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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1024

  • Dément ! L’UE veut s’endetter pour aider l’Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 15 mai 2022

     

    L'Union européenne contracterait des prêts pour soutenir l'Ukraine

    10.05.2022

    La Commission européenne étudie actuellement la possibilité d'une émission obligataire commune aux 27 pays pour couvrir le déficit ukrainien de 15 milliards d'euros, selon deux responsables européens. Cela aurait lieu dans les trois prochains mois, rapporte Index.

    En cas d'accord, les responsables affirment que le nouvel emprunt commun de l'UE pourrait être basé sur le système SURE de l'UE, qui a été utilisé pour financer les allocations de chômage pendant la pandémie de Covid-19.

    Cela signifierait que l'Ukraine obtiendrait de l'UE un prêt très bon marché et que ce seraient les gouvernements de l'UE qui fourniraient les garanties quant au remboursement.

    Ce pourrait être un modèle que nous envisageons, mais rien n'est encore décidé, a déclaré un haut fonctionnaire européen à Reuters. Il a ajouté que l'idée serait discutée lors d'une réunion des ministres des finances à Bonn du 18 au 20 mai.

    L'UE s'attend à ce que les États-Unis se joignent à la proposition et fournissent également environ 5 milliards d'euros. L'UE devrait donc mobiliser environ 10 milliards d'euros d'emprunts communs.

    Plus de détails

    La Commission discute d'une aide macrofinancière supplémentaire, mais souhaite que les États membres fournissent des garanties au cas où le pays déchiré par la guerre ne parviendrait pas à rembourser ses prêts, rapporte Bloomberg. Selon le quotidien financier, il est rapporté que

    l'UE pourrait contribuer à hauteur de 9 milliards de dollars aux besoins financiers de l'Ukraine au cours des trois prochains mois,

    tandis que les États-Unis pourraient fournir jusqu'à 5 milliards de dollars, a déclaré le responsable. Des négociations sont également en cours, mais Bloomberg indique que le capital requis de 15 millions de dollars est également à verser en dollars.

    L'une des modèles possibles, ajoutent les sources, serait de puiser dans les fonds inutilisés de la Banque européenne d'investissement. Les dirigeants européens devraient discuter de la question à Bruxelles les 30 et 31 mai.

    Source : Vadhajtások via lesobservateurs

  • Yzeron (69) : un homme en djellaba, armé d’un couteau et d’une barre de fer, agresse deux personnes, les gendarmes ouvrent le feu

    Publié par Guy Jovelin le 15 mai 2022

    Un homme, vêtu d’une djellaba, armé d’un couteau et d’une barre de fer a agressé plusieurs personnes ce samedi matin, à Yzeron (990 hab), une commune de l’ouest de Lyon (Rhône). A leur arrivée, les forces de l’ordre tentent de l’arrêter mais il refuse de se laisser faire. Sommations, pistolet à impulsion électrique… rien n’y fait. Les gendarmes ont alors tiré sur l’individu.

    Un automobiliste emprunte la route de la Bourchourie, route dite de « la coursière » reliant Yzeron et Vaugneray. C’est là qu’un homme armé d’un couteau et d’une barre de fer l’agresse en tapant sur sa voiture. Il parvient à poursuivre sa route et appelle la gendarmerie. D’après les informations du Progrès, l’homme aurait eu le temps d’agresser une deuxième personne mais il n’y aurait pas de blessé à déplorer. […]

    Les gendarmes décident alors d’ouvrir le feu. Les sapeurs-pompiers de Saint-Martin-en-haut, rapidement sur place, procèdent à une réanimation du blessé avant son évacuation par l’hélicoptère du Samu vers Lyon Sud.

    Un périmètre de sécurité a été mis en place et les gendarmes étaient toujours là dans la matinée, notamment pour rassurer les promeneurs, très inquiets de cette agitation. Une enquête est en cours pour tentative d’assassinat et usage d’armes.

    Le Progrès 1 ; 2 via fdesouche

  • C’était un 15 mai…

    Publié par Guy Jovelin le 15 mai 2022

    1958 : Dissolution, par décret, en se fondant sur le décret-loi de 1936, de la Phalange française, du Front d’action nationale, de Jeune nation et du Parti patriote révolutionnaire.

    • 1960 : scission du syndicat étudiant UNEF, à la suite d’une motion pro-FLN.
    Création de la Fédération des étudiants nationalistes (regroupant nombre des jeunes de l’organisation « Jeune nation » dissoute deux ans auparavant). Son texte fondateur, publié l’été suivant, Le Manifeste de la classe 60 (rédigé notamment par Dominique Venner, mais aussi par un François d’Orvical), fait écho à la célèbre Lettre à un soldat de la classe 60 de Robert Brasillach.

    La FEN se propose comme « l’école d’une élite révolutionnaire ayant vocation à prendre en mains l’avenir du pays, porteuse d’une éthique supérieure animée par une philosophie proprement nationaliste et une opposition intransigeante à toutes les formes d’égalitarisme, que ce soit la démocratie bourgeoise ou le marxisme. »

    Elle se préoccupe particulièrement de formation tant doctrinale que physique. D’un côté, elle organise l’été des camps-écoles au caractère ouvertement paramilitaire ; de l’autre, elle a publié de 1962 à 1967 une petite revue d’une remarquable tenue, les Cahiers universitaires, dont le tirage aurait dépassé les 10 000 exemplaires, et attire de jeunes intellectuels qui ne se feront pas oublier par la suite (Alain de Benoist, Guy Conrad, François Duprat, Jean-Claude Jacquard, Jean-Claude Valla, Pierre Vial).
    Patrick Devedjian, Gérard Longuet, Alain Madelin, Alain Robert en seront membres avant d’être exclus en 1964 et de créer le mouvement rival Occident.
    La FEN sera proche d’Europe-Action (qui se transformera en Mouvement nationaliste du progrès) et la plupart des futurs cadres du courant hasardeux de la « Nouvelle Droite » en seront issus.
    Vers 66-67 elle s’effacera, sa base militante étant dans une large mesure siphonnée par Occident

    Pour l’anecdote, le chanteur « Antoine », vedette et figure de proue du mouvement beatnik et de la mode hippie en France vers 66-67, avait été militant de la FEN à Annecy, à ses débuts.

