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  • Ukraine : les nationalistes ukrainiens empêchent l’évacuation des civils et des étrangers

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2022

    Auteur : 

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    Ce 5 mars à plusieurs endroits du front, les opérations militaires ont été stoppées par l’armée russe et celles des républiques du Donbass, pour permettre l’évacuation des civils par les couloirs humanitaires sur lesquels s’est aussi accordé le gouvernement de Kiev. C’était sans compter avec les ultra-nationalistes qui ont empêché ces évacuations partout sauf à Irpen au nord-ouest de Kiev, notamment en faisant sauter un immeuble d’habitation à Marioupol, où 200 civils étaient ce matin sous les décombres.

    Officiellement, l’évacuation a été suspendue « pour non-respect des conditions du cessez-le-feu« , ou plutôt reportée au 6 mars, mais en réalité, les autorités ukrainiennes ne peuvent contrôler sur le terrain ni les groupes ultra-nationalistes, ni ce que les belligérants appellent le « volksturm », à savoir les civils auxquels des fusils d’assaut et des roquettes ont été distribués, et qui s’en servent principalement pour commettre des pillages, notamment à Kiev, Kharkov, Rovno, Vinnitsa, Zhitomir et d’autres villes.

    L’évacuation des civils a pu avoir lieu, à pied à travers un pont pétardé par l’armée ukrainienne à Irpen’, au nord-ouest de Kiev, tandis que des blindés russes entraient dans la ville par un autre axe. A Marioupol, seuls 17 civils ont pu quitter la ville – un de leur véhicules a été ciblé par des ultra-nationalistes ukrainiens. A Kharkov, l’évacuation a été suspendue.

    Par ailleurs, selon les autorités russes, ils empêchent les étudiants étrangers de quitter Kharkov, notamment 1500 indiens, 200 jordaniens, 40 egyptiens, 15 vietnamiens. A Sumy 576 indiens, 159 tanzaniens, 121 chinois, 100 ghanéens, 60 égyptiens, 45 jordaniens, 16 pakistanais, 15 tunisiens et 14 zambiens – principalement des étudiants – seraient eux aussi empêchés de quitter la ville.

     

    Source : medias-presse.info

  • Toulouse : depuis 20 ans, des clandestins algériens se donnent rendez-vous chaque jour sur la place Arnaud-Bernard pour s’adonner au trafic de drogue. “On m’a dit que c’était un quartier arabe”

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2022

    Depuis des décennies des dizaines de clandestins Algériens se donnent rendez-vous chaque jour sur la place Arnaud-Bernard. Au fil des ans, leur nombre a diminué.

    « Je ne te mens pas, en ce moment j’ai des problèmes » raconte en arabe un Algérien au téléphone à Arnaud-Bernard. Cette phrase est révélatrice du quotidien des dizaines de clandestins – originaires pour la plupart de Mostaganem – qui passent leur journée contre les murs de la place, espérant gratter quelques pièces avec le trafic de cigarettes et de cannabis la journée. La nuit, ils rejoignent les squats où ils dorment.

    Ce manège dure depuis plus de 20 ans dans cet endroit, réputé terre d’accueil des immigrés algériens. Moustache* a travaillé dans « tous les commerces » de la place. Il a également habité dans le quartier pendant plusieurs années. Le Toulousain assure qu’à Arnaud-Bernard « les immigrés ont toujours trouvé leur place ».

    M. est arrivé en France il y a 14ans. Sans repère, il s’est rapidement retrouvé à fréquenter la place. «On m’a dit “c’est un quartier arabe”. J’ai pris mes habitudes», confie l’originaire d’Oran.

    (…) La mairie de Toulouse veut offrir un lifting à la place. Travaux, nouveaux commerces… Arnaud Bernard change progressivement de visage et de population. Un commerçant présent depuis les années 2000 témoigne : « On sent la métamorphose. Il y a moins de deals qu’il a quelques années. » Dans les locaux du Secours Catholique, le même constat est dressé. Andrew Nguyen The Hien, le coordinateur du pôle errance, confie qu’avec la présence policière « de moins en moins d’immigrés traînent sur la place ».

    (…) Les clandestins de Mostaganem se dispersent progressivement aux quatre coins de la ville.

