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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1815

  • Le féminisme en folie : il faut interdire la 5e de Beethoven !

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2020

    lesobservateurs

    Pierre Mylestin

    Au royaume de la dinguerie, il ne fait de plus en plus aucun doute que les progressistes sont rois. Ou reines – parité oblige. Ce stade dépassé légitime une seule et unique question : existe-t-il une limite à la bouffonnerie progressiste ? Tout porte de plus en plus à croire que non.

    « Les hommes blancs riches ont adopté  et ont fait de sa Cinquième Symphonie un symbole de leur supériorité et de leur importance. Pour d’autres groupes – femmes, personnes LGBTQ+, personnes racisées -, la Cinquième est principalement un rappel de l’histoire de l’exclusion et de l’élitisme de la musique classique », dixit Nate Sloan et Charlie Harding, respectivement professeur en musicologie issu de l’université de Stanford et auteur-compositeur-producteur de musique, tous deux partenaires dans leur podcast de l’Orchestre philharmonique de New York.

    La culture de l’annulation (cancel culture), ou autodafé sociétal contemporain, de plus en plus stoïque face au ridicule, s’attaque maintenant au plus grand compositeur de tous les temps, celui dont 2020 aurait dû être le 250e anniversaire de naissance. [...]

    article complet: https://www.bvoltaire.fr/le-feminisme-en-folie-il-faut-interdire-la-5e-de-beethoven/

  • Interdire d’apprendre mieux à la maison ? La réaction de Carmen Daudet

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2020

    Nous reproduisons ici la tribune de Carmen Daudet publiée par Egalité & Réconciliation.

    Cela faisait longtemps que l’État avait dans sa ligne de mire l’Instruction En Famille (IEF) ; depuis des années déjà, nos députés et nos ministres utilisaient pour prétexte la montée en puissance de l’islamisme pour augmenter et durcir les contrôles, faute de pouvoir supprimer la liberté – garantie par la Constitution et par la Déclaration universelle des droits de l’homme – de choisir le mode d’instruction pour ses enfants.

    On nous a servi l’école de la confiance en 2019, loi qui a fait passer l’âge de l’instruction obligatoire de 6 à 3 ans ; et voici que, seulement deux ans après, le projet de loi anticonstitutionnelle contre les séparatismes nous est dévoilé par le président Macron. Après le massacre des Gilets jaunes, la série de décrets liberticides sortis du chapeau COVID, la loi Bio-éthique qui légalise l’infanticide votée en urgence cet été, voici venir l’obligation de la scolarisation.

    Jusqu’à présent, c’était l’instruction qui était obligatoire, et elle pouvait être dispensée dans le cadre scolaire, mais aussi dans la cadre familial. Cette seconde option ne concernait certes qu’une infime minorité des foyers français [1], mais le nombre d’enfants non scolarisés n’avait eu de cesse d’augmenter, surtout depuis la soi-disant pandémie mondiale qui nous a valu le port du masque obligatoire dès le collège, et les tests de dépistage sans préavis aux parents, au sein des établissements scolaires.

    Pourquoi un tel acharnement contre ce qui est un phénomène ultra marginal ? Comme le dit l’auteur de l’excellente chaine YouTube La Mite dans la Caverne :

    « Ce système considère tout espace de liberté comme un cancer qui met en danger son existence et n’aura de cesse de tous les éradiquer. » [2]

    En effet, ce qui est combattu c’est cette porte ouverte sur la liberté et l’indépendance d’esprit, dans laquelle s’engouffraient de plus en plus de parents, conscients de la médiocrité dans laquelle s’enfonce notre société, où la Sainte Égalité n’officie qu’en nivelant par le bas, en coupant tout ce qui dépasse.

    Cette sortie de secours permettait au parents de protéger leurs enfants, notamment ceux qui, souffrant ou non de « troubles de l’apprentissage », n’arrivaient pas à apprendre dans une classe ordinaire, mais également ceux qui étaient victimes de malveillance ou de harcèlement. Le cadre rassurant et aimant du foyer leur permettait de se reconstruire et de progresser à leur rythme.

