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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2119

  • Pourquoi le nombre d’homicides augmente de façon inquiétante en France ?

    Pourquoi le nombre d’homicides augmente de façon inquiétante en France ?

    Et oui : pourquoi ? C’est ce que se demande le quotidien 20 Minutes dans un article assez bien tourné pour un gratuit :

      • 970 meurtres ont été commis en 2019 en France contre 894 en 2018, soit une hausse de 8,5%.
      • Additionné aux tentatives, il s’agit du nombre le plus élevé depuis 1972.
      • Les policiers interrogés par 20 Minutes expliquent cette augmentation inquiétante par la violence de plus en plus présente dans la société.

    Alors qu’il était stable depuis deux ans, le nombre d’homicides​ a bondi de plus de 8 % en 2019. L’année dernière, 970 personnes ont été tuées dans l’Hexagone, soit 76 de plus qu’en 2018. Cette hausse est d’autant plus inquiétante qu’elle survient, indique le SSMSI (Service statistique ministériel de la sécurité intérieure) dans une note publiée en janvier, après deux années de stabilité. Et après une diminution du nombre de meurtres de 60 % entre 1994 et 2014.

    En outre, la France n’a pas été particulièrement touchée par le terrorisme en 2019, puisque seules quatre victimes sont à déplorer lors de l’ attaque de la Préfecture de police. L’année écoulée a malgré tout été plus meurtrière que 2015 (872 morts dont 131 lors des attentats de janvier et novembre) et que 2016 (892 victimes dont 86 à Nice lors du 14-Juillet).

    « Si l’on ajoute aux homicides les tentatives de meurtre, on obtient le nombre le plus élevé depuis 1972, date de mise en place de l’outil statistique policier », explique à 20 Minutes Christophe Soullez, directeur de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales. « Mais, dit-il, on manque encore un peu de recul pour voir si on est dans un mouvement de fond ou si cette hausse est conjoncturelle. »

    Comment expliquer cette augmentation soudaine ? « Il est toujours très difficile de donner des explications, d’autant que malheureusement, aujourd’hui, on a assez peu d’éléments pour permettre de formuler des hypothèses sérieuses », poursuit Christophe Soullez, soulignant que la France « est l’un des rares pays démocratiques au monde à ne pas savoir combien il y a eu d’homicides ou de tentatives d’homicides par armes à feu ». Les statistiques policières ne donnent effectivement aucune information sur les victimes, les modes opératoires, les lieux où sont commis les faits. Rien qui permettrait de « savoir à quels phénomènes nous sommes confrontés ».

    Du côté de la place Beauvau, on reconnaît que le nombre de meurtres « augmente un peu », mais on manque « d’explication scientifique » pour l’expliquer. Dans l’entourage de Christophe Castaner, on estime néanmoins que les « règlements de compte » sur fond de trafics de stupéfiants ont eu tendance à augmenter ces derniers temps en raison de la guerre que mène la police contre la drogue. « On a démantelé de nombreux réseaux, on a fait un vrai travail dessus, comme à Besançon à la Planoise. Du coup, il y a parfois des guerres de clans pour récupérer des territoires et y fixer des points de vente de stupéfiants, comme l’a expliqué le secrétaire d’Etat Laurent Nunez lors de son déplacement dans le Doubs. »

    « C’est totalement faux », s’insurge un cadre de la police judiciaire. Avant d’ajouter : « Il est vrai qu’il y a des règlements de compte dans des petites villes où il n’y en avait pas jusqu’alors. Mais à Marseille, où il y en avait le plus, leur nombre est au plus bas depuis dix ans. Et au niveau national, ils ont même tendance même à baisser un peu. » Ce commissaire explique la hausse des homicides et des tentatives par la montée de « la violence du quotidien ». Des affrontements entre bande de jeunes qui finissent dans le sang. Comme le 21 janvier dernier, où un adolescent de 16 ans a été tué, poignardé lors d’une rixe par un jeune du même âge, à Chartres. Ou comme ce 29 janvier, lorsqu’un jeune garçon de 14 ans a été tué dans le quartier de la Grange-aux-Belles, à Paris.

