Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 38

  • En 2022, face à la tyrannie, il faudra rester debout !

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2022

    En 2022, face à la tyrannie, il faudra rester debout !

    Par Michel Geoffroy, auteur de : Le Crépuscule des LumièresImmigration de masse. L’assimilation impossibleLa Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ En 2022 il faudra rester debout ! À vrai dire on s’en était déjà aperçu, mais c’est désormais officiel depuis la déclaration du Premier ministre le 27 décembre dernier : le pouvoir préfère que les Français restent assis. Consommer ou assister à un spectacle debout n’est-il pas désormais interdit sous prétexte de lutter contre la propagation d’un virus ? Quel symbole, ce refus de la verticalité ! Et quelle belle façon de clore le catastrophique bilan covidien de 2021.

     

    Une belle opportunité pour l’oligarchie

    Comme l’a écrit avec une belle franchise Klaus Schwab dans son essai sur le grand reset, le Covid constitue une belle opportunité pour tout reconstruire conformément aux vœux de l’oligarchie de Davos.

    Une belle opportunité en effet pour les dirigeants et actionnaires de Big Pharma sur lesquels pleuvent les dividendes. Le Figaro du 31 décembre ne titre-t-il pas triomphalement : « 2021, année euphorique pour la Bourse de Paris » ?

    Une belle opportunité aussi pour les GAFAM pour promouvoir le tout-numérique et la surveillance de masse qui va avec.

    Une belle opportunité pour les grandes entreprises mondialisées d’étrangler définitivement l’économie et le commerce de proximité et de déconstruire le droit social.

    Le grand reset est surtout politique

    Mais c’est surtout le grand reset politique qui constitue la principale opportunité.

    L’épidémie a permis en effet de remiser la démocratie aux oubliettes et de remplacer la souveraineté nationale par le contrôle de la population et la tyrannie des experts en blouse blanche.

    Car le Covid a confirmé en vraie grandeur les résultats de la fameuse expérience de Stanley Milgram, dite de soumission à l’autorité, réalisée dans les années 1960 aux États-Unis.

    Ce chercheur montrait que dans plus de 60 % des cas, on pouvait être conduit à adopter un comportement que la morale réprouvait[1], par le seul fait qu’une personne en blouse blanche vous le demandait, pour un prétexte scientifique. À l’époque, ses travaux furent contestés. Mais force est de reconnaître qu’en 2021 ils sont avérés.

    La soumission du plus grand nombre à l’autorité

    Les médecins de plateau télé, les ministres, les fonctionnaires du ministère de la Santé et les médias ont pris la place des expérimentateurs de Milgram pour sidérer la population et lui imposer des comportements qu’elle aurait réprouvés dans des conditions normales : confinements, restriction des déplacements, travail imposé à la maison, imposition de « jauges » partout y compris dans le cercle familial, injections obligatoires et répétées, obligation de se faire tester, autorisation donnée à des tiers de contrôler votre état sanitaire voire votre identité, couvre-feu, port du masque, fermetures des salles de spectacle ou des écoles, discrimination des non-vaccinés, etc.

    Conformément à la théorie de Milgram, il faut bien constater que l’écrasante majorité de la population occidentale s’est pliée à ces injonctions. Elle en a même rajouté pour contrôler son voisin, chacun se transformant, non sans plaisir, en petit dictateur : « Mettez votre masque ! Respectez les gestes barrières ! Lavez-vous les mains ! ». Ou pour exécrer les non-vaccinés, comme on le lui demande.

    L’épidémie a permis de domestiquer la population. Comme le fait remarquer à juste titre Florian Philippot dans l’une de ses dernières vidéos, les injonctions contradictoires ou ridicules imposées à la population sous prétexte de lutter contre le virus ont aussi pour fonction de désorienter l’opinion, pour lui ôter tout sens commun. C’est justement en forçant la population à adopter des comportements absurdes qu’on la rend obéissante !

    Une démocratie désormais en sursis

    La domestication de l’opinion a surtout permis aux gouvernants de mettre la démocratie entre parenthèses. Parce que l’oligarchie sent bien que les peuples européens peuvent lui échapper.

