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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 671

  • Népal : Près de 20% de la population privée de droits civiques par les autorités afin d’éviter un Grand Remplacement

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

    Ces trois Népalais de 20, 22 et 32 ans sont nés sur ces terres de l’extrême sud du pays, mais ils y vivent aujourd’hui comme des immigrés clandestins. «Je ne peux pas ouvrir de ligne téléphonique ou de compte en banque à mon nom, hériter des terres de mes parents, avoir un permis de conduire ou un travail légal», énumère, désespéré et le regard sombre, Suraj Chaudhary, celui du milieu. L’administration refuse de lui fournir un certificat de citoyenneté, document indispensable pour se voir octroyer la nationalité népalaise. Comme ses amis d’infortune, Suraj est apatride dans son propre pays. «Ma mère est népalaise, mais mon père est indien, donc les autorités ont refusé de me reconnaître comme népalais.» Le Népal a une conception patriarcale de la transmission de la nationalité népalaise : selon la Constitution de 2015, toute personne née de père népalais obtient la nationalité automatiquement par le droit du sang, alors que si la mère est népalaise et le père étranger, l’enfant ne peut prétendre qu’à une «naturalisation», souvent compliquée, voire impossible à obtenir. Elle dépend du bon vouloir d’une administration tatillonne et elle-même patriarcale.

    (…)

    Ses deux parents sont pourtant népalais, mais son grand-père paternel ne l’était pas, ce qui a justifié un refus de l’administration. Une étrange et restrictive interprétation de la loi, qui serait particulièrement appliquée à la population des provinces frontalières de l’Inde. Physiquement, ces Népalais des plaines ressemblent davantage aux Indiens qu’aux Népalais des montagnes de Katmandou, aux yeux plus bridés. Arjun Kumar Sah, le vétéran du trio, âgé de 32 ans, a une expérience parlante et traumatisante de cette discrimination. «Quand je suis allé réclamer mon certificat de citoyenneté, le responsable administratif du district m’a renvoyé brutalement, en me lançant : “Vous, les Indiens, vous voulez envahir notre pays et devenir plus nombreux que nous. Vous voulez nous remplacer pour nous diriger !”»

    (…)

    Le gouvernement népalais ne communique pas de chiffres sur le nombre de personnes affectées – et refuse même de parler d’«apatrides» – mais une étude du Forum pour les femmes, la loi et le développement a calculé qu’en 2011, 23 % de la population de plus de 16 ans ne disposait pas de certificat de citoyenneté, ce qui la prive de ses droits civiques, comme enregistrer un mariage ou une naissance, voter ou ouvrir un compte en banque. La situation législative n’ayant pas évolué depuis, l’association estime qu’environ 6,7 millions de Népalais vivent aujourd’hui dans cet enfer administratif perpétuel, qui détruit leurs rêves d’avenir.

    (…)

    Pour Bhim Rawal, député du PCN-MLU et ancien ministre de l’Intérieur, cette précaution peut se justifier : «Cette question de l’accès à la citoyenneté a un enjeu géopolitique important, car le Népal est entouré par les deux pays les plus peuplés du monde, l’Inde et la Chine. Nous devons donc être très vigilants vis-à-vis de cette question démographique.» Cette crainte de l’invasion, voire du «remplacement», est particulièrement dirigée contre les Indiens, car la frontière indo-népalaise est ouverte, sans besoin de visa pour la traverser, et que les deux populations sont culturellement très proches – même religion hindoue majoritaire et langue similaire. Les échanges et les unions sont donc courants. A la différence de la Chine, dont la frontière est filtrée, l’accès bloqué par la chaîne de l’Himalaya et avec qui la culture est éloignée. Les mariages entre Népalais et Chinois sont donc rares.

    Libération via fdesouche

  • Macron « veut un ordre mondial unique » et dénonce la fragmentation du monde

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

     

    Les « mondialistes » veulent un monde global.

    Dans un monde global, il faut une gouvernance mondiale ce qui est assez logique d’un point de vue intellectuel.

    Le problème, c’est que nous savons tous ce qu’une gouvernance mondiale implique.

