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  • Un langage inclusif risque de “déshumaniser les femmes”, selon des chercheurs

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2022

    Remplacer des mots comme « femmes » et « mères » par des termes comme « donneurs de naissance » et « personnes enceintes » dans la recherche risque de déshumaniser les femmes et nuirait à des décennies de travail pour améliorer la visibilité des femmes dans la littérature médicale.

    C’est la conclusion de 10 éminents chercheurs en santé des femmes d’Australie, des États-Unis, d’Europe et d’Asie qui soutiendront dans un article publié la semaine prochaine que le remplacement de mots comme “allaitement maternel” par des termes tels que “parents allaitants” risque de “réduire la protection de la mère”. -nourrisson [lien] » et « désincarner et saper l’allaitement maternel ».

    Les changements officiels apportés à la terminologie pour mieux inclure les personnes trans sont devenus une question controversée en Australie et à l’étranger. (…)

    Les informations de source comparaient la gravité de la maladie de COVID chez les femmes enceintes avec les femmes non enceintes, mais lorsque le département a supprimé le mot «femmes», il a comparé les «personnes enceintes» aux «personnes non enceintes», modifiant le sens pour inclure à tort les hommes. (…)

    smh.com.au via hfdesouche

  • Législatives au Portugal : à peine trois ans après sa création, le parti “Chega”, classé à l’extrême-droite, devient la 3ème force politique du pays

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2022

    Le Portugal n’avait jamais eu d’extrême-droite parlementaire depuis la Révolution des oeillets. C’est chose faire depuis les législatives du 30 janvier avec le parti “Chega”

    (…) Mais la vraie surprise d’hier n’est pas tant la victoire d’un socialiste dans des élections législatives. Non, la vraie surprise d’hier pour les Portugais, c’est la 3e place obtenue par l’extrême-droite de « Chega » qui signifie « Ça suffit ! » avec plus 7% des voix.

    Il n’y avait pas d’extrême-droite au Portugal

    Depuis le retour de la démocratie en 1974, après 48 très longues années d’une dictature conservatrice, était un peu comme le village d’Astérix : il résistait encore et toujours, non pas à l’envahisseur, mais à l’extrême-droite.

    La Révolution des œillets a d’ailleurs été celle des « capitaines d’avril », c’est-à-dire une sorte de coup de main conduit par des militaires de gauche et soutenu par la rue Depuis, aucun parti politique portugais n’a le mot « droite » dans sa dénomination.

    L’actuel parti de centre-droit, par exemple, qui est arrivé deuxième aux élections d’hier s’appelle Parti social-démocrate. Et il a longtemps été en coalition avec un parti plus à droite, mais appelé Parti du centre démocratique et social, ou CDS.

    La naissance de « Chega » est donc très récente, puisqu’elle date des dernières élections législatives de 2019

    Avec 1,3% des voix, ce parti jusque-là totalement incongru dans le paysage politique portugais obtenait un député : son président, Andre Ventura.

    Cette fois-ci, il en auront douze ! Or, ce nombre inédit de parlementaires, l’extrême-droite portugaise le doit à un seul homme : Andre Ventura qui a milité un temps au centre-droit, avant de comprendre que son avenir politique devait épouser l’exemple du voisin espagnol et de son parti d’extrême-droite, Vox.

    (…)

    France Inter via fdesouche

  • Biden le cow-boy va se faire manger sa reine ukrainienne par le fin joueur d’échec Poutine

