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  • Macron installe une commission contre le complotisme et les fake news

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021
     
     

    Le président de la République a installé une équipe d’une quinzaine d’universitaires et personnalités qui auront pour défi de proposer des solutions face à la montée de la désinformation.

    Emmanuel Macron a installé mercredi une équipe d’une quinzaine d’universitaires et personnalités, présidée par le sociologue Gérald Bronner, chargée de faire d’ici à la fin de l’année des propositions face à l’emprise des théories complotistes et de la désinformation dans le débat public.

    La commission, intitulée Les lumières à l’ère numérique, “devra formuler d’ici la fin de l’année des propositions concrètes dans les champs de l’éducation, de la régulation, de la lutte contre les diffuseurs de haine et de la désinformation”, indique la présidence de la République dans un communiqué.

    Lors d’un point de presse mercredi, Gérald Bronner a évoqué une société qui a la “chance” de vivre dans une profusion d’informations, qui représente un “formidable espoir” en termes de capacité “d’intelligence collective”.

     

  • Comment la Chine manœuvre pour affaiblir la France dans le Pacifique.

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021

    ARTICLE. Alors que la Nouvelle-Calédonie s’apprête une nouvelle fois à déterminer par référendum son indépendance (ou non) le 12 décembre 2021, un rapport de l’Institut de recherche stratégique de l’école militaire (IRSEM) pointe du doigt le trouble jeu de la Chine dans la région…

    La Chine travaille en sous-marin à préparer l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie. C’est la conclusion d’un rapport de l’Institut de recherche stratégique de l’école militaire (IRSEM). Le document de 646 pages, publié la semaine précédente et intitulé « les opérations d’influence chinoise — un moment machiavélien », alerte sur le cynique jeu d’influence auquel se livre la Chine aux quatre coins du monde. Diplomatie, militaire, éducation, réseaux sociaux… tout passe sous le scope d’analyse de Paul Charon (directeur du domaine « Renseignement, anticipation et menaces hybrides » de l’IRSEM) et de Jean-Baptiste Jeangène-Vilmer (directeur de l’IRSEM). Y compris l’appui de la Chine aux divers mouvements indépendantistes opérant près de ses zones d’influence. La Nouvelle-Calédonie y figure en bonne place.

    7 640 kilomètres à vol d’oiseau séparent la chef-lieu de la Nouvelle-Calédonie — Nouméa — de Shanghaï. Mais alors que les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni viennent de conclure le pacte AUKUS pour contrer l’emprise chinoise dans le Pacifique, dans une logique d’affrontement des blocs qui ne sert pas les intérêts de la France, Pékin voit d’un bon œil l’idée de se rapprocher à environ 3  000 kilomètres des côtes australiennes.

    Des élus indépendantistes proches des associations chinoises

    La méthode chinoise est connue. Son objectif : multiplier les investissements de façon à noyauter l’économie, « en se rapprochant des responsables tribaux et politiques parce que c’est la méthode la plus efficace et la moins visible », explique le rapport de l’IRSEM qui précise qu’il s’agit d’une « stratégie (…) parfaitement rodée » qui « a fonctionné ailleurs dans le Pacifique ». Ainsi, Pékin encourage l’indépendance de ce territoire, tout en entretenant des relations avec l’élite politique et économique locale.

    Dans le viseur de l’IRSEM, l’Association de l’amitié sino-calédonienne. Les deux auteurs notent que sa présidente, Karine Shan Sei Fan, « est une ancienne du cabinet du leader indépendantiste (Roch Wamytan, président du Congrès de Nouvelle-Calédonie, NDLR) ». D’autant que les deux derniers directeurs de cabinet sont « d’éminents membres » de cette association. Pour l’IRSEM, les élus indépendantistes seraient de manière générale, « extrêmement proches » de la « diaspora (chinoise, NDLRet des « associations qui la représentent ». En octobre 2017, l’Association de l’amitié sino-calédonienne avait d’ailleurs invité celui qui était alors ambassadeur de Chine en France, Zhai Jun (depuis remplacé par le médiatique Lu Shaye), qui avait multiplié les promesses à ses interlocuteurs pendant une semaine.

    Nouméa, une proie de choix pour Pékin

    Pourquoi la Nouvelle-Calédonie intéresse-t-elle autant la Chine ? Tout d’abord, car la Chine lorgne sur le nickel français, présent en grandes quantités dans l’archipel. Ensuite, une tête de pont en Nouvelle-Calédonie permettrait à la République populaire de renforcer sa politique d’anti-encerclement, destinée à isoler l’Australie et in fine à affaiblir l’emprise étasunienne sur dans l’Indo-Pacifique. Nouméa viendrait compléter un arc de cercle géographique allant de Papouasie-Nouvelle Guinée (qui a rejoint à les « Nouvelles routes de la soie ») aux Fidji (accord de coopération et intégration aux « Nouvelle route de la soie »), en passant par les Îles Salomon (dons et prêts) et Vanuatu (grands projets d’infrastructures). Si Nouméa venait à tomber dans la sphère d’influence chinoise, elle intégrerait alors « La Ceinture et la route », un projet chinois qui vise à revitaliser les anciennes routes de la soie (et à en créer de nouvelles) pour étendre l’influence chinoise dans le Pacifique.

