GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1104

  • Pour Poutine, «l’Occident civilisé préfère ne pas faire attention» aux «13000 morts» dans le Donbass

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2022

    Lors d’une intervention le 5 mars, le président russe Vladimir Poutine est revenu sur la genèse du conflit entre la Russie et l’Ukraine, qui prend source selon lui dans les événements de Maïdan de 2014 et le «coup d’Etat», activement soutenu par les Occidentaux, qui ne s’en «cachent même pas».

    Revenant sur le rattachement de la Crimée à la Russie par voie référendaire qui a suivi et la non-application des accords de Minsk Vladimir Poutine a ensuite estimé que les bombardements qui ont frappé la région du Donbass représentaient une répression contre les russophones ne soutenant pas le «coup d’Etat» issu de Maïdan.

    «Les gens qui, au fond, ont résisté à ce développement, ont fait l’objet de poursuites, et les autorités de Kiev ont commencé à mener des opérations militaires sur ces territoires. Ils ont effectué deux opérations militaires punitives de large envergure en ayant recours à du matériel lourd, des aéronefs de combat, en frappant directement Donetsk», a ainsi expliqué Vladimir Poutine. Le président russe a également avancé qu’environ «13 à 14 000 personnes ont été tuées pendant cette période-là, pendant ces années-là. Plus de 500 enfants ont été tués ou mutilés».

    «Ce qui est le plus difficile à tolérer, c’est que le soi-disant Occident civilisé préfère ne pas y faire attention. Pendant toutes ces années, écoutez, huit ans. Huit ans», a-t-il martelé.

     

  • Bordeaux : l’homme qui a craché au visage d’un prêtre, après l’avoir insulté en arabe, sanctionné d’un stage de citoyenneté (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2022

    fdesouche

    FNPtRjTWYAAEYFP.jpg

     

    07/03/2022

    Les faits avaient eu lieu dimanche 27 février sur le parvis de la basilique Saint-Michel. Le prêtre n’avait pas porté plainte mais le parquet avait ouvert une enquête.

    L’homme qui a craché au visage d’un prêtre de la basilique Saint-Michel de Bordeaux, dimanche 27 février après la messe, a été sanctionné d’un stage de citoyenneté et d’une interdiction de paraître dans le périmètre de la place Saint-Michel pendant six mois, a appris Le Figaro du parquet de Bordeaux.

    (…) Le Figaro


    01/03/22

    La police aurait néanmoins interpellé l’auteur présumé du crachat lundi après-midi. Ce Bordelais âgé d’une cinquantaine d’années a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat central.

    (…) France Bleu


    28/02/22

    Des travaux ont lieu, actuellement, sur la flèche de Saint-Michel à Bordeaux et des barrières empêchent l’installation des vendeurs à leur place habituelle le dimanche, jour de marché. Ceux-ci s’installent alors sur le parvis de l’église Saint-Michel rendant difficiles les accès à l’édifice. Ce dimanche 27 février, la police est intervenue une première fois vers 11h pour déloger les vendeurs à la sauvette installés devant l’entrée de l’église. Le prêtre qui célébrait la messe s’est ensuite rendu compte que les vendeurs s’étaient réinstallés sur le parvis. Il est sorti, alors, accompagné d’un servant d’autel pour ouvrir le passage tout en bénissant les personnes présentes. La sortie s’est globalement passée dans le calme mais un individu a craché sur le prêtre.

    Le prêtre qui a reçu le crachat ne souhaite pas porter plainte.

    Le diocèse de Bordeaux réaffirme sa volonté de cultiver un climat de paix et de fraternité dans ce quartier St Michel, en lien étroit avec la municipalité, les associations et les forces de l’ordre.

    Diocèse de Bordeaux


    27/02/22

    Il dit au prêtre en arabe : “Nique ton père et nique la chatte à ta mère”

  • Ukraine : les nationalistes ukrainiens empêchent l’évacuation des civils et des étrangers

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2022

    Auteur : 

    IMG_20220304_001821_745-300x200.jpg

    Ce 5 mars à plusieurs endroits du front, les opérations militaires ont été stoppées par l’armée russe et celles des républiques du Donbass, pour permettre l’évacuation des civils par les couloirs humanitaires sur lesquels s’est aussi accordé le gouvernement de Kiev. C’était sans compter avec les ultra-nationalistes qui ont empêché ces évacuations partout sauf à Irpen au nord-ouest de Kiev, notamment en faisant sauter un immeuble d’habitation à Marioupol, où 200 civils étaient ce matin sous les décombres.