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2022

    En février-mars 2014, la Russie de Poutine envahissait « en douceur » la région autonome de Crimée après un référendum  auprès de la population locale plébiscitant le rattachement de leur région à la Russie. Il justifia son acte par l’enjeu géopolitique, notamment ses accès directs à la mer Noire qui auraient été compromis avec le nouveau pouvoir ukrainien à la suite de la révolution de Maïdan. A cela, les Américains et l’OTAN voulaient se montrer ferme pour la réponse à apporter en soutien du nouveau pouvoir pro occidental dans la crise de la Crimée et du Donbass qui commençait à s’enflammer. S’en suivirent des déclarations de politiques occidentaux qui bombèrent le torse face au taiseux Poutine. Puis, sur la pression de plusieurs pays dont les USA et la France, l’OTAN décida de monter une force pour soutenir le nouveau gouvernement ukrainien « agressé » par la Russie, notamment dans la région contestée pro-russe du Donbass. En terme militaire, pour monter ce corps expéditionnaire, on réalisa ce que l’on appelle dans le jargon otanien « une conférence de génération de force[1]». En une semaine environ, on trouva facilement un général pour commander et son état-major interarmées très bigarré des 28 nations composant l’OTAN en 2014. Pour les soldats, l’OTAN a mis plus de trois semaines à « générer » une force de 5000 hommes avec toutes les peines du monde. S’en est suivi une glorification des médias grand public du monde occidental sur cette réponse ferme face à l’envahisseur « popov ». Et les Américains étaient prêts à envoyer une force de 8500 hommes en complément (tiens, cela ressemble fort à la proposition américaine de janvier 2022 !). Dans la foulée, s’en rien dire, Vladimir Poutine agissait : Il convoqua le ministre de la Défense russe (qui est un militaire) et lui ordonna de faire un exercice grandeur nature en terrain libre (càd en milieu civil ce que n’ont plus l’habitude de faire par exemple les forces françaises, ni les forces des nations européennes) le long de la frontière ukrainienne dans un délai de…48 heures avec au moins 20000 hommes et une centaine d’avions de combat avec tirs réels d’exercice! C’était la stupeur en Occident, on resta impressionné ! Et patatra, on gesticula, on s’apitoya, on s’émouvait et au bout de deux à trois mois, plus rien. Les médias ont oublié l’affaire. La guerre locale a continué sans bruit. Quelques mercenaires yankees sont venus tout au plus « monitorer[2] » les forces loyalistes ukrainiennes avec du matériel occidental tandis que les russes faisaient de même avec les séparatistes.

    Comparons avec la situation actuelle. Le cow-boy Biden provoque son homologue russe depuis le début de son mandat : le traite « de tueur », le menace de sanction économique supplémentaire, et la dernière, d‘envoyer 8500 GI’s en Ukraine pour éviter soi-disant l’envahissement du pays par les russes, qui s’en moquent éperdument. Biden a la mémoire courte : Les Américains sont sortis il y  a peu d’Afghanistan dans le désordre et sans gloire[3] après plus de vingt ans de conflit inutile puisque les talibans sont revenus au pouvoir. Et Poutine, pour préserver le tampon stratégique de l’Ukraine face à l’OTAN, comme en 2014, demande de nouveau à ses armées de faire un petit exercice en terrain libre avec matériel (pas sur ordinateur au chaud comme souvent dans les nations dites civilisées bien souvent avec uniquement leurs états-majors) le long de la frontière avec 20000 hommes et un centaine d’avion, bien réels ceux-là. Il est assez hilarant de voir la similitude des deux périodes. Le joueur d’échec du Kremlin doit bien se gausser en train de chasser l’élan en Sibérie. Par ailleurs, le cow-boy Biden n’a pas anticipé certains points :

    • Historiquement, l’Ukraine n’est pas une région facile à tenir après l’avoir envahie ;
    • L’armée russe a fait énormément de progrès, tant en matériel, en organisation et en entraînement par rapport à 2008 où ils ont eu du mal à envahir l’Ossétie du Sud, puis la Géorgie ; Et, s’il le faut, la Russie mettra le paquet (elle le peut) pour ne pas se laisser faire ;
    • L’Ukraine est proche logistiquement de la Russie, plus simple à ravitailler par route et par mer ; L’oncle Sam doit franchir un océan et bien 2000 kilomètres sur terre avant d’arriver sur le possible front ou tout amener par air dans les pays limitrophes insérés dans l’OTAN (très cher) ;
    • La Russie joue à domicile, connaît le terrain et la météo, notamment en hiver.

