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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1816

  • Gérald Darmanin : «Enseigner l’arabe à l’école, c’est aussi un moyen de réduire le pouvoir des religieux»

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

    Dans les colonnes du Journal du Dimanche ce dimanche 4 octobre, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin indique vouloir renforcer l’apprentissage de l’arabe à l’école. «C’est une proposition républicaine et courageuse» assure le ministre. Ce dernier y voit aussi un moyen d’endiguer le séparatisme, sujet du discours d’Emmanuel Macron vendredi 2 octobre.

    Le ministre de l’Intérieur récuse avant tout l’apprentissage de l’arabe dans les mosquées. À l’enseignement de cette langue, il souhaite apporter un cadre laïque et républicain. «Quand j’étais enfant, mes copains, enfants de femmes de ménage comme moi et issus de familles portugaises ou espagnoles, apprenaient à l’école la langue de leurs parents. Mais mes cousins d’origine maghrébine n’avaient que la mosquée pour apprendre l’arabe…» déplore-t-il. Et d’ajouter : «Est-ce cela que l’on veut? Nous avons besoin de jeunes Français qui parlent l’arabe […] L’enseigner à l’école c’est aussi un moyen de réduire le pouvoir des religieux».   […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Montpellier : elle ne répond pas à ses avances dans la rue, il l’insulte et la tabasse à coups de trottinette

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

    Une jeune femme de 30 ans a été frappée à coups de trottinette par un homme parce qu’elle ne répondait pas à ses avances, jeudi 1er octobre à minuit dans le quartier de Figuerolles à Montpellier. 

    C’est un harcèlement de rue qui s’est transformé en déchaînement de violences physiques. Jeudi 1er octobre, il est minuit, une jeune femme de 30 ans rentre chez elle à pied. Un homme arrive à sa hauteur en trottinette, alcoolisé (1,32 g d’alcool dans le sang), et se met à la “draguer” lourdement.

    Elle ne répond pas, poursuit son chemin mais l’homme se met à l’insulter, et finit par l’empoigner pour la frapper à coups de trottinette. Elle se défend à coups de chaussures.

    C’est à ce moment-là qu’un second individu s’en mêle pour venir au secours… de l’agresseur. Lui exhibe un couteau quand le premier sort une lame de rasoir.

    (…) Midi Libre via fdesouche

  • Avignon : Toufik, 26 ans, multirécidiviste, condamné pour avoir foncé sur des policiers. “J’ai paniqué, voilà…”

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

    “Je n’ai pas voulu leur rentrer dedans. Et à la fin, je me suis excusé…”, tient à dire depuis le box du tribunal correctionnel d’Avignon, Toufik El Hamri avant que ne soient évoqués les nombreux délits routiers commis lors d’une course-poursuite avec la police et des faits de rébellion.

    (…)

    “Je n’ai pas voulu leur rentrer dedans. Et à la fin, je me suis excusé…”, tient à dire depuis le box du tribunal correctionnel d’Avignon, Toufik El Hamri avant que ne soient évoqués les nombreux délits routiers commis lors d’une course-poursuite avec la police et des faits de rébellion.

    Le mardi 8 septembre, des policiers municipaux qui se trouvaient sur la rocade où des riverains se plaignaient de véhicules faisant des rodéos, ont repéré un véhicule Renault Twingo circulant à vive allure. À la vue des policiers qui ont voulu procéder au contrôle de l’automobiliste sans ceinture de sécurité, Toufik El Hamri, 26 ans, a pris la fuite en multipliant les prises de risques lors d’une poursuite qui va durer cinq minutes. Cet homme qui n’a pas le permis et a pris “le volant pour aller acheter un sandwich et du thon à la tomate”, a percuté un véhicule de police et a tenté de prendre la fuite à pied. Interpellé, il s’est violemment rebellé en n’hésitant pas, pour se dégager à “saisir un policier au niveau de ses parties génitales en serrant fortement”. “J’ai paniqué, j’ai eu peur d’aller en prison, voilà…”, explique le prévenu, déjà condamné à douze reprises.