    La France vit sous un régime d’exception désormais permanent ; le Parlement n’est plus qu’une machine à acquiescer aux souhaits de l’exécutif, lequel délibère dans le secret d’un conseil de défense sanitaire dont les décisions sont confidentielles. Les médias et les GAFAM censurent tous ceux qui contestent les choix effectués, pendant que le passe vaccinal nous fait entrer dans un régime de crédit social à la chinoise.

    2021 a aussi démontré la vanité du fameux « État de droit » censé préserver nos libertés : en fait tant le conseil d’État que le Conseil constitutionnel ou les juges européens, d’habitude si chatouilleux quant aux « droits » des migrants et autres demandeurs d’asile, ont totalement validé l’avalanche de mesures liberticides prises par les gouvernements. Il est désormais manifeste que l’État de droit ne protège que les étrangers, pas les Européens !

    Il n’y aura pas de retour à la normale

    Le pouvoir a fait miroiter la perspective d’un retour à « une vie normale » si on se pliait à ses injonctions. Beaucoup de nos concitoyens l’ont cru. Mais on voit bien que ce discours officiel était, une nouvelle fois, trompeur.

    Il n’y aura pas de retour au monde d’avant. On sait même déjà que les injections ne cesseront pas puisque leur efficacité décline.

    Il n’y aura pas de retour à la normale parce que l’oligarchie compte bien pérenniser le contrôle de la population qu’elle a mis en place et parce qu’elle veut détruire la souveraineté nationale.

    À quelques mois de l’élection présidentielle française, le pouvoir instille déjà l’idée que cette échéance ne pourra pas se dérouler comme prévu à cause… du variant Omicron[2]. Dans les médias, serviles par nature, on lance des ballons d’essai : report de l’élection, vote par procuration, vote électronique, campagne électorale uniquement médiatique, restriction de meetings, passe vaccinal dans les bureaux de vote, etc. À l’évidence, même sur le plan électoral, le monde d’avant ne reviendra pas.

    En 2022 il faudra rester debout !

    Alors faisons un vœu pour 2022.

    Il y a quand même des Français qui, comme partout en Europe, ne se résignent pas à devenir un bétail pour Big Pharma ou un QR code que la police scannera.

    Il y a encore des Français qui ne croient pas aux mensonges du pouvoir et qui dénoncent ses manigances. Des Français qui ne veulent pas qu’on les remplace. Des Français qui manifestent toutes les semaines contre les diktats sanitaires, dans le silence sépulcral des médias officiels.

    Il y a encore des Français debout et qui veulent le rester.

    Souhaitons qu’en 2022 beaucoup d’autres Français se lèvent aussi !

    Michel Geoffroy
    07/01/2022

    [1] Dans l’expérience de Milgram il s’agissait d’infliger des décharges électriques d’intensité croissante à un patient.

    [2] Dont la létalité n’est à ce jour pas clairement établie

     

    Source : polemia

  • Le Professeur Patrick Meyer démontre que la vaccination anti-Covid fait exploser la mortalité des 14-44 ans

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2022

    Auteur : 

    patrick_meyer-300x200.png

    Les chiffres sont là, tétus et implaccables : le Professeur Patrick Meyer de l’université de Liège démontre que la vaccination anti-Covid fait exploser la mortalité. Il a croisé pour ce faire les données sur les 18 pays européens.

    La toxicité des vaccins utilisés ne fait à ce jour plus aucun doute : c’est un empoisonnement globale de la population qui est en cours avec des conséquences gravissimes dont l’observation n’en n’est qu’à ses débuts.

    La poursuite de la vaccination devrait donc qualifiée d’homocide volontaire.

     

     

    Preprint: https://www.researchgate.net/publicat…

    Data: http://www.bioinfo.uliege.be/meyer/co…

     

    Source : medias-presse.info

  • « Aucun acte de naissance nécessaire », feu vert de l’UE pour les enfants adoptés par les duos homosexuels

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2022

    La Cour européenne de justice a décidé hier d’imposer à tous les États membres de l’Union que les « parents » de même sexe et leurs enfants soient reconnus comme une famille dans tous les États membres. Dans une décision historique, la Cour européenne de justice a déclaré que si un pays reconnaît une relation parentale avec un enfant, alors chaque État membre devrait faire de même pour garantir le droit de l’enfant à la libre circulation.

