Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 18

  • Sondage : 55% des Français sont favorables à la suppression du regroupement familial, 58% veulent l’instauration du droit du sang

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2020

    Jérôme Fourquet: «Pour une majorité de Français, le pays ne peut plus accueillir de nouveaux arrivants»

    Les conclusions de l’enquête exclusive de l’Ifop, que commentent Jérôme Fourquet, sont nettes. Seuls 32% des Français considèrent que les pouvoirs publics luttent efficacement contre l’immigration clandestine. Une large majorité d’entre eux sont favorables à des mesures vigoureuses pour limiter les flux ; 78% pensent qu’il faut une immigration choisie et non pas subie ; 55% sont favorables à la suppression du regroupement familial. Et 58% souhaitent l’instauration du droit du sang. Nous publions ici quelques extraits de cet entretien dont vous pourrez retrouver l’intégralité dans Le Figaro Enquêtes (1), en vente le 16 novembre.

    37% des Français pensent que l’immigration est une chance (49% en 2007).

    Les Français interrogés sont 64% à penser qu’« on en fait plus pour les immigrés que pour les Français »

    (…) Le Figaro Source : fdesouche

  • Il y a 227 ans, la république noyait 90 prêtres à Nantes

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2020

    nantes,prêtres noyés,république

    Les noyades à Nantes sont un épisode de la Terreur qui a eu lieu entre novembre 1793 et février 1794 à Nantes. Des milliers de personnes, suspectes aux yeux de la République (prisonniers politiques, de guerre, de droit commun, gens d’Église…), ont été noyées dans la Loire sur ordre de Jean-Baptiste Carrier.

    Et tout cela a commencé avec des prêtres pour “tester” le procédé ignoble d’exécution. C’était le 16 novembre 1793 :

    Pour se faire la main, l’envoyé de Paris, chargé de mettre fin à la révolte vendéenne par tous les moyens, commence avec 90 prêtres réfractaires emprisonnés à Nantes. Il demande à son bras armé, l’adjudant général Guillaume Lamberty, et à ses hommes, la compagnie Marat, de les noyer dans la Loire, le « fleuve républicain » (…) Ces prêtres emprisonnés sont au nombre de 90. Pour certains, cela fait plusieurs mois qu’ils ont été arrêtés pour avoir refusé de prêter le serment de la constitution civile du clergé (…)

    La veille, le 15 novembre, il a demandé au commandant chargé de la surveillance des prêtres de supprimer toute garde cette nuit-là afin qu’il n’y ait pas de témoins de la noyade. Il fait même preuve d’un machiavélisme admirable en faisant croire aux prisonniers qu’ils seront emmenés la nuit suivante au château de la Musse et leur recommande donc de déposer entre les mains du commandant tous leurs objets précieux qui leur seront rendus une fois arrivés dans leur nouvelle prison (…)

    S’attendant à être transférés, les prêtres ne s’alarment pas outre mesure en les voyant arriver. Ils obéissent sagement quand on leur demande de monter deux par deux sur le pont. Ils sont fouillés, dépouillés des objets de valeur conservés sur eux. On leur demande même de retirer leurs vêtements et leurs chaussures. Ils sont alors liés à deux, puis jetés à l’intérieur de la gabare. Le transfert se fait dans le calme. Les prêtres ne se doutent pas du sort funeste qui les attend. Il n’y a que le curé de Machecoul qui s’inquiète en voyant sur le fond du bateau des pierres plates et blanches cachant des trous. Voyant de l’eau s’infiltrer, il conseille à ses voisins de se donner l’absolution l’un à l’autre. Ainsi font-ils (…)

    L’eau envahit la cale, où les prêtres, commençant à se rendre compte qu’ils vont bientôt rencontrer le Créateur, se mettent à hurler de désespoir, à supplier pour qu’on leur porte secours (…) Bientôt, les cris s’évanouissent. Le calme est revenu sur la Loire (…)

    La méthode de la « déportation verticale » a prouvé, malgré quelques imperfections, son efficacité. Jean-Baptiste Carrier décide de l’appliquer à grande échelle pour se débarrasser des milliers de Vendéens qui encombrent la prison de la ville. Entre les derniers jours de 1793 et février 1794, de 1 800 à 4 800 victimes disparaissent dans la Loire.

     
     
    Source : lesalonbeige

     

  • L’échec est dans le pré : la double peine du confinement pour les ruraux.