     

    Source : contre-info

  • La Russie va suspendre à partir de demain ses livraisons d’électricité à la Finlande, qui souhaite rejoindre l’OTAN

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2022

    Cette annonce intervient sur fond d’une montée de tensions entre Moscou et Helsinki, qui a annoncé sa volonté d’adhérer «sans délai» à l’Otan sous l’influence de l’offensive russe en Ukraine. Une intention vue d’un très mauvais oeil par Moscou qui a d’ores et déjà menacé d’une riposte «militaro-technique».

    Basé à Helsinki, RAO Nordic Oy n’a pas reçu de paiement pour l’électricité fournie à la Finlande depuis le 6 mai, a affirmé ce groupe dans un communiqué, en évoquant un manque de moyens pour payer l’électricité importée de Russie.

    «Cette situation est exceptionnelle et a lieu pour la première fois en plus de 20 ans», selon le communiqué.

    «Nous sommes donc obligés de suspendre l’importation d’électricité à partir du 14 mai», explique le fournisseur.

    «Nous espérons que la situation va bientôt s’améliorer» et les livraisons en provenance de Russie reprendront, ajoute le groupe.

    Le président et la première ministre de la Finlande se sont dits favorables jeudi à une adhésion «sans délai» à l’Otan, précisant que la décision du pays nordique serait annoncée dimanche à l’organisation.

    L’entrée de la Finlande à l’Otan serait «assurément» une menace pour la Russie, a réagi le Kremlin. La diplomatie russe a affirmé pour sa part que la Russie sera «obligée de prendre des mesures réciproques, militaro-techniques et autres, afin de mettre fin aux menaces à sa sécurité nationale», en cas d’adhésion de la Finlande.

    Principal importateur d’électricité de Russie vers les marchés nordiques, RAO Nordic a des activités dans l’Union européenne depuis 2002.

    Source

  • Le Petit Robert est-il un dictionnaire militant ?

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2022

    de Philippe Kerlouan :

    « L’entrée de nouveaux mots dans un dictionnaire est censée en consacrer l’usage. On ne s’étonnera pas que l’édition 2023 du Petit Robert contienne des termes largement employés dans l’actualité récente. On pourrait penser qu’il se met impartialement au service de la définition des mots, mais il peut arriver que, pour suivre la mode voire par militantisme, il décide de servir une cause, fût-elle discutable.

    C’est ainsi qu’on trouve, dans la nouvelle édition, toute une série de termes, plus ou moins heureux, héritages de la pandémie du Covid-19. Un « Covid long » est un Covid dont les symptômes persistent ; une personne « covidé(e) » est atteinte du Covid ; le « portage » est la capacité que possède une personne, un animal de transmettre un germe, et le verbe « écouvillonner » signifie prélever un échantillon (dans une cavité naturelle) à l’aide d’un écouvillon. Il n’est pas certain que tous ces mots méritent de passer à la postérité, mais passons.

    Le lexique des questions sociétales fait aussi une entrée remarquée, ce qui est une façon de les officialiser et de les légitimer. On trouve, bien sûr, l’« identité de genre », mais aussi le « genre fluide », traduction de l’anglais gender fluid, caractérisé par des fluctuations de l’identité de genre, le verbe « dégenrer », qui signifie supprimer toute distinction en fonction du genre pour favoriser la mixité et l’égalité, ou encore la « thérapie de conversion » consistant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne. Ces termes ne sont pas couramment employés, mais les faire entrer dans le dictionnaire leur donne une réalité et une consistance qu’ils ne possèdent pas encore.

    Le comble est atteint quand Le Petit Robert ajoute, dans son édition papier, le fameux pronom personnel « iel » (« iels » au pluriel), qu’il n’avait jusqu’ici introduit que dans sa version numérique. Il assure ainsi une légitimité supplémentaire à ce pronom contesté, employé pour évoquer une personne, quel que soit son genre. Une démarche apparemment plus idéologique que lexicographique. Le pluriel « iels », précise le dictionnaire, « peut être pratique […] pour désigner une foule, un groupe mixte ». Il est vrai qu’Élisabeth Moreno, ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes, avait estimé qu’il n’était pas « choquant » d’employer ce pronom neutre.

    Vous l’aurez compris : ce dictionnaire outrepasse sa mission en faisant la promotion de l’écriture inclusive et, plus généralement, des idéologies à la mode. Il participe, sciemment ou non, au combat des minorités agissantes qui ne se contentent pas de vouloir être respectées – ce qui serait légitime – mais font pression pour imposer leurs normes et leur vocabulaire à la majorité, vouant aux gémonies les récalcitrants. Le Petit Robert, ce dictionnaire de référence, se transformerait-il en dictionnaire militant ? »

    A l’évidence.

    Source BVoltaire