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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1101

  • 30% des réfugiés “ukrainiens” arrivés en France ne sont pas ukrainiens mais maghrébins et africains

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2022

    30% des réfugiés “ukrainiens” arrivés en France ne sont pas ukrainiens mais maghrébins et africains

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    Une fois de plus, le laxisme de la politique d’immigration de la France est détourné. Et ce sont les Français qui paieront :

    Déjà plus de 5000 arrivées en France de migrants d’Ukraine depuis le début de l’attaque russe le 25 février. Un nombre «en augmentation rapide», affirme le premier ministre Jean Castex. Ils étaient «plus de 500», encadrés par des associations pour la seule journée de lundi, arrivés par bus, en provenance de Berlin notamment, mais aussi par train ou par avion. Il y a aussi tous ceux qui arrivent par leurs propres moyens dans les autres villes, aidés par leurs familles installées en France.

    Sont-ils tous des Ukrainiens? Dans ce flux en expansion, 30 % environ sont des migrants qui se trouvaient en Ukraine au moment du déclenchement du conflit, selon nos informations. En clair: quasiment un réfugié sur trois n’est pas Ukrainien.

    Les dernières arrivées intègrent plus de 7,5 % d’Algériens, 3,5 % d’Ivoiriens, 3,5 % de Marocains2,5 % d’Indiens, 2,5 % de Kirghizes, 2 % de Congolais, 1,5 % de Camerounais, 1 % de Pakistanais, mais aussi des Nigériens, des Chinois, des Guinéens, des Angolais.

     

    Source : lesalonbeige

  • La Commission européenne veut régenter tout l’internet

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2022

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    Lu dans Politique Magazine :

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  • Une conférence “le broutage, une cybercriminalité décoloniale ?” organisée à l’université d’Angers dans le cadre du Mois du genre

    Publié par Guy Jovelin le 08 mars 2022

    Francois 08/03/2022 à 17h22

    Conférence sur les brouteurs ivoiriens, par l’historienne Nahema Hanafi, dans le cadre du Mois du genre de l’Université d’Angers

    À propos de cet évènement

    Les brouteurs sont de jeunes cybercriminels ivoiriens qui, depuis les cybercafés d’Abidjan, envoient chaque jour des milliers d’arnaques par mail à des internautes résidant en France. Une de leurs escroqueries – l’ « arnaque à la nigériane » – les mène à revêtir le « masque blanc » d’une expatriée française désireuse de léguer sa fortune à un·e compatriote, car elle se meurt d’un cancer en Afrique.

    Sur les réseaux sociaux, où ils construisent en parallèle le « masque noir » socioprofessionnel du brouteur en se moulant dans les normes viriles de l’extorsion et du pouvoir d’emprise, certains moralisent leurs pratiques en mobilisant l’image d’un Robin des bois 2.0 décolonial, un jeune homme noir pauvre volant les anciens colons pour redistribuer les richesses localement.

    C’est cet univers qu’explore Nahema Hanafi, maîtresse de conférences en histoire moderne et contemporaine à l’Université d’Angers, dans son récent livre L’Arnaque à la nigériane – Spams, rapports postcoloniaux et banditisme social, paru en 2020 aux éditions Anacharsis (collection Les ethnographiques).

    La chercheuse du laboratoire Temos présentera son travail le vendredi 25 mars, à 18h30 sur le campus Belle-Beille d’Angers, avant un temps de dialogue avec le public.

    Eventbrite via fdesouche

  • La raison cachée de l’éviction de Nathalie Élimas du gouvernement : elle employait illégalement son compagnon au sein de son cabinet (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 08 mars 2022

    fdesouche

    08/03/2022

    Accusée de harcèlement moral sur ses collaborateurs au secrétariat d’État chargé de l’éducation prioritaire, Nathalie Élimas employait aussi son compagnon au sein de son cabinet. Un mélange des genres interdit par la loi… qui aurait précipité son départ du gouvernement.

    (…) Marianne

    05/03/2022

    Accusée de «harcèlement», la secrétaire d’État Nathalie Elimas quitte le gouvernement

    (…) A la mi-février, selon Europe 1, un pré-rapport interne avait été remis à Jean Castex. Ses conclusions «sont terribles» pour Nathalie Elimas, directement mise en cause, selon une source de l’Élysée citée par la radio. Le Premier ministre s’était entretenu avec la secrétaire d’État pour «lui demander des explications» et Nathalie Elimas avair alors «refusé l’option» du départ du gouvernement. Deux sources interrogées par l’AFP avaient confirmé que les témoignages visant Mme Elimas étaient «concordants» mais aussi «graves» et «accablants».