    Ce que le secrétaire général du syndicat Synergie officiers, Patrice Ribeiro, appelle « l’ensauvagement de la société ». Il y a ces jeunes délinquants de cité que les policiers voient adopter avec le temps les méthodes utilisées par le grand banditisme. Qui n’hésitent plus à « séquestrer des gens et à les torturer dans des caves pour des dettes de shit de quelques centaines d’euros ». Mais il observe aussi une montée « de la radicalité des rapports sociaux », un phénomène qui ne concerne pas que les malfrats. « De plus en plus de choses qui, auparavant se réglaient de manière civilisée, donnent désormais lieu à des coups. C’est une tendance. Parfois, pour une altercation entre automobilistes, des gens se font lyncher ou se prennent des coups de couteau », remarque le syndicaliste, qui dénonce « un sentiment d’impunité conséquent à une absence de réponse pénale ferme et adaptée ». Une violence qui se traduit également, dans les statistiques enregistrées par les policiers et les gendarmes, par une hausse de 8 % des coups et blessures volontaires en 2019.

    Bien entendu, l’Etat dispose des outils statistiques les plus puissants du marché, tant pour savoir où et qui taxer, que pour savoir qui assassine qui et pourquoi, et la conclusion est implicite mais claire : il ne faut surtout pas que le public puisse savoir.

     

    Source : lesalonbeige

  • LR se moque du monde en prétendant ne pas soutenir la candidature d’Édouard Philippe au Havre

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2020

    LR se moque du monde en prétendant ne pas soutenir la candidature d’Édouard Philippe au Havre

    Le positionnement de LR par rapport à la candidature d’Edouard Philippe au Havre est tellement hypocrite qu’elle nécessite une traduction pour les électeurs.

    1. LR annonce ne pas soutenir la candidature d’Edouard Philippe aux municipales du Havre
    2. LR ne présente pas de liste face à Edouard Philippe
    3. Des membres de LR seront présents sur la liste d’Edouard Philippe
    4. Le maire actuel LR restera en place si Edouard Philipe est élu.

    Traduction : LR soutient de fait la candidature d’Edouard Philippe au Havre. L’autre possibilité, c’est que LR n’existe plus…

     

    Source : lesalonbeige

  • Evreux : un converti à l’islam fiché S préparait un attentat contre la base aérienne

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2020

    Par  le 04/02/2020

    Ce mercredi à Paris commence le procès de l’ex-soldat français, jugé devant le tribunal correctionnel notamment pour « entreprise terroriste individuelle ». Cet habitant de Seine-Maritime, fiché S, était en tenue de combat près de la base aérienne d’Evreux, lors de son arrestation en 2017.

    Presque 3 ans après son arrestation, Alain Feuillerat va enfin être jugé.
    Cet ancien militaire radicalisé avait été arrêté le 5 mai 2017 aux abords de la base aérienne d’Evreux. Il portait alors une tenue avec les insignes du groupe Etat Islamique et
    avait abandonné dans les champs un fusil à pompe, deux revolvers à poudre et trois couteaux de commando, après avoir découpé le grillage d’enceinte de la base.

    […]

    France 3 via fdesouche

  • Toulouse : À l’intérieur du plus grand squat clandestin parti en fumée

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2020

    Aquarius antifas squat

    Un incendie s’est déclaré, mardi 4 février au 44 avenue de Muret. Un squat géré par des associations d’extrême gauche regroupant plusieurs centaines de clandestins. Nos équipes s’étaient rendus sur place en novembre dernier. 

    Le 23 novembre dernier, les associations d’extrême gauche occupant illégalement les anciens locaux d’Enedis au 44 avenue de Muret, organisaient des journées portes ouvertes. L’occasion pour Infos-Toulouse d’aller voir le plus grand squat de la ville et de dresser un aperçu de ce lieu de vie clandestin. Il est important de préciser que malgré la mention « portes ouvertes » l’accès aux niveaux supérieurs, composés notamment de 275 chambres, était interdit aux visiteurs sans explication. Le rez-de-chaussée comportant plusieurs salles communes et aménagées pour l’occasion pouvaient cependant être visitées. 

    Un centre d’accueil pour clandestin

    Beaucoup de résidents du squat ne parlent pas français ou très mal. La maîtrise de la langue est d’ailleurs un véritable problème pour communiquer avec ces immigrés. En effet, il s’agit d’un obstacle de taille dans les démarches d’obtention des titres de séjours et autres papiers administratifs. À ce titre, la plupart d’entre eux sont en situation irrégulière.