    Après deux référendums en 2018 et 2020 qui ont abouti à a victoire du « non » à l’indépendance, la France pourrait bien perdre en décembre 2021 13 % de sa Zone économique exclusive (ZEE) – la deuxième au monde en superficie. Alors que la crise des sous-marins en Australie a pleinement démontré la perte d’influence de la France dans le Pacifique – ainsi que sa naïveté diplomatique –, une éventuelle séparation avec la Nouvelle-Calédonie, qui rejoindrait  alors la sphère d'influence chinoise serait plus qu’un simple coup dur porté à Emmanuel Macron et aux intérêts de Paris : ce serait une catastrophe géostratégique.

     

    Bertrand Guyot
    Journaliste
    Journaliste à la rédaction du Front Populaire

    Source : https://frontpopulaire.fr/

  • Un procureur inculpe trois médecins après la mort d’un ado de 14 ans à la suite de sa « vaccination » anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021

    En Italie, un adolescent de 14 ans est mort à la suite de sa deuxième injection de pseudo vaccin contre le Covid-19. Comme cela arrive partout y compris en France dans l’indifférence médiatique qui n’y voit au mieux qu’un simple fait divers.

    Mais la différence réelle et essentielle réside précisément dans le fait qu’en Italie ce décès tragique n’a pas laissé indifférent le magistrat saisi du dossier. Bien au contraire, le procureur a inculpé trois médecins, dont celui qui a fait la deuxième injection !

    La responsabilité personnelle des médecins va commencer à en faire palpiter certains. Avis aux médecins de chez nous qui se font les promoteurs inconditionnels de cette expérimentation aux graves effets secondaires ! Leur tour pourrait venir. La dictature sanitaire ne les protégera pas éternellement. Il faudra tôt ou tard rendre des comptes.

     

    Source : medias-presse.info

  • Vaccins anti-covid : la Roumanie ouvre une enquête contre Ursula van der Leyen, et les vaccins ARNm ont de moins en moins la cote

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021

    La volonté tyrannique de l’Union Européenne et de certains gouvernements nationaux d’imposer la vaccination de masse, notamment avec les injections à ARNm, à tous les Européens, se brise devant le mur d’opposition des pays de l’Est, encore une fois à la pointe du combat pour les libertés fondamentales et le respect de leur identité souveraine.

    Les procureurs roumains ont ouvert une enquête sur les acquisitions de vaccins Covid du pays et ont également fermé ses centres de vaccination car les gens refusaient les vaccins expérimentaux.

    Comme indiqué précédemment par MPI, l’Union européenne a lancé une enquête sur les   pourparlers secrets qui ont eu lieu entre le chef de la Commission européenne et le PDG de Pfizer pour la vente de vaccins. Le Médiateur européen a demandé à la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, d’expliquer comment elle a perdu les SMS qu’elle a échangés avec le PDG de Pfizer lors des pourparlers sur l’achat de vaccins.

    Maintenant, la Direction nationale anti-corruption (DNA) de Roumanie a également annoncé qu’elle avait ouvert des enquêtes sur les circonstances dans lesquelles la Roumanie a acheté [trop, semblent indiquer les procureurs roumains] des vaccins Covid.

    « Pour autant que je sache, les procédures suivies pour l’achat [de vaccins] dans tous les pays de l’Union européenne étaient les mêmes et ont été développées par la Commission européenne », a déclaré Valeriu Gheorghiță, responsable de la campagne nationale de vaccination, selon Hotnews.ro.

    Les procureurs ont déclaré que des enquêtes avaient été ouvertes afin d’identifier des « abus de pouvoir » potentiels [impliquant des avantages personnels tirés de ceux qui n’ont pas encore été identifiés].

    En particulier, le ministère de la Santé a été dirigé jusqu’à début septembre par le parti réformiste USR-PLUS, qui s’est entre-temps retiré de la coalition au pouvoir et a lancé une motion de censure contre le gouvernement. Mais le ministère de la Santé n’était pas directement impliqué dans l’approvisionnement.

    Parallèlement à cette enquête, la Roumanie arrête les importations de vaccins, ferme les centres de vaccination, transfère des stocks de vaccins au Danemark, au Vietnam, en Irlande, en Corée du Sud, etc. car les Roumains refusaient les vaccins expérimentaux.