    Cependant il est clair que dans aucun article d’aucun traité européen les institutions bruxelloises ne sont reconnues avoir une compétence même minimale en matière de droit de la famille. Il est également bien établi que chaque État a ses propres lois sur la citoyenneté. Mais qu’importe tout cela à la bien-pensante Union Européenne : le tyran européen veut imposer un nouveau modèle de famille et de progéniture, un point c’est tout, du droit il fait table rase quand cela l’arrange. 

    L’affaire judiciaire  (arrêt dans l’affaire C-490/20 ) est survenue après que les autorités bulgares ont refusé d’accorder un certificat de naissance à la fille nouveau-née d’un duo homosexuel au motif qu’un enfant ne peut pas avoir deux mères. La Bulgare Kalina Ivanova et la Britannique Jane Jones, née à Gibraltar, sont toutes deux enregistrées en Espagne en tant que « mères » de Sara, également née dans la péninsule ibérique en 2019. Aucune des femmes n’est d’origine espagnole, ce qui signifie que la citoyenneté espagnole n’est pas consentie à l’enfant et conformément à la loi sur la nationalité britannique de 1981, Jones ne peut pas transférer la nationalité britannique à sa fille car elle est née à Gibraltar.

    Sur cette base, Ivanova a demandé la nationalité bulgare pour sa fille, qui a ensuite été refusée car les mariages et les unions entre personnes du même sexe ne sont pas légalement reconnus en Bulgarie. En conséquence, Sara est restée apatride, sans accès à la citoyenneté, incapable de quitter le pays de résidence de sa famille, l’Espagne et sans documents personnels, limitant ainsi son accès à l’éducation, aux soins de santé et à la sécurité sociale.

    Eh bien, la Cour de justice a décidé qu’un passeport bulgare doit être délivré à l’enfant et cela s’appliquera à tous les États membres de l’UE qui ne garantissent pas la reconnaissance des enfants des duos Lgbtqi, ni ne reconnaissent pleinement ces « familles » arc-en-ciel. Évidemment, le chef de l’équipe juridique de l’ILGA européenne, le lobby Lgbtqi international très puissant et très financé, Arpi Avetisyan, a déclaré au Washington Post que la sentence apporte « la clarification tant attendue que la paternité/maternité établie dans un État membre de l’UE ne peut être niée par un autre, sous prétexte de protéger l’identité nationale » et s’est réjoui de ce « témoignage réel que l’UE est une union d’égalité et nous avons hâte de voir les familles arc-en-ciel jouir de leur droit à la liberté de mouvement et d’autres droits fondamentaux sur un pied d’égalité avec tout le monde ».

    La sentence ne pourra pas faire l’objet d’un appel, d’autres cas similaires seront portés à l’attention de la justice nationale des différents pays mais, depuis hier, tout gouvernement national est bien conscient qu’avec cette interprétation du droit de libre circulation, même s’il est clairement utilisé de manière instrumentale, dénature tout traité sur les compétences nationales en matière de mariage et de citoyenneté et de fait impose à tous les États l’équivalence pleine et totale entre les unions Lgbtqi et les mariages, la citoyenneté des enfants et, indirectement, la reconnaissance de la GPA (l’État devant « délivrer à cet enfant une carte d’identité ou un passeport sans exiger également un acte de naissance », ni « que les autorités nationales du pays membre dont il est issu dressent au préalable un acte de naissance »).

