à 5 h 30, soit une demi-heure avant la fin du couvre-feu ». Ainsi, la préfecture accorde « une tolérance […] afin de permettre aux fidèles de prier à 5 h 30 en dépit de la fin du couvre-feu à 6 h, sans qu’il soit nécessaire de modifier le décret ».

    Sans être aussi précis, les policiers du Var ont également vu circuler un mail dès le mercredi 14 avril avec ce type de consigne, toujours selon Marianne :

    « Concernant […] le rassemblement de personnes après le couvre-feu, l’état-major a donné pour instruction de faire preuve de modération, tolérance et discernement, conformément aux consignes ministérielles ».

    Conclusion : alors qu’aucune dérogation au couvre-feu a été accordée aux catholiques pour fêter Pâques, Darmanin autorise pour le ramadan le déconfinement pour les seuls musulmans, que la police reconnaitra… au faciès. C’est cela aussi le Grand Remplacement, le remplacement en terre française et chrétienne de la religion catholique par la religion musulmane !

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info