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2020

    lafautearousseau

    Le monde d’après, c’est un peu comme le monde d’avant, la pluie en plus. La solidarité en moins.
    On nous avait prédit l’avènement d’une France chaleureuse, fraternelle, retournant à la campagne comme Perrette à son pot. Il n’en est rien.

    l'échec est dans le pré,rurauxLes bobos ont mis en berne leur projet d’installation au vert et se sont rués sur Amazon pour affronter la saison 2 du repli social.

    Laissés sur place comme on abandonne ses valises quand il faut s’enfuir, les ruraux peuvent bien scruter le ciel à l’affût d’une fibre interstellaire, la France abandonnée des réseaux est toujours un angle mort de la politique des périphéries qui, comme son nom l’indique, ne connaît pas le vert.

    C’est que le confinement a besoin de réseau. Pas de réseau, pas de boulot, pas de bachot. Alors que le ministre Jean-Michel Blanquer appelle à un retour des lycéens à la maison et la reprise des cours en « distant-ciel », revient comme un cheval au galop la question de l’égalité face au numérique. De plateau en plateau, les mêmes « observateurs » tournent pour nous dire qu’à l’évidence, avoir un ordinateur, des parents instruits et une douillette chambre avec vue sur la tour Eiffel sont des facteurs de réussite. Vous l’avez compris, l’urgence est d’équiper les jeunes de banlieues en arme informatique. Il faut dire, aussi, qu’à coups de mortier et de guérillas urbaines, ils ont toujours eu l’art et la manière de développer des arguments de poids pour débloquer des fonds publics.

    À l’instar de leurs parents sans histoires ni Histoire, les jeunes ruraux sont, eux, tout simplement invisibles, inaudibles, puisqu’on ne leur tend jamais un micro. Il faut croire que les vastes plaines de la Brie font moins de « vues » qu’une cité en flammes.

    Le citadin est ainsi, il aime se faire peur à deux pas de chez lui. Au fond, le vert l’ennuie.
    Qui craindra donc la révolte de ces jeunes ruraux, que 50 ans de politiques de la ville ont fait passer dans l’angle mort des politiques publiques et à laquelle le « e-confinement » ne laisse aucune chance ?

    On arrosera plutôt les quartiers de doudous informatiques parce qu’il faut bien assurer l’égalité des chances. Pour enfumer le quidam, on agitera le chiffon rouge de la suppression des allocations familiales si le petit passe encore à la télé en train de renverser une voiture de police.

    Laissons là les 25 % de jeunes Français qui vivent à la campagne : ils peuvent continuer d’invoquer le dieu Numerus pour décrocher le réseau comme on décroche la Lune et rêver d’égalité des chances. Le monde d’après est un mort-vivant qui a choisi de l’ignorer. Tant qu’il ne vire pas au jaune.

     

    Anne Thoret

    Journaliste spécialiste des questions éducatives, enseignante
     
  • Les prénoms et les noms des terroristes islamistes “français”

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2020

    Les prénoms et les noms des terroristes islamistes “français”

     

     

     

  • La commissaire européenne Ylva Johansson : “L’islam n’est pas une menace pour l’Europe”, “il faut lutter contre l’extrême-droite”

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2020

    La commissaire européenne Ylva Johansson : “L’islam n’est pas une menace pour l’Europe”, “il faut lutter contre l’extrême-droite”

    La commissaire européenne aux Affaires intérieures, Ylva Johansson, a déclaré vendredi que l’islam n’est pas une menace pour l’Europe, suite à une réunion virtuelle sur la lutte contre le terrorisme.

    Ylva Johansson a déclaré à l’agence de presse suédoise TT, au terme de la réunion, que l’islam et la migration ne représentent pas une menace pour l’Europe et que c’est contre le fanatisme extrémiste qu’une lutte doit être menée.

    “L’islam n’est pas une menace. La religion n’est pas une menace. Les terroristes sont une menace. Il faut lutter contre les extrémistes qui ont une apparence islamiste et l’extrême-droite. La migration n’est pas non plus une menace pour l’Europe”.

    La commissaire a critiqué l’idée de former les imams conformément aux valeurs européennes.

    “Je ne pense pas que la formation des leaders religieux s’inscrive dans le cadre des compétences de l’UE”.

     

    Source : lesalonbeige