    La baisse de la demande de vaccination contre le coronavirus en Roumanie a incité les autorités à fermer 117 centres de vaccination et à réduire le programme de 371 autres, ont déclaré des responsables de la santé.

    « La semaine précédente, nous avons réévalué l’efficacité des centres de vaccination fixes. Environ 80% des centres de vaccination fixes vaccinent moins de 25% de la capacité de vaccination allouée à chaque flux », a déclaré mardi le chef du Comité national de vaccination, Valeriu Gheorghita, lors d’une conférence de presse.

    Pendant ce temps, la République tchèque prévoit de détruire 45 000 doses de vaccins AstraZeneca   sous la marque Covishield en Inde car personne ne veut s’en servir. Et plus de 14 000 doses du vaccin d’AstraZeneca ont été jetées au cours du seul mois dernier en raison du manque d’intérêt du public.

    Récemment, le président croate a de nouveau expliqué aux médias la position de son pays vis-à-vis de la vaccination anti-covid après qu’un journaliste a demandé pourquoi le taux de vaccination en Croatie n’est pas aussi élevé que dans d’autres pays de l’UE. Le président croate Zoran Milanovic a rétorqué en disant :

    « Nous ne serons plus vaccinés. »

    Selon le président croate, les Croates ont été « suffisamment vaccinés » et devraient être autorisés à accepter les risques de contracter l’infection au COVID. « Nous n’irons pas au-delà de 50 pour cent », a déclaré Milanović dans de récentes déclarations à la presse.

    « Nous sommes assez vaccinés et tout le monde le sait. ».

    « Il faut savoir quel est le but de cette frénésie. Si le but est d’éradiquer complètement le virus, alors nous avons le but. Je n’ai pas entendu dire que c’était le but. Si quelqu’un me dit qu’il est un but, je lui dirai qu’il est fou ».

    Le président Milanović a rompu avec le scientifiquement correct et la plupart de ses contemporains en exprimant son ras-le-bol, partagé par ses co-nationaux, de l’autoritarisme médical et de l’hystérie COVID poussée par les médias grand public et les mondialistes.

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Sarkozy condamné à un an de prison converti au bracelet électronique

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021

    Nicolas Sarkozy, président de la République française de 2007 à 2012, a été condamné à un an de prison pour financement illégal de sa campagne présidentielle de 2012. L’enquête, connue sous le nom de « Bygmalion », a commencé après que les enquêteurs ont découvert que les dépenses électorales avaient presque doublé la limite légale.

    Aujourd’hui, pour la lecture de la sentence, l’ancien président ne s’est pas présenté dans la salle d’audience du tribunal correctionnel de Paris. Pour les élections de 2012, perdues face à François Hollande, Sarkozy a dépensé 42 millions d’euros, contre le plafond légal de 22,5 millions. Des dépenses justifiées, selon l’accusé, par le fait que les engagements présidentiels ne lui auraient pas permis de prêter attention aux détails financiers. Le juge, en prononçant la condamnation, a expliqué que l’ancien président « a poursuivi l’organisation de réunions » après avoir été « averti par écrit du risque de dépassement des limites.», dont il ne pouvait ignorer puisqu’il s’agissait de sa deuxième campagne présidentielle. Sarkozy, qui fera appel, ne purgera pas sa peine de prison, mais sera soumis à un régime de surveillance électronique.

    En tout, il y a 13 condamnés dont le directeur de campagne électorale qui a été condamné à 3 ans et demi.

    En mars, Sarkozy a été condamné à trois ans de prison, dont deux avec sursis, pour corruption et trafic d’influences. L’ancien locataire de l’Elysée est ainsi devenu le premier président de la République française à être condamné à de la prison. En 2011, Jacques Chirac a été condamné à deux ans – puis avec sursis – pour certaines affaires de corruption durant son mandat à la mairie de Paris. Le « Procès du Bismuth » – le nom de couverture avec lequel Sarzoky a communiqué avec son avocat – est né de quelques écoutes téléphoniques ordonnés par les procureurs qui s’occupaient d’une autre affaire judiciaire dans laquelle l’ancien président était impliqué, concernant un prétendu financement reçu du régime de Mouammar Kadhafi. Ces conversations ont montré comment Sarkozy, en 2014, a tenté par l’intermédiaire de son avocat d’obtenir des révélations sur un nouveau procès dans lequel il était impliqué auprès d’une haute juge de cassation. À l’heure actuelle, Sarkozy est impliqué dans une autre enquête sur un prétendu prêt libyen qu’il a reçu entre 2005 et 2006, bien que l’homme qui aurait servi d’intermédiaire se soit par la suite rétracté.

    Pas besoin de pleurer sur Sarkozy, il sera de toute façon plus libre de circuler avec son bracelet électronique que les honnêtes personnes non vaccinées et sans passe sanitaire. C’est ça la justice en France !

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info