    Hormis ces situations extrêmes, où le choix de déscolariser se faisait dans l’urgence, il y avait des cas où la décision de l’instruction dans le cadre familial était prise en réponse au manque d’ambition de l’école pour ses élèves, avec des programmes de plus en plus allégés, l’instruction ayant cédé sa place à l’éducation, comprenez au formatage idéologique.

    Ainsi, certains « Gaulois réfractaires » pouvaient jusqu’à présent se payer le luxe de ne pas soumettre – du moins pas trop tôt – leur progéniture à la propagande du Nouvel Ordre mondial.

    Luxe, le mot n’est pas trop fort, quand on sait à quel point ce choix impacte la vie quotidienne, en terme de temps et d’argent : l’organisation de la vie familiale est centrée autour de la recherche permanente d’activités, de rencontres, de sorties et de supports pédagogiques adaptés à chaque enfant, cette disponibilité impliquant très souvent le renoncement à l’un des salaires du couple. C’est le prix à payer pour assurer l’épanouissement de sa marmaille.

    Et d’après les rares études portant sur ce thème, les enfants instruits par leurs parents réussissent bien mieux que la moyenne, même lorsqu’ils sont issus de classes modestes [3].

    Or ces familles sont systématiquement accusées de « sectarisme », de maltraitance, de « radicalisation ». Comme toujours, on se sert du cas particulier pour imposer à la majorité une loi qui restreint ses libertés.

    Nos droits et nos devoirs de parents nous sont peu à peu confisqués, et cela, au nom du bien-être de nos enfants : quelle farce, quelle absurdité !

    En quoi Macron serait-il légitime pour prendre des décisions en faveur de nos petits, lui qui, délibérément, n’a jamais eu à assumer la responsabilité d’être père ? Par une inéluctable logique diabolique, ce système place toujours les pires aux commandes ; il n’est qu’à constater à quel point l’Éducation nationale et la Protection de l’enfance sont parasitées par la pédophilie. [4]

    L’État nous terrorise à une cadence de plus en plus effrénée ; il n’a cure des quelques allumés qui veulent non seulement faire des enfants mais en plus les éduquer.

    L’objectif est de verrouiller toutes les portes, de boucher les issues ; c’est le moment : entre dangers terroriste et sanitaire la diversion est parfaite.

    Il est devenu illégal de nous réunir, de nous embrasser, d’exprimer notre pensée, ou d’instruire nos enfants ; en revanche, nous avons gagné le droit d’assassiner le bébé qui a grandi neuf mois dans nos entrailles. C’est meilleur pour la planète, et ses cellules seront « recyclées » en crème anti-rides : la réalité a déjà dépassé la fiction ! Bientôt, l’usine à bébés : la FIV et l’utérus artificiel permettront de fabriquer à grande échelle du Gamma, main d’œuvre bon marché et jetable ; la raison d’être de cette classe stérilisée sera de produire dans la réalité, et de prendre du plaisir virtuellement.

    Les Alpha, eux, seront conçus de façon naturelle – privilège de l’élite –, et portés par des professionnelles diplômées en GPA. Entre les deux, les bêta, arrachés à leurs géniteurs au sortir de la maternité, seront pris en charge par l’État dès leur naissance, avec droit de visite des parents les week-ends…

    En nous dépossédant de notre progéniture, on nous arrache notre humanité, ce qu’il y a de meilleur en nous, le don inconditionnel, l’amour, le sacrifice. La famille est le cadre premier à toutes ces vertus chrétiennes. Satan étend son règne. Prions pour nos enfants, prions pour Soral et Ryssen, prions pour la France, et gardons la tête haute, de défaite en défaite, jusqu’à la Victoire.

    Carmen Daudet
     
  • Dans sa nouvelle encyclique “inspirée par le grand imam du Caire”, le pape François pourfend le “repli sur soi” : “Les migrants sont une bénédiction qui invitent les sociétés à grandir”

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2020

    C’est le texte le plus politique du pape François: une lettre encyclique intitulée «Fratelli tutti», «Tous frères» avec ce sous-titre «Sur la fraternité et l’amitié sociale», publiée le 4 octobre, où il pourfend «le racisme», un «virus qui mute», certaines «formes de nationalisme» fondées sur «le repli sur soi (…), des attitudes exonophobes, le mépris», le «populisme malsain» qui «cache le mépris des autres» et les «visions libérales individualistes» et leurs «intérêts économiques effrénés» fondé sur «le dogme de foi néolibéral», alors que «la grande question, c’est le travail» pour tous.