    C’est tout simplement et par nature la fin de la démocratie relativement directe qui ne peut exister que lorsqu’elle est excercée à un niveau national.

    Au niveau européen, la démocratie est presque impossible tant les intérêts du Polonais, ne sont pas les mêmes que ceux de l’Espagnol. Ce n’est ni bien ni mal, c’est une réalité.

    Dans une gouvernance mondiale avec un gouvernement mondial, le chinois de Pékin comme le français de Paris auraient sensiblement les mêmes lois, règles etc.

    C’est là tout le débat.

    Chine, Russie mais aussi l’Inde ce qui représente tout de même la majorité du monde, refuse, l’abandon de souveraineté suprême et le nouvel ordre mondial.

    C’est tout le sens des tensions géopolitiques actuelles et de la guerre en Ukraine.

    Il s’agit d’un nouveau partage du monde.

     

  • Pendant 25 ans, « qui est juif » parmi les athlètes américains fut le seul sujet de cette publication !

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

    Auteur : 

    Durant les 25 dernières années, une publication a méticuleusement identifié tous les athlètes juifs aux Etats-Unis, de l’université au sport professionnel. Quoi ? Un fichage des juifs ? Un « Qui est juif ? », selon l’expression de Times of Israël ? Donc, une initiative des obsédés du QUI comme les appelle Julien Rochedy ? Encore un coup des antisémites ? Heu… Non, figurez-vous que ce fichage méthodique des sportifs juifs était réalisé par des Juifs.

    C’est Times of Israël qui l’écrit :

    Tous les amateurs juifs de sport, quel que soit le sport ou l’équipe qu’ils soutiennent, partagent un même besoin universel : découvrir de nouveaux joueurs et se demander immédiatement « s’ils sont Juifs ».

    On apprend donc que depuis 1997, Ephraim Moxson et Shel Wallman ont édité la Jewish Sports Review, dont le seul but était de publier ses listes complètes et précises de sportifs juifs, accompagnées de statistiques clés et d’informations biographiques de base.

    Times of Israël fournit même des informations sur leurs méthodes de recherche.

    Pour les athlètes universitaires, ils ont extrait toutes les listes de six sports différents, à savoir le baseball, le basketball, le football, le hockey, le crosse et le rugby – dans toutes les divisions. Ils ont scruté les listes à la recherche de noms ou de villes d’origine qui pourraient faire allusion à une éventuelle judéité, et ont entrepris de les contacter. Ils ont envoyé un courriel au directeur de l’information sportive et au directeur sportif de l’équipe avant de contacter la famille des athlètes.

    (…) La Jewish Sports Review s’est appuyée sur trois critères : le joueur devait avoir au moins un parent juif, ne pouvait pas pratiquer une autre religion et devait accepter d’être identifié comme Juif dans le magazine.

    « La vérification des faits était la partie la plus amusante du projet », a déclaré Moxson. « Personne n’aurait fait ce que nous avons fait. »

    Contrairement aux traditionalistes qui tiennent à la descendance matrilinéaire – selon laquelle la judéité est transmise par la mère – ils ne se souciaient pas de savoir quel parent était Juif. Ils ne se souciaient pas non plus du degré de religiosité de la famille. Si les athlètes acquiesçaient, ils étaient acceptés, et s’ils refusaient, cela se faisait sans rancune, ni avoir à s’expliquer.

    « Vous découvrirez que tous les Schwartz, Cone, Levy, Ginsburg, Feldman, Goldberg ne sont pas Juifs », a déclaré Moxson. « Il est surprenant de voir combien d’entre eux ne le sont pas. Si vous trouvez un athlète du nom de Schwartz, et qu’il vient de Fargo, dans le Dakota du Nord, il ne faut même pas s’en soucier, il est Allemand. »

    Le débat sur qui est considéré comme Juif, et comment identifier les Juifs, peut souvent être un sujet délicat dans le monde juif. D’une part, la communauté juive américaine, de plus en plus diversifiée, comprend un nombre croissant de personnes qui ne portent pas de nom juif ou ne vivent pas dans des communautés juives, ce qui signifie que les critères de la Jewish Sports Review pouvaient facilement passer à côté d’athlètes juifs. D’un autre côté, certains pensent que le magazine a été trop inclusif. Lors d’une présentation au National Baseball Hall of Fame, il y a quelques années, un homme portant une kippa avait contesté les critères de la Jewish Sports Review, disant à Moxson et Wallman qu’un joueur n’est pas Juif, à moins que sa mère ne le soit.