    L’Agenda Lgbtqi se réalise pas à pas par le biais de l’Union Européenne et des ses institutions. Ainsi la Cour de justice, en se prononçant déjà en faveur de la reconnaissance d’un couple LGBTI en Roumanie pour des raisons de travail en 2018, a décidé de démolir les compétences nationales en matière de mariage et d’imposer sa propre interprétation du droit de libre circulation (Jugement  C ‑673/16  Coman-Hamilton). De son côté, la Commission européenne a déclaré, ces dernières années, que les personnes LGBTI et les dogmes de genre étaient  une priorité absolue (voir les discours d’  Ursula Von der Leyen , Vera Jurova,  Helena Dalli  et Franz Timmerman). Elle a également lancé une  consultation « populaire »  (19 mai-25 août), sur les droits des couples LGBT à une pleine reconnaissance de l’homoparentalité et de leurs enfants (souvent issus de la gestation pour autrui ou de la fécondation hétérologue), malgré les résultats dépassant le ridicule pour la participation (389 personnes ou associations ). Le Parlement européen a promu pareillement de nombreuses initiatives en faveur du monde lgbtqi, de la  déclaration de l’Europe comme zone de liberté Lgbtqi  à celle sur la  reconnaissance  des mariages Lgbtqi dans tous les pays membres.

    La révolution arc-en-ciel a trouvé dans les institutions européennes, -covidistes acharnées ce qui procède aussi de la révolution arc-en-ciel-, un allié de poids. Et ainsi, Sara, l’enfant sans citoyenneté véritable par le libre choix des deux lesbiennes qui se déclarent « ses mères » pourra voyager dans toute l’Europe alors qu’au même moment de simples et honnêtes citoyens européens n’ont plus le droit de la libre circulation, -droit qui leur est enlevé avec l’assentiment de l’Union Européenne-, uniquement parce qu’ils ont fait le choix libre et éclairé de refuser des injections expérimentales covid-19 censées lutter contre une maladie qui a un taux de létalité de -1%…

    L’Union Européenne, c’est un voyage en Absurdie !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’islamophilie de Facebook : il tolère les talibans mais censure une association caritative catholique

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2022

    La Catholic News Agency, basée à Washington, rapporte que le réseau social de Mark  Zuckerberg a censuré une association caritative catholique.

    L’association britannique Aid to the Church in Need UK, (Aide à l’Eglise en détresse) basée à Londres, a lancé sa campagne avec une série de publicités sur Facebook début novembre. L’effort de l’organisation a eu lieu en conjonction avec la publication de son nouveau rapport, intitulé Hear Her Cries, (Ecoutez leurs pleurs) qui détaille les abus endémiques et largement ignorés des femmes et des filles chrétiennes ou membres d’autres groupes religieux minoritaires aux mains d’extrémistes islamiques, au Nigeria, au Mozambique, en Irak, en Syrie, en Égypte et au Pakistan.

    Cet organisme de bienfaisance catholique « a déclaré, relate Catholic News Agency, qu’il avait été censuré et dé-référencé par Facebook sans explication à la suite de la récente campagne de pétitions du groupe appelant à redoubler d’efforts pour mettre fin aux enlèvements, à la conversion forcée et au mariage de femmes et de filles chrétiennes dans les pays islamiques. En une semaine, le 10 novembre, Facebook a informé l’association caritative que le géant des médias sociaux réduisait fortement le nombre d’annonces que le groupe pouvait publier ».

    Facebook ne donnait pas de raison spécifique mais indiquait dans son avis :

    « Ceci est dû au fait que trop d’annonces ont été cachées ou signalées pour les comptes associés à cette entreprise. Les gens cachent et signalent les publicités parce qu’ils les trouvent offensantes, trompeuses, sexuellement inappropriées, violentes, portant sur un sujet sensible ou pour d’autres raisons. »

    Aid to the Church in Need UK affirme avoir également perdu l’accès à la plate-forme de messagerie instantanée WhatsApp et à Instagram, tous deux détenus par Facebook.