    Officiellement, l’évacuation a été suspendue « pour non-respect des conditions du cessez-le-feu« , ou plutôt reportée au 6 mars, mais en réalité, les autorités ukrainiennes ne peuvent contrôler sur le terrain ni les groupes ultra-nationalistes, ni ce que les belligérants appellent le « volksturm », à savoir les civils auxquels des fusils d’assaut et des roquettes ont été distribués, et qui s’en servent principalement pour commettre des pillages, notamment à Kiev, Kharkov, Rovno, Vinnitsa, Zhitomir et d’autres villes.

    L’évacuation des civils a pu avoir lieu, à pied à travers un pont pétardé par l’armée ukrainienne à Irpen’, au nord-ouest de Kiev, tandis que des blindés russes entraient dans la ville par un autre axe. A Marioupol, seuls 17 civils ont pu quitter la ville – un de leur véhicules a été ciblé par des ultra-nationalistes ukrainiens. A Kharkov, l’évacuation a été suspendue.

    Par ailleurs, selon les autorités russes, ils empêchent les étudiants étrangers de quitter Kharkov, notamment 1500 indiens, 200 jordaniens, 40 egyptiens, 15 vietnamiens. A Sumy 576 indiens, 159 tanzaniens, 121 chinois, 100 ghanéens, 60 égyptiens, 45 jordaniens, 16 pakistanais, 15 tunisiens et 14 zambiens – principalement des étudiants – seraient eux aussi empêchés de quitter la ville.

     

    Source : medias-presse.info

  • Toulouse : depuis 20 ans, des clandestins algériens se donnent rendez-vous chaque jour sur la place Arnaud-Bernard pour s’adonner au trafic de drogue. “On m’a dit que c’était un quartier arabe”

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2022

    Depuis des décennies des dizaines de clandestins Algériens se donnent rendez-vous chaque jour sur la place Arnaud-Bernard. Au fil des ans, leur nombre a diminué.

    « Je ne te mens pas, en ce moment j’ai des problèmes » raconte en arabe un Algérien au téléphone à Arnaud-Bernard. Cette phrase est révélatrice du quotidien des dizaines de clandestins – originaires pour la plupart de Mostaganem – qui passent leur journée contre les murs de la place, espérant gratter quelques pièces avec le trafic de cigarettes et de cannabis la journée. La nuit, ils rejoignent les squats où ils dorment.

    Ce manège dure depuis plus de 20 ans dans cet endroit, réputé terre d’accueil des immigrés algériens. Moustache* a travaillé dans « tous les commerces » de la place. Il a également habité dans le quartier pendant plusieurs années. Le Toulousain assure qu’à Arnaud-Bernard « les immigrés ont toujours trouvé leur place ».

    M. est arrivé en France il y a 14ans. Sans repère, il s’est rapidement retrouvé à fréquenter la place. «On m’a dit “c’est un quartier arabe”. J’ai pris mes habitudes», confie l’originaire d’Oran.

    (…) La mairie de Toulouse veut offrir un lifting à la place. Travaux, nouveaux commerces… Arnaud Bernard change progressivement de visage et de population. Un commerçant présent depuis les années 2000 témoigne : « On sent la métamorphose. Il y a moins de deals qu’il a quelques années. » Dans les locaux du Secours Catholique, le même constat est dressé. Andrew Nguyen The Hien, le coordinateur du pôle errance, confie qu’avec la présence policière « de moins en moins d’immigrés traînent sur la place ».

    (…) Les clandestins de Mostaganem se dispersent progressivement aux quatre coins de la ville.

    La Dépêche via fdesouche

  • Difficultés à s’entendre avec Airbus sur le programme d’avion de combat européen SCAF, préférence des états européens pour le matériel de guerre américain : Quand le patron de Dassault Aviation dézingue les travers de l’Europe de la Défense

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2022

    Quand Eric Trappier, patron de Dassault Aviation, dézingue les travers de l’Europe de la Défense

    Difficultés à s’entendre avec Airbus sur le programme d’avion de combat européen SCAF, préférence des états européens pour le matériel de guerre américain, taxonomie qui pénalise les industriels de l’armement européens… Le patron de Dassault Aviation souligne les difficultés à faire émerger une véritable Europe de la Défense sur le plan industriel.

    www.usinenouvelle.com via fdesouche