    « Ouvrez votre propre magazine ! », lui répondit Wallman.

    « Nous les listons comme Juifs parce qu’ils s’identifient comme Juifs, qu’ils soient pratiquants ou non », a déclaré Moxson, dont les parents ont immigré dans ce qui était alors la Palestine mandataire dans les premières années du XXe siècle. « Je suis très, très Juif. Je suis le fils d’Israéliens palestiniens de la troisième alyah. Mes parents étaient de la troisième alyah, mon père était un collecteur de fonds sioniste, Golda Meir est venue chez moi. Personne ne peut remettre en question mon identité juive. Je ne suis simplement pas religieux. »

    (…) Le magazine ne vendait pas de publicité, et son prix de 36 dollars par an n’a jamais augmenté. Ce qui a augmenté au fil des ans, dit Moxson, c’est le nombre d’athlètes juifs au niveau professionnel.

    « Les gens me demandent pourquoi, et je réponds que c’est parce qu’il y a de l’argent à gagner maintenant », a déclaré Moxson. « Un enfant n’a plus besoin d’être médecin ou avocat. Vous pouvez être un joueur de hockey, un joueur de baseball et espérer gagner beaucoup d’argent. »

    Tout commentaire serait superflu.

     

    Source : medias-presse.info

  • Des centaines d’ex-agents des renseignements militaires israéliens occupent des postes clés chez Google, Facebook, Microsoft et Amazon

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

    Auteur : 

    Un récent rapport d’enquête de MintPressNews a révélé que des centaines d’anciens agents du renseignement militaire de « l’organisation d’espionnage israélienne notoire » Unit 8200 ont acquis des positions d’influence dans plusieurs grandes entreprises technologiques, dont Google, Facebook, Microsoft et Amazon.

    Selon un simple regard sur des profils professionnels sur LinkedIn, Google emploie actuellement au moins 99 anciens agents de l’unité 8200 et Microsoft en emploie 166.

    Et comme l’a expliqué le journaliste Alan MacLeod, ces chiffres sous-estiment certainement la collaboration entre ces grandes entreprises technologiques et cette unité de renseignement israélienne, car ces chiffres n’incluent pas ceux qui n’ont pas de compte LinkedIn, ou ceux qui maintiennent de tels profils mais ont obéi à la loi militaire israélienne qui les oblige à dissimuler leur affiliation à cette unité spéciale.

    L’unité 8200 peut être décrite comme « la NSA d’Israël » et a été liée au développement de méthodes de surveillance répressive.

    En ce qui concerne les actes d’oppression spécifiques commis par l’unité 8200, un groupe de 43 réservistes de l’unité israélienne a adressé une lettre ouverte en 2014 au Premier ministre Benjamin Netanyahu l’informant, ainsi que d’autres supérieurs militaires, qu’ils ne serviraient plus dans cette unité militaire en raison de sa « persécution politique » du peuple palestinien.

    Jeffrey Epstein aurait également été un espion israélien qui a recueilli des informations incriminantes sur des hommes puissants à des fins d’extorsion, MacLeod explique que l’unité 8200 a utilisé les mégadonnées pour compiler des dossiers sur un grand nombre de personnes y compris leurs antécédents médicaux, vies sexuelles et historiques de recherche, afin qu’elles puissent être utilisées comme moyen de pression plus tard.