    La Dépêche via fdesouche

  • Difficultés à s’entendre avec Airbus sur le programme d’avion de combat européen SCAF, préférence des états européens pour le matériel de guerre américain : Quand le patron de Dassault Aviation dézingue les travers de l’Europe de la Défense

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2022

    Quand Eric Trappier, patron de Dassault Aviation, dézingue les travers de l’Europe de la Défense

    Difficultés à s’entendre avec Airbus sur le programme d’avion de combat européen SCAF, préférence des états européens pour le matériel de guerre américain, taxonomie qui pénalise les industriels de l’armement européens… Le patron de Dassault Aviation souligne les difficultés à faire émerger une véritable Europe de la Défense sur le plan industriel.

    www.usinenouvelle.com via fdesouche

  • La police française lance une vaste campagne de recrutement de réservistes dans l’objectif des JO-2024 à Paris et pour renforcer le lien avec la population, notamment les jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2022

    La police lance une vaste campagne de recrutement de réservistes pour renforcer sa présence sur le terrain. Formés à l’usage des armes, ces civils auront des missions concrètes. Il faut avoir au moins 18 ans et un casier judiciaire vierge.

    Avec 6 700 effectifs, dont une large majorité de policiers retraités, la réserve de la police nationale est historiquement en retard sur celle de la gendarmerie, forte de près de 40 000 membres. «L’objectif est de tendre vers les 30 000, dont 70 % de citoyens», explique le commissaire général Frédéric Laissy, chef du service d’information et de communication de la police (Sicop).

    Avec une double ambition : renforcer les services sur le terrain, notamment dans la perspective des JO-2024 à Paris, et améliorer le lien avec la population, dont une partie, notamment les jeunes, a pu exprimer de la défiance à l’égard de la police ces dernières années.  […]

    Les futurs réservistes recevront une formation initiale de quatre semaines, au sein de compagnies de CRS, durant lesquelles ils apprendront le tir et les techniques d’intervention et d’interpellation. A  l’issue, ils pourront effectuer des patrouilles de police secours sur la voie publique, faire de la surveillance aux frontières et dans les zones aéroportuaires ou réaliser des contrôles routiers (alcoolémie, vitesse) au sein d’une CRS autoroutière. Ils ne pourront pas en revanche intégrer une BAC, un service de PJ ou faire du maintien de l’ordre.

    Ils porteront lehttps://www.fdesouche.com/2022/03/06/la-police-francaise-lance-une-vaste-campagne-de-recrutement-de-reservistes-dans-lobjectif-des-jo-2024-a-paris-et-pour-renforcer-le-lien-avec-la-population-notamment-les-jeunes/ « même uniforme » que les policiers avec un gilet pare-balles personnel, mais devront rendre leur arme après chaque mission. Chaque vacation – 90 jours maximum par an – sera rémunérée environ 80 euros.

    Ouest-France via fdesouche

  • Aube: ce réfugié s’introduisait dans des presbytères pour voler l’argent de la quête

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2022

    Un père de huit enfants a été condamné pour s’être introduit dans des presbytères et avoir volé de l’argent liquide, principalement pour payer sa consommation d’héroïne.

    Dix euros par ci, 200 € par là, chou blanc parfois… Ismet Cuna, 37 ans, a été condamné par le tribunal judiciaire de Troyes à dix-sept mois de prison dont six avec sursis probatoire, la peine requise par le parquet, rapportent nos confrères de L’Est éclair. Réfugié du Kosovo, ce père de huit enfants s’était introduit à plusieurs reprises dans des presbytères pour dérober du numéraire, l’argent de la quête ou des effets personnels des prêtres.

    Les presbytères de Châteauvillain (Haute-Marne), Auxon, Bar-sur-Aube, Bouilly, Mesnil-Saint-Loup (Aube) et la maison des Amis de la communauté du Sacré-Cœur de Saint-Parres-lès-Vaudes ont été visés entre les mois d’août 2021 et janvier 2022. « Les villages, je ne m’en souviens pas, mais on m’a montré les photos (de la vidéosurveillance), et c’était bien moi », a admis le prévenu à l’audience.

    abonne.lunion.fr via fdesouche