    Plusieurs sources avaient aussi indiqué à l’AFP que Mme Elimas se voyait reprocher des faits de «harcèlement», voire de «maltraitance», sur des collaborateurs. Une demi-douzaine de personnes en seraient victimes, selon deux personnes qui ont travaillé depuis juillet 2020 au sein du cabinet de cette spécialiste des ressources humaines.

    Le Figaro

  • Alain Chouet (ex-DGSE) : «Il existe sur le territoire français 1514 quartiers de non-droit interdits d’accès aux forces de sécurité, aux services des secours…», soit 4 millions d’habitants

    Publié par Guy Jovelin le 08 mars 2022

    Ancien chef du service de renseignement de sécurité de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Alain Chouet vient de publier « Sept pas vers l’enfer », ouvrage dans lequel il dépeint une société française profondément malade du séparatisme et de la violence fondamentaliste. « Quarante années d’aveuglement, d’ignorance, de lâcheté et de “bien-pensance“ ont progressivement conduit la France aux limites de la rupture du pacte républicain », écrit-il.

    La France compterait 1514 quartiers de non-droit, interdits d’accès aux forces de sécurité, aux services des secours, aux services médicaux et sociaux. 1514 quartiers établis sur 859 communes, et regroupant 4 millions d’habitants, soit 6% de la population de l’Hexagone.

    A la question posée par le site musulman Oumma sur la ghettoïsation, ce spécialiste des problèmes de sécurité et de terrorisme répond que, selon, lui la ghettoïsation aurait été autant choisie que subie. Tous les lecteurs ne seront pas forcément d’accord avec l’ancien espion. 

    Dans votre livre, vous parlez d’un séparatisme en France. Comment se traduit-il précisément ? Ne faut-il pas plutôt parler d’une ghettoïsation subie, avec une absence totale de mixité sociale, dans des quartiers parfois laissés à l’abandon ? 

    […] La « ghettoïsation », souvent invoquée pour expliquer cette séparation, est d’abord un argument victimaire pour justifier le séparatisme et les violences qu’il engendre. Cette ghettoïsation a été autant choisie que subie. Toutes les vagues migratoires que la France a connues au cours du siècle écoulé se sont d’abord regroupées par affinité et pour des raisons conjoncturelles dans des zones géographiques données, et cela n’a pas donné lieu à des phénomènes de dissidence violente localisés. Elles se sont ensuite diluées sur l’ensemble du territoire, à mesure que l’assimilation des deuxièmes et troisièmes générations se faisait.

     

    Cette dilution ne s’est pas faite pour l’immigration maghrébine, arrivée massivement et brutalement dans les années 70 dans un pays dont le ralentissement économique ne permettait pas de les intégrer par le positionnement social que fournit un travail, ni de leur assurer un niveau de vie minimal sans recours à des transferts sociaux massifs qu’ils ont vite perçus comme une rente qu’il convenait, pour certains d’entre eux, de compléter par des activités délinquantes rémunératrices qu’il fallait protéger par un isolement du reste de la collectivité nationale.

    D’où la constitution de ces fameux « ghettos » que les différents pouvoirs ont tenté de réduire par une politique de construction de logements sociaux et par un déversement incontrôlé et massif d’aides et de subventions dans le cadre des « politiques de la ville ». Ces aides ont été perçues comme un complément des rentes de l’assistanat social et n’ont jamais contribué à l’intégration des supposés bénéficiaires. De même, les politiques de construction de logement sociaux se sont traduites en l’apparition de nouveaux ghettos, les résidents d’origine du quartier fuyant l’arrivée des nouveaux bénéficiaires aux comportements et aux pratiques souvent « dissidents ». […]

    Vous parlez de la découverte, dans la périphérie d’une grande ville, d’armes de guerre, de fusils d’assaut, de lance-roquettes, et de la décision des autorités de ne rien faire, car une opération risquerait de « mettre le feu » à un quartier sensible et contribuerait à « stigmatiser » ses habitants. Vous ne dites pas de quand date cette information. Pensez-vous qu’aujourd’hui encore les autorités décideraient de ne rien faire?

    J’ai daté cette notation de la fin des années 90. Ce n’est pas très précis, mais cela donne une indication. C’était donc il y a un peu plus de vingt ans. Les choses ont évidemment changé depuis et la multiplication des attentats terroristes, à partir de 2001, dans le monde entier et plus particulièrement depuis 2015, en France, a évidemment changé la donne. Aucun responsable administratif ou politique ne pourrait aujourd’hui adopter une attitude réservée ou dilatoire par rapport à de tels faits. […]

    oumma via fdesouche