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  • En Chine, la loi punit les parents d’enfants mal éduqués

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    Vidéo

    En Chine, il vaut mieux bien s’occuper de sa progéniture ! Le pays fait la chasse aux “mauvais parents”, qui sont désormais sanctionnés par la loi en cas de comportement inapproprié de leurs enfants.

    Depuis le premier janvier 2022, c’est le Parti communiste chinois qui montre la voie en matière d’éducation familiale. Et quand les parents n’élèvent pas correctement leurs enfants, ce sont eux qu’il remet dans le droit chemin. La panoplie des sanctions prévue par la loi est assez dissuasive : les parents dont les enfants font des (grosses) bêtises doivent suivre des stages de “rééducation”. Ils risquent au minimum une amende de 135 euros, au maximum cinq jours de prison.

    www.francetvinfo.fr via fdesouche

  • Fréjus : il se présente à la gendarmerie avec la tête et le pénis de l’homme qu’il vient de tuer

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    Ce vendredi matin, le mis en cause de 38 ans s’est présenté à la gendarmerie de Fréjus «après avoir tranché la tête et le pénis d’un homme».

    Un homme affirmant avoir tué un homme s’est présenté vendredi 7 janvier à la gendarmerie de Fréjus (Var), avec un sac contenant la tête d’un homme et un pénis, a indiqué le groupement de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur.

    (…)

    La police judiciaire de Toulon, chargée de l’enquête, a indiqué à l’AFP que le mis en cause de 38 ans s’était présenté à la gendarmerie de Fréjus vendredi matin. «Il exhibait une tête humaine, donc il a été aussitôt amené au commissariat de police et placé en garde à vue». L’homme était connu de la police jusqu’ici pour «des petites affaires». Vendredi soir, les enquêteurs procédaient à des «constatations techniques sur la scène de crime présumée», au domicile du mis en cause. Le parquet de Draguignan, qui a ouvert une enquête, doit communiquer dans la soirée sur cette affaire.

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • La Pologne va adopter un plan pour relancer sa natalité, “basé sur des mesures pro-famille, et non pas sur l’immigration”, annonce le gouvernement

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    La Pologne va lancer un plan pour relancer sa natalité, “fondé sur une politique pro-famille et pas sur l’immigration”.

    Le gouvernement polonais prépare une nouvelle stratégie démographique destinée à lutter contre l’un des taux de fécondité les plus bas d’Europe. Le programme sera basé sur le “soutien aux familles” et “non sur la migration”, selon la ministre du travail, des familles et de la politique sociale, Marlena Maląg.

    S’adressant à Polsat News, la ministre a déclaré que le plan serait “bientôt adopté” par le gouvernement. Bien que tous les détails n’aient pas été divulgués, le plan comprendra des mesures visant à aider les parents à concilier travail et vie de famille, ainsi que des incitations en matière de logement, de soins et de financement.

    L’objectif serait d’aider la Pologne à “échapper au piège de la faible fécondité” en augmentant le taux de natalité à un niveau permettant de le renouvellement des générations, a déclaré Mme Maląg. Elle a cité des recherches montrant que 95 % des jeunes Polonais aimeraient fonder une famille, mais a fait remarquer que cela nécessite un emploi et un logement stable.

    La nouvelle stratégie sera donc “fondée principalement sur la création d’une politique systémique et globale en faveur de la famille, et non sur les migrants”, a déclaré la ministre.

    La Pologne étant confrontée à un déficit démographique croissant – sa population devrait passer sous la barre des 34 millions d’habitants (contre environ 38 millions actuellement) d’ici 2050 – le pays a attiré un grand nombre de migrants venant d’Ukraine, pour combler le déficit de main-d’œuvre qui en résulte.

    Depuis son arrivée au pouvoir en 2015, la coalition nationale-conservatrice au pouvoir a mis en œuvre un certain nombre de politiques “pro-famille”, notamment son programme phare d’allocations familiales “500 Plus”. Cependant, ces dispositifs, bien que populaires, n’ont jusqu’à présent pas réussi à atteindre leur objectif de stimuler le taux de natalité.

    Notes from Poland via fdesouche

  • Philippe Martin (PS), ex-ministre de l’Ecologie sous François Hollande, quitte la présidence du département du Gers après sa condamnation pour détournement de fonds publics

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    L’ancien ministre de l’Ecologie a quitté la présidence du conseil départemental du Gers, après avoir été condamné mardi à deux ans de prison avec sursis pour détournement de fonds publics. également déclaré inéligible pour trois ans, Philippe Martin a présenté sa démission dès mardi soir, selon la même source, mais elle n’avait pas été rendue publique.

