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ukraine - Page 27

  • La Russie veut-elle vraiment envahir l’Ukraine ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    Le Monde n’est pas en reste et évoque des mouvements de troupes « inhabituels ». La source est la même : les dirigeants américains, dès la fin octobre, par le truchement du très objectif Washington Post, devenu l’organe de l’administration Biden. Et le Pentagone prévient : « Toute escalade ou mesure agressive serait source de grande inquiétude pour les États-Unis. » Attention, le gendarme du monde fait savoir que l’Ukraine est maintenant sous sa protection. Docilement, les Européens, France et Allemagne en tête, ont relayé la propagande américaine et demandé aux Russes des explications.

    Il y a parfois des couacs distrayants dans cette orchestration censée pourtant être parfaitement rodée. Ainsi, le ministre de la Défense ukrainien, peu suspect de russophilie aiguë, a déclaré qu’« aucun déploiement d’unités, d’armes et d’équipements militaires russes vers la frontière de l’Ukraine n’a été observé ». Si le menacé ne se sent pas menacé, où va-t-on ?

    Mais rassurez-vous, tout s’est arrangé. Le 10 novembre, en visite à Washington, le ministre des Affaires étrangères ukrainien contredit son collègue de la Défense et affirme que « l’agressivité de la Russie s’est considérablement renforcée ces dernières semaines ». Il ajoute qu’il a obtenu des Américains de « nouveaux éléments » mais qu’il ne peut pas en dire plus car tout cela est secret. Vexé, le ministère de la Défense maintient son analyse. Il faudra envoyer ce ministre à Washington pour lui rappeler les bonnes manières.

    Au-delà de cette pathétique désinformation, que cherchent les uns et les autres ? Le conflit dure depuis maintenant sept ans et l’Ukraine n’a pas renoncé à reconquérir les provinces séparatistes de l’est, tandis que la Russie, ulcérée par le coup d’État pro-américain de 2013-2014, n’abandonnera pas les séparatistes russophones.

    La situation est, en réalité, plutôt stationnaire côté russe et les soldats de Poutine prétendument « massés aux frontières » occupent les bases militaires existantes depuis l’indépendance de l’Ukraine. Des manœuvres y sont régulièrement organisées, revêtant un caractère plus ou moins offensif selon la pression que veut mettre la Russie sur l’Occident. Côté ukrainien, il y a eu du neuf avec l’acquisition de drones turcs dont l’un a déjà été utilisé contre les séparatistes. Mais cela ne signifie pas, pour autant, qu’une offensive se prépare.

    Les Américains sont eux aussi sur la même ligne : désinformer pour faire croire à une menace russe plus forte. Deux avantages à cela : empêcher toute remise en cause des sanctions internationales contre la Russie et renforcer son implantation en Ukraine. Tous les acteurs jouent leur partition, même l’Europe qui, comme d’habitude, ne sert à rien.

     

    Source : bvoltaire

  • URGENT : La Russie avertit qu’une action militaire en Ukraine est hautement probable

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2021

     

    S’adressant aux journalistes jeudi, le secrétaire de presse du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré que « la probabilité d’hostilités en Ukraine est élevée », lorsqu’il a été interrogé sur la probabilité d’une guerre dans l’est du pays.

    « C’est un sujet de préoccupation et d’inquiétude particulier pour nous », a-t-il ajouté.

    Les remarques de M. Peskov interviennent un jour après que la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a affirmé que Kiev renforçait considérablement sa force militaire dans la région en y envoyant des équipements et du personnel lourds.

    « Selon certains rapports, le nombre de troupes… dans la zone de conflit atteint déjà 125 000 personnes », a déclaré Maria Zakharova mercredi.

    « Cela, si quelqu’un ne le sait pas, représente la moitié de la composition totale des forces armées de l’Ukraine », a-t-elle ajouté.

    Les tensions à la frontière russo-ukrainienne se sont accrues ces dernières semaines. S’exprimant le même jour au Forum sur la sécurité de Kiev, la sous-secrétaire d’État américaine aux affaires politiques, Victoria Nuland, a mis en garde la Russie contre toute initiative visant à « déstabiliser l’Ukraine de l’intérieur ou à utiliser ces forces pour entrer dans le pays ».

    Si les militaires russes agissent de la sorte, a-t-elle insisté, Moscou « sera confronté à des mesures économiques à fort impact, comme celles que nous n’avons jamais utilisées auparavant, de la part de l’ensemble de [l’OTAN] », a-t-elle insisté.

    Le Kremlin, cependant, a toujours rejeté les affirmations du bloc militaire dirigé par les États-Unis et les rapports des médias occidentaux selon lesquels Moscou rassemblerait ses forces militaires le long de la frontière avec l’Ukraine, qualifiant ces affirmations d' »hystérie ».

  • Tandis que Paris regarde à distance la chasse aux Arméniens, Ankara se rapproche déjà des Ukrainiens.

    Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2020

    Après son coup de force azerbaïdjanais contre les Arméniens, la  continue de poursuivre son projet néo-ottoman. En Méditerranée, elle étend sa « patrie bleue », ses troupes sont stationnées en Syrie et patrouillent en Libye. Ankara n’hésite pas à menacer la Grèce et Chypre, dont elle occupe le nord illégalement, et la Marine turque a même « illuminé » un navire de la marine française sans que Paris ne riposte.

    La Turquie ne cessera d’avancer tant que personne ne lui montrera la limite, comme le fit Poutine en Syrie. Tandis que Paris brasse de l’air sans agir pour les Arméniens de l’Artsakh, Ankara a déjà un train d’avance et fixe son regard sur l’Ukraine. Les 16 et 17 octobre derniers, les présidents Zelensky et Erdoğan scellaient une nouvelle coopération économique et militaire majeure. Une cinquantaine de projets de défense sont actuellement en cours. Kiev s’équipe en drones Bayraktar TB2, les mêmes qui ont été utilisés récemment contre les Arméniens. Le géant turc de la défense ASELSAN poursuit ses investissements en Ukraine tandis que Kiev lorgne vers Ankara pour s’approvisionner en corvettes de classe MILGEM. La liste des domaines de coopération est longue. La Turquie ne va pas islamiser l’Ukraine, même si des islamistes se sont battus avec l’armée ukrainienne contre les républiques du Donbass, mais Ankara est heureuse de bâtir une alliance avec Kiev pour freiner l’influence russe dans la région. L’OTAN voit cela d’un très bon œil.

    L’Ukraine a été abandonnée par Bruxelles qui lui avait promis monts et merveilles si elle quittait son frère russe. Aujourd’hui, l’Ukraine paye comptant sa cupidité. Elle est un des pays les plus pauvres d’Europe, elle est déchirée par une guerre civile et son économie est au bord de la banqueroute. Elle est prête à s’allier au diable pour s’en sortir.

    La France, elle, ne fait rien pour aider la région. Elle essaye juste de vendre des armes mais fait pâle figure par rapport à Ankara. Elle en a vendu par l’intermédiaire de l’homme d’affaires Georges Tsnobiladze (qui collabore en même temps avec des sociétés russes, ce qui pourrait le mettre sur la liste des sanctions de Moscou) mais n’a aucun partenariat stratégique avec Kiev. Elle ferme les yeux sur les trafics d’armes ukrainiens en Libye malgré l’embargo, mais est-ce vraiment cela, la solidarité européenne ?

    La Turquie, elle, bombe le torse devant une  pusillanime. On peut critiquer la ligne d’Erdoğan et sa stratégie néo-ottomane, mais la réalité est qu’il prend la place qu’on lui laisse. La France a une guerre de retard car elle refuse de se projeter comme une puissance souveraine et indépendante et abandonne ses alliés historiques. Castrées par l’OTAN et bridées par Bruxelles, la France et l’Europe occidentale assistent à l’avancée turque et à la recomposition de l’Europe sans réagir. Cela n’est pas la faute de la Turquie, c’est la nôtre.

     

    Nikola Mirkovic

    Responsable d’une association humanitaire
  • Ukraine : un incendie près de Tchernobyl provoque une hausse de la radioactivité

    Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2020
     
    Par  le 06/04/2020
     

    Le niveau de radioactivité est 16 fois supérieur à la normale. En raison d’un feu de forêt qui s’est déclaré samedi 4 avril, l’Ukraine a signalé ce dimanche une forte hausse de la radioactivité dans la zone d’exclusion entourant la centrale de Tchernobyl, théâtre en 1986 du pire accident nucléaire de l’histoire.

    […]

    Les services d’urgence avaient dans un premier temps assuré dimanche qu’il n’y avait pas de hausse de la radioactivité après avoir pourtant fait état samedi de « difficultés » dans leurs efforts en vue de venir à bout du sinistre en raison d’une augmentation de celle-ci dans certains endroits. Les autorités ont cependant affirmé que les localités avoisinantes n’étaient pas en danger.

    […]

    RTL via fdesouche

  • En Ukraine, les élus sont jetés à la poubelle quand leurs électeurs n’en sont pas contents [VIDEO]

     

    Pour la culture générale et sans aucune incitation, bien sûr !

    En Ukraine, la foule n’y va pas par 4 chemins, elle jette les hommes politiques dans les poubelles… L’orgueil et la fierté en prennent un coup !

    Et ce n’est que justice !

    Pas de tri sélectif, tous y passent ! C’est presque « bon enfant »……

    Je ne sais pas qui ils sont, de droite, de gauche, du centre, de devant, de derrière, de dessous, de dessus ou d’ailleurs mais quand les politiques oublient qu’ils sont là pour structurer un territoire pour tous les habitants, ils méritent le chômage voire le licenciement sans indemnité pour faute grave.

    Ils comprendraient peut être comment on devient Gilet Jaune…


     

    Ps : ces vidéos datent de 5 ans .

     

    Source : lesmoutonsrebelles