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« Je fais du droit. Je fais un rappel historique. Ce sont des faits que la France soit un pays catholique. Ce n’est pas contestable. Je suis sidéré. Je suis enseignant depuis 27 ans et c’est la première fois que je vois ça. »
De son côté, l’élève, mineur, a été reçu, avec ses parents, par le conseiller principal d’éducation (CPE). Il a décidé de déposer une plainte au commissariat de police d’Angers, qui a ouvert une enquête. Le directeur de l’établissement, Anthony Bellanger, suit l’affaire de très près :
« Nous avons entendu l’élève et ses parents. Nous avons aussi demandé aux conseillers délégués de nous rendre un rapport. »
Le directeur a demandé la mise à pied immédiate du professeur visé.
« C’est à titre conservatoire et à effet immédiat, au moins jusqu’aux vacances de Noël. Si j’ai pris cette décision, c’est pour préserver la présomption d’innocence du professeur et pour le protéger. Ce n’est pas une sanction ».
C’est tout de même absurde.
De son côté, le professeur a déposé plainte contre l’élève, pour menaces, agression physique et verbale.
Jean-Marie Guénois du Figaro titre à juste titre « En Grèce, le voyage très politique du pape François ».
Le pape François, en visite hier dimanche 5 décembre sur l’île grecque de Lesbos a, à nouveau, promu l’ouverture de l’Europe à tous les clandestins qui entrent illégalement et fustigé les nationalismes égoïstes. Il a appelé à en finir avec ce qu’il nomme incongrument un « naufrage de civilisation », lors d’une allocution au camp de migrants de Mavrovouni. Jouant comme à son habitude sur la corde sensible de ceux qui l’écoutent encore, il a qualifié la mer Méditerranée de « cimetière froid sans pierres tombales ». Continuant sur ce leitmotiv immigrationniste, il a insisté, devant la présidente grecque Katerina Sakellaropoulou, le vice-président de la Commission européenne Margaritis Schinas et le ministre grec des Migrations Notis Mitarachi :
« Ne permettons pas que la mare nostrum se transforme en une désolante mare mortuum, que ce lieu de rencontre devienne le théâtre de conflits ! Ne laissons pas cette mer des souvenirs devenir la mer de l’oubli. »
Parallèlement à ces mots lénifiants, il a condamné cette « l’Europe [qui] persiste à tergiverser » face aux arrivées de migrants « parfois bloquée » et « déchirée par les égoïsmes nationalistes », « au lieu d’être un moteur de solidarité ».
Jorge Maria Bergoglio a longuement salué et béni les familles présentes, parmi lesquelles de nombreux enfants. « Welcome ! », « We love you », pouvait-on entendre. Il s’est également offert un bain de foule, sans masque ni distanciation sociale, parmi ces « migrants », dont peu si ce n’est aucun doivent avoir reçu le sérum anti-covid et qu’il entend faire entrer sans passeport, ni sanitaire ni national, sur le Vieux continent. Attitude pour le moins paradoxale quand l’on sait que le même est un ayatollah de la vaccination anti-covid et des mesures anti-sociales drastiques, si intransigeant avec les non-vaccinés vus comme un danger pour les vaccinés, au point de renvoyer sans un mot ni un remerciement ses gardes-suisses réfractaires ou prudents avec ces injections expérimentales, et d’interdire l’entrée de la cité du Vatican à quiconque ne présente pas un passeport sanitaire en bonne et due forme.
Politique indubitablement, ce déplacement en Grèce et particulièrement à Lesbos, peut être mis sous le signe d’une vision politique mondialiste, El papa argentin se faisant à nouveau le chantre des injonctions de l’idéologie du village global et le collaborateur volontaire des mondialistes au pouvoir dans les instances internationales et bruxelloises. Son altruisme, aligné sur les diktats de la conscience morale universelle, est à géométrie variable, dur avec les non-vaccinés parce que telle est l’attitude dominante parmi les puissants du jour de Bill Gates à Klaus Schwab, en passant par les banquiers Macron et Draghi, débonnaire avec les clandestins ainsi que le veulent ces mêmes sphères financières et globalistes.
En tout, le pape François à un esprit étroit qui se conforme au politiquement correct, et seulement à lui.
Et une photo prise dans le « salon Cléopâtre », du nom de l’ancienne tapisserie des Gobelins qui s’y trouvait jusqu’en 2019, avant d’être remplacée par une « œuvre » d’un certain Yves Oppeinheim (coût inconnu) :
Le nouveau tapis n’est pas mal non plus dans son genre, mais pas au niveau du tableau…
Un autre tapis :
Cette cheminée n’était pas assez jolie aux yeux des Macron :
Pour un coût de 500 000 euros, le couple avait déjà transformé la salle des fêtes du palais en une vulgaire salle des fêtes municipale, presque un funérarium…
Ce n’est guère étonnant quand on se rappelle ces déclarations du banquier cosmopolite :
Avant d’instaurer une obligation vaccinale, il convient de se poser plusieurs questions éthiques et pratiques. La proportionnalité de la mesure, son bien-fondé, la transparence des décisions et l’équilibre entre deux grands principes : l’autonomie individuelle versus la protection collective... Une obligation vaccinale serait- elle proportionnelle à la situation ? Elle le serait si elle garantissait une efficacité en termes de meilleur contrôle de la pandémie ou de sortie de crise. Or, je ne suis pas sûr de ce bien-fondé.