    (…)

    Sur les frontières tout d’abord. Les «limites et les frontières des Etats ne peuvent pas s’opposer» à l’arrivée d’un migrant car il n’est pas un «usurpateur». Ainsi «personne ne peut être exclu, peu importe où il soit né» puisque «chaque pays est également celui de l’étranger». Il est donc «important d’appliquer aux migrants arrivés depuis quelque temps et intégrés à la société le concept de ‘citoyenneté’» et «renoncer à l’usage discriminatoire du terme ‘minorités’». En effet, «les migrants, si on les aide à s’intégrer, sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir».

    Sur la «propriété privée» ensuite, François rappelle qu’elle n’est pas exclusive mais elle est «secondaire» et donc relative à sa «fonction sociale» d’aider les plus pauvres. Il y a une «subordination de toute propriété privée à la destination universelle des biens de la terre et par conséquent, le droit de tous à leur utilisation».

    (…)

    Inspirée par le grand imam du Caire

    Autre originalité de cette encyclique – dans la tradition catholique, une encyclique synthétise l’enseignement d’un pape sur une question précise, ici le social et le politique – elle a été inspirée par la pandémie mondiale du Covid-19 mais aussi, révèle François, par le grand imam du Caire, Ahmad Al-Tayyeb, cité à cinq reprises au fil des 270 pages.

    Le Figaro via fdesouche

  • “Une Nation, c’est une culture, des émotions partagées. Si l’on réfléchit honnêtement à la situation, qu’est-ce que la Nouvelle-Calédonie a de Français ?” Jean-Michel Aphatie

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2020

     
     
     
    jean-michel aphatie
    @jmaphatie
     
     
    Une Nation, c’est une culture, des émotions partagées. Si l’on réfléchit honnêtement à la situation, qu’est-ce que la #NouvelleCaledonie a de Français? Rien, sinon la force des armes à un moment de l’histoire. Ceci ne peut valoir pour l’éternité.
     
     
     
    Les Calédoniens ont confirmé leur souhait de maintenir la Nouvelle-Calédonie dans la France. C'est une marque de confiance dans la République. J’entends aussi la voix de ceux qu’anime la volonté de l’indépendance. Nous construirons tous ensemble la Nouvelle-Calédonie de demain.
     
     
    Source : fdesouche
  • Nouvelle Calédonie française : juste un répit en attendant la fin.

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    A peu de voix près, la Nouvelle Calédonie échappe pour cette fois à une indépendance voulue, préparée et orchestrée de longue date par une coalition d'intérêts regroupant dans un même ensemble anti-français les séparatistes Kanaks qui entendent substituer aux lois de la civilisation leur droit coutumier et leurs mœurs tribales, les groupes révolutionnaires de l'extrême gauche internationaliste, les idéologues de la décolonisation, les adversaires de l'œuvre blanche outre-mer, les vautours régionaux anglo-saxons qui œuvrent depuis des décennies à l'effacement de la France dans la zone Pacifique, les États Unis d'Amérique toujours à la pointe de l'action pour l'abaissement du rayonnement bleu-blanc-rouge, et la Chine qui espère disposer ainsi du nickel dont elle a besoin pour sa production d'acier inoxydable.

    Ce n'est que partie remise. Un autre référendum sera sans nul doute organisé d'ici novembre 2022 au terme du processus sécessionniste initié il y a plus de trente ans par Mitterrand et Rocard.

    L'importante progression du oui à l'indépendance laisse penser que cette ultime consultation sera la bonne pour les partisans de la Kanakie. La France aura alors perdu un territoire de plus et reculé face aux manoeuvres géostratégiques américaines et chinoises. Avant que la contagion ne touche telle ou telle autre de ses possessions ultramarines.

    Les caldoches, devenus citoyens de seconde zone d'un archipel dont ils ont forgé la modernité, auront, quand à eux, le choix entre la valise ou la soumission au nouvel ordre mélanésien.

    Jean-François Touzé

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