    Le journaliste MacLeod résume :

    « Que cette organisation ait autant d’agents (littéralement des centaines) à des postes clés dans de grandes entreprises technologiques auxquelles le monde confie nos données les plus sensibles (médicales, financières, etc.) devrait être une grave préoccupation. »

    Selon Edward Snowden, cette surveillance exercée par l’unité 8200 s’applique également aux Américains et aux autres citoyens dans le monde. En 2013, Snowden, qui travaillait comme sous-traitant pour la CIA, a divulgué des documents gouvernementaux hautement classifiés de la National Security Agency (NSA) révélant comment le gouvernement fédéral collectait les métadonnées de millions d’Américains sans aucun lien avec le terrorisme.

    Selon Elizabeth Goitein , « La NSA partage [ces] données brutes avec plusieurs autres agences – y compris le FBI et la CIA – et toutes conservent les données pendant un minimum fonctionnel de cinq ans. » Pourtant, en plus de ces agences américaines, les fuites de Snowden ont révélé que la NSA transmet également ces données brutes non filtrées à l’unité 8200 d’Israël, ce qui signifie que cette agence militaire étrangère espionne également les citoyens américains.

    Dans une interview sur le sujet, MacLeod a expliqué comment cet arrangement démontre la certaine intimité partagée entre l’État profond américain et le gouvernement israélien qui, selon lui, est « vraiment traité comme… un allié de confiance de l’État américain de sécurité nationale ».

    Alors que trois ans de service militaire sont requis pour tous les citoyens juifs d’Israël, les meilleurs et les plus brillants des jeunes de la nation rivalisent pour être admis dans l’unité 8200, qui a été appelée  » Harvard d’Israël « .

    Sur la base des compétences acquises grâce à cette formation militaire de haute technologie, de nombreux anciens poursuivent des carrières lucratives dans des domaines technologiques en concevant des applications populaires telles que le service de cartographie Waze et le service de communication Viber.

    Pourtant, selon un commentateur, ils ont également trouvé des entreprises qui étendent « l’expérience de « surveillance » d’Israël en Palestine » au reste du monde. L’une des raisons pour lesquelles les Palestiniens sont soumis à une telle surveillance oppressive est « parce qu’ils sont les participants involontaires d’une expérience israélienne très rentable », a écrit l’auteur et journaliste Ramzy Baroud .

    Ces expériences incluent la mise en œuvre de la technologie de reconnaissance faciale « Blue Wolf » qui, selon le Washington Post l’année dernière, est « l’un des déploiements les plus élaborés d’une telle technologie par un pays cherchant à contrôler une population ».

    Baroud observe que de telles expériences permettent aux entreprises israéliennes de promouvoir leur « sinistre » technologie de sécurité « au reste du monde comme » éprouvée sur le terrain « , ce qui signifie qu’elles ont été utilisées contre les Palestiniens occupés ».

    Les vétérans de l’unité 8200 continuent également à travailler dans des entreprises telles que NSO Group, qui, selon MacLeod, est « une entreprise de technologie privée » dont le personnel est principalement composé d’anciens membres de l’unité.

    Cette société a créé une « arme de cybersurveillance » appelée Pegasus qui a été utilisée pour espionner plus de 50 000 personnalités dans le monde, dont près de 200 journalistes et plus de 600 hommes politiques, dont le président français Emmanuel Macron, le président Barham Salih et le Premier ministre pakistanais Imran Khan.

    Une autre entreprise appelée Toka a été « créée par l’ancien ministre de la Défense et Premier ministre israélien, Ehud Barak, avec l’aide d’un certain nombre d’officiers de l’Unité 8200 », a écrit MacLeod . Agissant efficacement comme « un groupe de façade pour les opérations d’espionnage du gouvernement israélien », cette technologie « peut infiltrer n’importe quel appareil connecté à Internet, y compris les téléviseurs, les réfrigérateurs et autres appareils ménagers ».

    « Une troisième société d’espionnage privée remplie de diplômés de l’Unité 8200 est Candiru », qui, selon le journaliste, est largement considérée comme à l’origine des attaques de logiciels malveillants observées en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis, à Singapour, au Qatar et en Ouzbékistan.