    La Provence via fdesouche

  • « C’est dans les mosquées que je me sens bien » : Gérard Depardieu avoue son amour pour l’Islam

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

     

    Il y a quelques jours, l’acteur Gérard Depardieu a expliqué dans une interview accordée au Point son intérêt pour l’Islam et notamment pour les mosquées. Il a par ailleurs précisé le grand intérêt qu’il a pour toutes les religions.

    Dans cette longue interview, Gérard Depardieu explique également s’être converti à l’Islam pendant deux ans dans les années 70. Il était ainsi devenu musulman et pratiquait les préceptes de l’Islam. D’ailleurs, il avait expliqué il y a quelques temps dans les colonnes du Parisien :

    « J’ai été musulman deux ans dans les années 1970. C’était difficile, les cinq prières quotidiennes de l’islam, l’interdiction de manger du porc, ce qui n’est, entre nous, pas fondamental. »

    Et son regret principal est de ne pas avoir eu l’occasion d’apprendre la langue arabe.

    Même s’il n’est plus musulman aujourd’hui, Gérard Depardieu explique au magazine Le Point :

    « Quand je suis en Arabie Saoudite ou en Algérie, il m’arrive de me rendre dans des moquées. J’y suis très bien. »

    En ce qui concerne son chemin spirituel, Gérard Depardieu a choisi récemment une autre direction. En effet, au début du mois de septembre 2020, il a décidé de se faire baptiser sous la religion chrétienne orthodoxe.

    Il estime par ailleurs :

    « Avoir la foi, c’est un cadeau, il faut en prendre soin. »

    Pour rappel, Gérard Depardieu, né le 27 décembre 1948 à Châteauroux, est un acteur, chanteur, réalisateur, producteur de cinéma, de télévision et de théâtre français. Il est aussi viticulteur et homme d’affaires. Il détient également la nationalité russe depuis 2013.

     

    Source : alnas

  • Agenda Lgbt de l’Union Européenne contre Pologne et Hongrie

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

    Le premier jour du Conseil européen à Bruxelles, jeudi 1er octobre a été marqué par la lutte entre le respect de l’Etat de droit des Etats et des cultures nationales d’un côté et de l’autre des institutions communautaires, de plus en plus voraces de pouvoirs et de plus en plus enclines à imposer leurs propres idéologies et valeurs négatives à tous les citoyens européens. Une fois de plus, l’affrontement titanesque voit la Commission européenne d’une part et la Pologne et la Hongrie d’autre part, soutenues par les autres pays d’Europe centrale et orientale.  

    Ces dernières semaines, la Commission et le Parlement ont intensifié l’affrontement avec Varsovie et Budapest, prouvant qu’ils ne respectent aucunement les peuples polonais et hongrois derrières les gouvernements légitimement élus et leurs dirigeants. Ils envisagent de priver ces deux pays d’accès aux fonds européens s’ils ne soumettent pas aux injonctions idéologiques de l’union Européenne. 

    A la Pologne, une fois de plus et après la réduction des fonds européens aux communautés locales qui ont approuvé la Charte de la famille (appelée instrumentalement zones franches LGBTI ), des ambassadeurs inconscients de 50 pays et organisations ont envoyé une lettre publique pour le respect des droits arc-en-ciel . Dans la lettre, ils se plaignent de la privation et des limitations des droits des personnes Lgbtqi+, alors que le chef du parti Lgbtqi polonais (Printemps) Robert Biedroń n’a obtenu que 2,9% des voix lors des dernières élections présidentielles et n’a jamais déposé de plainte. Dans ce climat de chasse aux sorcières, les ambassadeurs écrivent :

    « Les droits de l’homme sont universels et tout le monde, y compris les personnes Lgbtqi, a droit d’en jouir pleinement. »