    In fine, comme d’habitude, les Occidentaux vont gesticuler et Poutine gardera son visage de marbre, même si cette situation l’agace depuis le temps. Les nations de l’OTAN auraient tout un tas de contraintes principalement logistiques, de langue et de connaissance du terrain avant de pouvoir combattre des « locaux » habitués aux rudes conditions de cette région. Seule une provocation insidieuse et indirecte de L’OTAN ou de l’Ukraine pourrait provoquer une réponse militaire de Moscou si la ligne rouge est franchie. Je recommande pour cela d’écouter l’émission « Russie, Ukraine, OTAN : l’Europe en danger ? » du samedi politique de TV Libertés du 29 janvier 2022 avec l’interview par Elise Blaise de Madame Caroline Galactéros, géo politologue avertie. Les dindons de la farce seront les européens eux-mêmes, car quand on parle de l’Ukraine, de la peur du Russe à nos portes (elles sont encore loin), on ne parle plus de leurs problèmes intérieurs, de la pression insidieuse sur les salaires, les retraites, les frais de succession, et j’en passe. Les gouvernants « démoncratiques » peuvent plus facilement les tondre sans bruit aux ordres des mondialistes alors qu’ils ont les yeux rivés sur leur smartphone.

    Anatole Castagne

    [1] force generation conference en anglais

    [2] Monitorer : guider l’entraînement, voire plus, guider au combat parfois

    [3] Environ 850 milliards de dollars engloutis, 2465 morts et plus de 20000 blessés. (sources : iCasualties.org et Associated Press)

     

    Source : medias-presse.info

  • L’acteur américain Sean Penn regrette que les hommes se soient “féminisés” : “Je ne crois pas que pour être juste envers les femmes, il faille que nous en devenions nous-mêmes”

    Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2022

    Dans une récente interview, l’acteur américain de 61 ans s’est montré peu favorable aux récents questionnements de ce qu’est la virilité.

    Les hommes, c’était mieux avant: voici, en résumé, le constat de Sean Penn. L’acteur de 61 ans a estimé que les hommes se “féminisent”, comme il le confie dans une interview à The Independent.

    “Je fais partie des gens qui pensent que dans la culture américaine, les hommes sont devenus incroyablement féminisés. Je ne pense pas qu’être une brute ou se montrer insensible ou irrespectueux envers les femmes ait quoi que ce soit à voir avec la masculinité, et que ça ait jamais été le cas. Mais je ne crois pas que pour être juste envers les femmes, il faille que nous en devenions nous-même.”

    Invité à préciser sa pensée, l’acteur oscarisé pour son rôle dans Milk, dans lequel il prêtait ses traits au militant LGBT Harvey Milk, a renchéri: “Je trouve que les hommes, selon moi, se féminisent pas mal. J’ai des femmes très fortes dans ma vie qui ne perçoivent pas la masculinité comme un signe d’oppression envers elles. Je pense que ce sont les gènes de la lâcheté (qui entrent en jeu) quand quelqu’un abandonne ses jeans pour mettre une jupe.”

    (…) BFMTV via fdesouche

  • Le Havre : après un refus d’obtempérer, un individu a foncé sur un policier de la brigade canine, l’a traîné sur un mètre, puis a tenté de renverser un 2e agent

    Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2022

    Lors d’un refus d’obtempérer dimanche 30 janvier, un individu a foncé sur des policiers de la brigade canine, blessant un agent à la main, avant d’être interpellé par la Bac du Havre.

    Au cours d’un refus d’obtempérer dans la matinée du dimanche 30 janvier, un individu accompagné de sa conjointe a foncé en voiture sur un policier de la brigade canine du Havre, avant de tenter de renverser un second agent, rapporte une source policière. Le premier policier, traîné sur un mètre, est blessé à la main. L’auteur des faits et son véhicule ont été interpellés par la Bac du Havre.

    Valeurs via fdesouche