    Lire aussi : Jean-Luc Moudenc interdit les campements sauvages dans le centre-ville

    Pour faire face à ce problème, l’association Saveurs d’exil propose des services de traiteurs sur Ebay. 21 militants d’extrême gauche et clandestins,  cuisinent et animent des buffets. Les bénéfices leurs sont ensuite reversés et permettent le défraiement de professeurs de français bénévoles. Les migrants profitent de deux heures de cours particulier, trois fois par semaine, censés leur apporter les bases de la langue française.

    « Des familles réfugiées », vraiment ? 

    Si beaucoup de militants associatifs présentent ces centaines de squatteurs comme des familles de réfugiés, fuyant les pays ravagés par la guerre, dans les faits il n’en est rien. Ainsi, les femmes et les enfants du squat ne dépassent pas la vingtaine d’individus. Pour le reste il s’agit de jeunes hommes, seuls pour la plupart.

    En discutant avec certains d’entre eux sur les raisons pour lesquelles ils migrent vers la France, les motivations personnelles, loin de celles alléguées par leurs soutiens, sont les principaux moteurs de leur venue en Europe.

    Lire aussi : Toulouse. Un squat pour clandestins toléré par les pouvoirs publics

    Omar (le prénom a été modifié) est arrivé du Soudan à bord d’une embarcation de fortune en se fiant à ceux qui lui vendaient l’Europe et la France comme le nouvel eldorado. Il fuyait « une situation familiale compliquée et était déjà passé par d’autres pays africains ou encore l’Arabie Saoudite », desquels il avait été rejeté. À présent, comme beaucoup d’autres habitants du squat, il considère que « les aides sociales de la France sont loin d’être à la hauteur de nos espérances ».

    Victime de cette désillusion, ils se contentent de vivoter sur les aides accordées et réclament plus de solidarité financière de la part des institutions françaises, non contents d’avoir un logement quand certains français doivent passer l’hiver sur le pavé.

    Des squats très politiques

    Les militants associatifs d’extrême gauche constituent leur premier soutien, et il n’est pas étonnant d’en croiser sur place. À l’occasion des portes ouvertes nous avions pu discuter avec l’une d’entre eux. Malgré son état légèrement alcoolisée, elle a pu nous exprimer son point de vue sur les squats qu’elle fréquente assidûment. Selon elle, il s’agit « aussi bien de lieux de vie que de lieux politiques ». Pour le reste, elle se sera contenté de répéter les grands principes humanitaires déjà écrit sur des pancartes censées faire office de décoration pour l’occasion.

    Lire aussi : Dans l’enfer des squats à Montpellier

    Si l’incendie de ces locaux permet de mettre en lumière un problème jusqu’alors négligé par les autorités, aujourd’hui, ce sont près de 500 clandestins selon les associations, et 700 selon France Bleu, que la préfecture va devoir reloger dans les gymnases toulousains. 

    L’incendie a mobilisé près de 70 pompiers. Aucun blessé n’est à déplorer. L’enquête devra déterminer l’origine de ce sinistre. Il n’est pas sans rappeler l’incendie du 8 mars 2017, au plus grand squat toulousain d’alors, situé dans le quartier des Arènes. 400 sans-papiers y étaient logés dans des conditions d’insalubrité et d’hygiène déplorable, causant notamment le ras-le-bol des riverainsDes coups de feu avaient retentis quelques semaines plus tard, avant que les bâtiments soient évacués par les services de police. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Rennes : après avoir mordu un policier, il se masturbe devant une policière

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2020

    Par  le 04/02/2020

    […]

    Le trentenaire, qui avait interdiction d’approcher son ex, insulte les forces de l’ordre. Il se rebelle lors de son transport au commissariat. Un autre équipage doit intervenir pour le menotter. Arrivé au poste de police, l’homme devient très virulent. Il profère des insultes, se déshabille, montre ses fesses et se masturbe devant une fonctionnaire de police. Placé en garde à vue, cet homme d’origine marocaine a été incarcéré en attendant son procès.

    […]

    France Bleu via fdesouche