    Il n’y a pas de dénonciation explicite, seulement une invitation publique au gouvernement polonais à « développer un climat de plus grande tolérance envers les personnes et l’idéologie Lgbtqi. »

    La réponse à cette initiative insultante des ambassadeurs est venue directement du gouvernement polonais :

    « La Pologne est un pays très tolérant, elle a interdit toute discrimination et a expérimenté de première main ce que signifie la souffrance, aussi nous n’accepterons aucune pression de la part d’un pays ou d’une institution internationale pour nous imposer une idéologie de gauche. »

    En Hongrie, ces derniers jours, à la suite d’un essai du Premier ministre Orban sur la crise de la démocratie libérale et la nécessité d’une refondation démocratique et chrétienne, publié par divers journaux dans différentes langues, un tollé a éclaté. Viktor Orban ne fait que répéter le concept déjà exprimé ces dernières années, lors des séminaires d’été avec les jeunes de son parti Fidesz : la démocratie libérale est en crise et de libérale elle est devenue totalitaire, en Europe il y a des acteurs mondialistes (Soros) qui régissent nombre des décisions des institutions communes et il y a la volonté d’anéantir les peuples d’Europe centrale et de les soumettre à de nouvelles puissances de gauche, anti-chrétiennes et antinationales. Que n’avait-il pas dit ! Les commentaires dans la presse européenne étaient imaginables parlant de perplexité, d’offenses, d’étonnement.   

    Inimaginable fut en revanche le commentaire de la vice-présidente et commissaire européenne aux valeurs Vera Jurova qui, dans un entretien avec Der Spiegel, a expliqué comment le vrai problème européen est Orban et son « allergie aux principes démocratiques. En Europe il y a le respect pour la démocratie, pas en Hongrie ».

    La réponse d’Orban ne s’est pas fait attendre et le 28 septembre, il a envoyé une lettre ferme au président Von der Leyen demandant la destitution de Jurova et déclarant qu’après les insultes reçues par lui-même et ses concitoyens, il fermerait toutes les relations avec le commissaire européen susmentionné. La Commission a réagi comme elle le fait dans ces circonstances, suggérant que le président Von der Leyen a pleinement confiance dans le travail du vice-président Jurova. Mercredi dernier, une majorité d’Etats membres de l’UE a parallèlement approuvé une proposition avancée par l’Allemagne, actuelle présidente du bloc, sur les modalités permettant de conditionner le versement de fonds européens au respect de l’Etat de droit.

    Ces deux derniers jours les raisons des attaques à la fois insensées et hors du temps de la Commission contre la Pologne et la Hongrie ont été élucidées : jeudi dernier, les premières indiscrétions sur les conclusions de la Commission envers les 27 pays et le respect de l’Etat de droit ont filtré.

    Les premières évaluations sur le respect de l’Etat de droit, qui ont émergé avec le Rapport du 30 septembre, ont  provoqué la juste colère de la Pologne et de la Hongrie. Pour tous les autres pays une simple petite tape ou un peu plus, pour les Polonais et les Hongrois une condamnation sans appel. Ce n’est pas un hasard si les ministres de la Justice des deux pays ont déclaré conjointement :

    « Le rapport soulève de graves préoccupations concernant son concept, sa méthodologie, ses sources et son contenu et ne peut servir de base à d’autres discussions au sein de l’Union européenne sur l’Etat de droit. »

    La Hongrie a également menacé de bloquer le processus des négociations avec le Parlement européen sur le projet de budget pluriannuel de l’UE et sur le fonds de relance économique décidé en juillet, qui représentent ensemble 1.800 milliards d’euros, avec un veto si le versement des fonds est conditionné. « Ce n’est pas la règle de l’Etat de droit, c’est la règle du chantage », a déclaré une porte-parole du gouvernement hongrois.

    La Pologne et la Hongrie n’acceptent pas de subir passivement un procès politique de style néo-soviétique. Ni l’agenda Lgbtqi+ de l’union Européenne.

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info