Car quel serait l’objectif, le bénéfice, d’une vaccination obligatoire ? Protéger les non-vaccinés des formes graves pour désengorger les soins intensifs ? L’argument n’est qu’à moitié convaincant, les personnes les plus à risque de forme grave étant déjà largement vaccinées. Est-ce alors d’empêcher de retomber malade ? L’obligation ne changerait rien, le vaccin n’empêchant pas la récidive. Enin, troisième objectif, donner un coup de frein à la circulation du virus ? Là, à nouveau, on voit que même avec une population largement vaccinée, cette circulation ne diminue pas, si l’on se fie au taux d’incidence actuel. En fait, le vaccin sert essentiellement à protéger des formes graves. Il n’est pleinement efficace que sur cette composante-là. Croire que l’obligation vaccinale va nous sortir de la crise serait donc un leurre. Ou du moins ne serait pas honnête scientiiquement.
Dès lors, le vaccin obligatoire deviendrait un choix plus politique que scientiique. Mais en santé publique, il faut un minimum d’adhésion de la population. Et ce que je crains, non en tant que scientifique, mais en tant que citoyen, c’est qu’une telle décision n’accentue les clivages. Instaurer une obligation va rajouter une couche de mécontentement, de frustration, chez une partie de la population déjà méfiante. Ce qu’il faudrait plutôt, c’est essayer d’aller chercher une partie – les plus extrêmes étant impossibles à convaincre – des 6 millions de Français pas encore vaccinés. Sinon, la frustration créée par l’obligation risque d’amener à une sorte de radicalisation et d’entraîner un relâchement de tout (les gestes barrières, le port du masque...). Et là ce serait une catastrophe, car le vaccin n’est qu’un des garde-fous de l’épidémie.
Et pratiquement, comment appliquer une obligation à l’ensemble d’une population ? Comment irait- on chercher les récalcitrants ? Comment les sanctionner ? S’il fallait vraiment une vaccination obligatoire, pourquoi ne pas imaginer qu’elle ne concerne que les personnes fragiles, les + de 65 ans n’ayant pas encore reçu d’injection, par exemple, ou celles avec comorbidité ? Mais si une vaccination « sectorielle » est plus facile à maîtriser, elle crée, néanmoins, de la discrimination.
Recueilli par Alice Le Dréau
(*) Médecin épidémiologiste, professeur de santé publique
Une nageuse transgenre de l’Université de Pennsylvanie, qui avait auparavant passé trois ans à concourir en tant qu’homme, écrase maintenant des records dans des épreuves féminines, suscitant l’indignation au milieu de la controverse entourant les athlètes transgenres.
Thomas, 22 ans, a nagé dans l’équipe masculine de Penn de 2017 à 20 sous le nom de Will Thomas, se classant deuxième au championnat de l’Ivy League dans trois épreuves de nage libre et faisant partie de la deuxième équipe All-Ivy lors de la saison 2018-19. Thomas a également remporté le 500 nage libre masculin contre Villanova lors de la saison 2019-20.
Depuis qu’il est passé au sexe féminin et qu’il a rejoint l’équipe féminine, Thomas est passé du statut de nageur universitaire solide à celui de dominant.
Lia Thomas, 22 ans, anciennement appelée Will, a participé à plusieurs épreuves récemment, notamment à une rencontre tripartite avec les universités de Cornell et de Princeton le 20 novembre, au cours de laquelle l’étudiante a pulvérisé les records de l’université de Pennsylvanie dans les épreuves de 200 et 500 mètres nage libre, affichant des temps qui ont battu presque toutes les autres nageuses des États-Unis.
Son temps de 4’36.06 sur le 500 mètres lui aurait déjà permis de remporter une médaille de bronze aux épreuves nationales universitaires (NCAA), mais celui sur 200 mètres a été encore plus impressionnant, puisqu’il a établi un nouveau record (1’41.93) ce qui lui aurait permis cette fois-ci de décrocher l’argent au niveau national. « Elle a gagné la course avec pratiquement sept secondes d’avance sur sa dauphine, et son temps est le plus rapide du pays », a détaillé le département du sport. Sur le 500 mètres de la veille, elle avait laissé sa concurrente plus de 14 secondes derrière.
Il s’agit de la dernière controverse en date dans le débat en cours sur la question de savoir si les personnes transgenres devraient être autorisées à participer à des compétitions sportives aux côtés d’athlètes du sexe opposé à celui qui leur a été attribué à la naissance.
On ignore quand Thomas a commencé sa transition, mais les règles de la NCAA stipulent qu’elle devait avoir suivi un an de traitement de suppression de la testostérone pour pouvoir concourir.
Sa dernière compétition masculine connue remonte au 16 novembre 2019.
Les parents de jeunes filles en colère
Injuste pour les défenseurs du sport féminin pour qui la participation d’un athlète transgenre aux épreuves féminines est totalement hors de propos. « Évidemment que les records des femmes sont battus […] Lia a concouru en tant qu’homme pendant trois ans avec la NCAA », s’offusque Linda Blade, auteur de How Trans Activism and Science Denial are Destroy Sport (comment l’activisme trans et le déni de la science détruisent le sport).
Dans un journal étudiant de son université de Pennsylvanie, Lia Thomas l’assure pourtant : « Être trans n’a rien changé à ma façon de nager et pouvoir continuer est gratifiant ». Pas de quoi convaincre des parents de jeunes filles qui concourent dans les mêmes catégories : « Mes deux filles nagent en compétition […] Elles s’entraînent trois à quatre fois par semaine […] Ce genre de conneries me met en colère », peste l’une d’elles. Un homme propose que les femmes en compétition avec les athlètes transgenres refusent de participer, « cela mettrait fin à cette absurdité », réagit-il. Alors que les nageurs trans ne sont plus obligés de réduire leur taux de testostérone, certains spécialistes jugent que Lia Thomas pourrait un jour titiller Katie Ledecky. Ni plus ni moins que la septuple championne olympique et quinze fois championne du monde.