    L’association souligne avoir tenté sans succès, depuis que les restrictions ont été imposées, d’obtenir une explication de Facebook, qui a répondu via un email d’Alex de « Assistance Conciergerie Facebook » :

    « Nous comprenons parfaitement l’urgence de cette question et à quel point cela est important pour vous, mais de telles situations nécessitent une enquête détaillée et une solution, et compte tenu des circonstances, nous ne pouvons pas offrir de délai. »

    Toujours dans l’article de Catholic News Agency, on peut lire que « John Pontifex, responsable de la presse et de l’information de l’association caritative, a déclaré à l’AIIC que l’action de Facebook avait effectivement « tué » la campagne de pétition du groupe, qui a finalement recueilli 3 210 signatures. Ce total était d’environ un quart de ce que l’organisme de bienfaisance avait prévu, sur la base des résultats d’une campagne de pétitions précédente, a-t-il déclaré. Pontifex a remis les pétitions le 15 décembre à Fiona Bruce, une députée qui est l’envoyée spéciale du Premier ministre Boris Johnson pour la liberté religieuse ».

    Dans un communiqué, Neville Kyrke-Smith, directeur national d’Aid to the Church in Need UK, a fustigé Facebook pour ses actions :

    « Nous sommes horrifiés que notre campagne qui vise à aider les femmes souffrantes ait été censurée de manière aussi draconienne. En prétendant avoir interdit notre publicité pour violation de ses directives, mais en refusant de dire quelles directives ou comment, Facebook s’est fait juge, jury et bourreau. »

    Kyrke-Smith a poursuivi en accusant Facebook d’aider et encourager les abus que l’organisme de bienfaisance tente d’arrêter :

    « En mettant un terme à cette campagne, ils font taire ces femmes à deux reprises. Elles sont réduites au silence lorsqu’elles sont arrêtées à leur domicile et contraintes de vivre avec leurs ravisseurs, et sont maintenant à nouveau réduites au silence par Facebook. »

    Laura Bramon Hassan, directrice exécutive du projet Philomena qui se penche sur le problème de la traite des êtres humains et du mariage des enfants a qualifié les actions de Facebook envers l’Aide à l’Église en Détresse de « troublantes » :

    « Malheureusement, la violence à l’égard des femmes est une violation des droits humains qui transcende les divisions culturelles, ethniques et religieuses. Le travail de l’Aide à l’Église en détresse pour mettre fin à la violence sexuelle à l’égard des femmes unifie et amplifie les voix des groupes religieux minoritaires, hindous, yézidis et des communautés chrétiennes. La décision de Facebook UK d’attaquer cette coalition pour avoir mis en lumière le sort d’un groupe est déroutante et troublante. »

    Après l’indulgence complice vis-à-vis des Talibans, le réseau social se converti en fanatique intolérant à l’encontre de catholiques qui luttent contre des pratiques esclavagistes et violentes des islamistes.  Le bien-pensant Facebook, gardien auto-proclamé de la conscience morale universelle politiquement correcte, fait preuve à nouveau d’une islamophilie consciente et d’un antichristianisme primaire.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Inimaginable : un communiste favorable à l’expulsion d’un étranger en situation irrégulière

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2022

    Ce n’est pas un rêve : Fabien Roussel, patron des communistes français, s’est dit favorable à l’expulsion d’un étranger en situation irrégulière au micro de Elisabeth Martichoux.

    Bon ne rêvons pas, Roussel n’est pas pour l’expulsion des clandestins en France. C’est même plutôt un cauchemar ce qu’il propose : Roussel parle en réalité du seul étranger dangereux à l’heure actuelle, devenu presque un ennemi public numéro 1, en situation irrégulière : Novak Djokovic, le non-vacciné qui doit disputer l’Open d’Australie « ne respecte pas les règles [covidiennes, ndlr], il doit être expulsé » d’Australie.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1479006621384822784

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1479013251350515712

     

    On risque d’attendre longtemps les mêmes propos de la part de Roussel lorsqu’un terroriste, un clandestin ou tout autre personne étrangère violera les lois en France. Roussel tient des propos sur les noms vaccinés qu’il ne tolérerait pour aucune minorité ethnique religieuse sexuelle.

    Mais le petit Roussel n’est crédité que de 2% à la prochaine élection présidentielle. Il espère peut-être, avec cette attitude de matamore contre Novak, grappiller quelques voix parmi les « boomers » soixante-huitard fans de Macron…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info