    Philippe Martin fait part de sa “tristesse” de “devoir quitter cette présidence dans des circonstances particulières qui laissent un goût amer, et sur lesquelles (il) ne souhaite pas revenir”. Il exprime aussi sa “fierté” des “projets” engagés dans ce département

    Philippe Martin a été condamné à Paris pour avoir rémunéré son ex-épouse pour un emploi fictif d’assistante parlementaire entre 2002 et 2013.

    Solidairement avec son ex-femme Joëlle Martin, condamnée à six mois de sursis probatoire pour complicité et recel de détournements de fonds publics, il devra rembourser les 238.000 euros qu’elle avait perçus à l’Assemblée nationale, partie civile. Tous deux, déclarés inéligibles pour trois ans, devront en outre payer respectivement 70.000 et 30.000 euros d’amende.

    Philippe Martin, 68 ans, devra également rembourser 194.000 euros à l’Assemblée nationale pour avoir rémunéré, avec l’argent du Palais Bourbon, une femme qui travaillait pour le Parti socialiste à Auch entre 2005 et 2012. “Je suis d’accord pour reconnaître les faits et accepter les peines proposées”, avait déclaré Philippe Martin, ministre de juillet 2013 à mars 2014 et ancien président de l’Agence française pour la biodiversité.

    Paris Match via fdesouche

  • Le traitement gouvernemental de la crise sanitaire donne les outils pour régler la crise migratoire

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    Les conséquences d’un acte ne sont pas toujours mesurables. On sait, depuis Edward Lorenz, que le battement d’aile d’un papillon au Brésil peut provoquer un cyclone au Texas. Suivant le même principe, la gestion de la crise du Covid par le gouvernement et l’adoption du passe vaccinal, ce 6 janvier, pourraient provoquer une révolution politique que nul n’a vu venir, et certainement pas ses instigateurs. Par effet rebond, les décisions des autorités politiques dépassent largement la gestion d’une crise sanitaire passagère. Elles ouvrent un boulevard technique, juridique et moral au règlement de la crise migratoire en France.

    Si l’on écarte les idiots utiles du capitalisme mondialisé qui se croient de gauche en plaidant pour des frontières ouvertes, le centre et la droite mainstream ont justifié tous leurs renoncements sur la question migratoire au nom du réalisme. Dans un monde ouvert et interconnecté, il n’était tout simplement pas possible de contrôler les frontières, de subordonner les droits aux devoirs et de les ajuster à la situation de chacun. Les Français l’acceptaient, par fatalisme ou par inhibition, tout en jugeant à 78 % que l’immigration était subie et à 86 % que l’insécurité les préoccupait et pèserait sur leurs choix électoraux.

    Le Président Macron a prouvé l’inverse, à son corps défendant. En montrant qu’il était possible et justifié de priver de leurs droits les citoyens rebelles à un acte médical forcé, il a bouleversé l’inconscient collectif. La liberté de circulation donnée de fait aux clandestins sera plus difficile à faire accepter à des électeurs qui ont vu toutes les frontières se fermer à eux pendant deux ans. Certains d’entre eux ont perdu jusqu’au droit de se déplacer dans leur propre pays ni « aller au restau », « prendre un canon », « boire un café », « aller au théâtre, au ciné », selon l’énumération du Président, et les autres ne peuvent le faire qu’à condition d’être en règle (quoi qu’on pense de ces règles) et de se plier à des contrôles tatillons.

    Puisque les non-vaccinés sont coupables d’occuper les lits de réanimation, que penser de certaines catégories de populations qui occupent les lits de prison aux frais du contribuable après l’avoir volé ou molesté ou pire ?

    Après avoir été encadrés, contrôlés et comme jamais, au cours de leur histoire contemporaine, il est probable que les Français ne supporteront plus que très difficilement que certains occupants de leur pays ne se plient pas aux règles communes. Sous quel prétexte refuser la préférence nationale après avoir instauré la préférence vaccinale ? Comment prétendre, désormais, ne pas pouvoir contrôler des frontières que l’on a entièrement fermées à plusieurs reprises ? Le Président Macron a rendu techniquement possible et psychologiquement acceptable le programme de la droite nationale. Le diable porte pierre, dit l’adage populaire. Le temps de l’inhibition est passé.

    Raphaël Debailiac

    Source : http://bvoltaire.fr