    Parmi les vétérans de l’unité 8200 embauchés par Google figurent Gavriel Goidel, responsable de la stratégie et des opérations de recherche, qui a servi dans l’unité de renseignement de 2010 à 2016 ; Jonathan Cohen, responsable des connaissances, des données et des mesures (2000-2003) ; et le responsable des partenariats produits Ben Bariach , qui s’est concentré sur « le contenu controversé, la désinformation et la cybersécurité » pour la grande organisation technologique de 2018 à 2020 et a servi dans l’unité en tant qu’officier du cyber-renseignement entre 2007 et 2011.

    MacLeod souligne également comment Google semble « recruter activement des membres actuels de l’organisation controversée », remarquant comment  » Gai Gutherz a quitté son poste de chef de projet à l’unité 8200 et est entré dans un emploi à temps plein chez Google en tant qu’ingénieur logiciel » en 2020. Citons aussi « Lior Liberman, qui semble avoir fait de même en 2018 » en prenant un poste de responsable de programme chez Google après 4 ans dans le renseignement militaire. Plus tôt cette année, elle a quitté Google et travaille maintenant chez Microsoft.

    MacLeod a également documenté comment « de grandes entreprises technologiques comme Twitter, Facebook, Google, TikTok et Reddit ont embauché des centaines d(ex-agents de la CIA, de la NSA, du FBI, des services secrets, de l’OTAN et d’autres agences de renseignement » ces dernières années.

    Bien qu’aucune de ces informations ne fournisse la preuve que l’un de ces employés est une taupe ou agit d’une manière problématique, le simple nombre de ces individus issus d’une agence de renseignement militaire devrait naturellement susciter des inquiétudes.

    Et de telles pratiques d’embauche peuvent simplement aider à expliquer le schéma des grandes organisations technologiques manipulant les électeurs swing lors d’élections cruciales, censurant les informations sur le COVID et les élections de 2020, et travaillant avec les agences gouvernementales américaines pour cibler les ennemis politiques du régime Biden.

     

    Source : medias-presse.info

  • Les députés russes votent une loi bannissant « la propagande » LGBT +

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

    Auteur : 


    Ne nous imposez vos lois contre-nature. Nous ne voulons pas devenir,

    comme vous, Sodome a déclaré Viatcheslav Volodine, Président de la Douma

    Nous vous apprenions le 27 octobre dernier que les députés russes avaient voté en première lecture un durcissement de la loi controversée réprimant la «propagande LGBT».

    Un mois plus tard, ce ce jeudi 24 novembre 2022, un texte renforçant l’interdiction de « propagande » LGBT en Russie a été définitivement voté par les députés russes .

    Il interdit de « faire la promotion de relations sexuelles non-traditionnelles » à tous les publics, et non plus seulement aux mineurs, dans les médias, sur Internet, dans les livres et dans les films.

    « Promouvoir les relations sexuelles non-traditionnelles est interdit […] Une interdiction de la promotion de la pédophilie et du changement de genre a également été introduite », a déclaré dans un communiqué le chef de la chambre basse du Parlement (Douma), Viatcheslav Volodine.

    Cette loi « va protéger nos enfants et l’avenir de ce pays contre les ténèbres répandues par les États-Unis et les pays européens. Nous avons nos propres traditions et valeurs », a rajouté jeudi Viatcheslav Volodine.

    397 députés ont voté pour, 0 contre et 0 se sont abstenus. Volodin explique : « C’est la meilleure réponse au Secrétaire d’Etat américain Blinken. Arrêtez de nous imposer des valeurs étrangères. Vous avez détruit vos valeurs. Nous verrons comment tout cela se termine, mais en tout cas, c’est bien triste. Parce que c’est contre-nature. Je ne peux pas le dire autrement ».

    Pour que le texte prenne force de loi, il doit encore être validé par la chambre haute du Parlement, le Conseil de la Fédération, et signé par le président Vladimir Poutine, ce qui constitue des formalités.

    Pendant ce temps, l’Occident otanien, c’est-à-dire américain, nous impose sa pourriture wokiste LGBTQ+ intersectionnelle et se vautre dans la luxure satanique.

     

    Source : medias-presse.info