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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1185

  • Un père non vacciné perd temporairement le droit de voir son enfant

    Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2022

    Au Canada, un tribunal québécois a récemment suspendu temporairement les droits de garde d’enfant d’un père non-vacciné et « opposé aux mesures sanitaires ».

    Cette décision du 23 décembre, révélée par le journal québécois le Devoir et que nos confrères de l’AFP a consultée, explique qu’il n’est pas dans le « meilleur intérêt (de l’enfant) d’avoir des contacts avec son père si celui-ci n’est pas vacciné et est opposé aux mesures sanitaires dans le contexte épidémiologique actuel ».

    Ses droits levés jusqu’en février

    Le père demandait au départ à prolonger pendant les fêtes de fin d’année son droit de garde. Le juge a finalement levé tous ses droits jusqu’en février sauf s’il décidait de se faire vacciner.

    Le juge a noté que des extraits de publications du père sur les réseaux sociaux « (révélaient) qu’il semble s’opposer aux vaccins et aux mesures sanitaires ».

    Selon lui, par ailleurs, la protection de l’enfant contre le virus « n’est pas totale » et « semble même être réduite face au variant Omicron qui se propage actuellement au Québec ».

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Vers une crise financière ? La Banque de France sonne l’alarme

     

     
    Ignace - Effondrement de la bourse chinoise
    Ignace – Effondrement de la bourse chinoise

    La Banque de France alerte sur un risque de « correction » des marchés financiers alors que les Bourses ont battu des records en 2021.

    « Une crise boursière et financière est le principal risque qui pèse à moyen terme sur le secteur financier, et il pourrait augmenter, a alerté lundi 10 janvier l’institution dans son rapport semestriel sur les risques financiers. « Certains indicateurs de valorisation boursière pointent un niveau d’exubérance persistant, qui rend les marchés d’actifs risqués vulnérables à une correction brutale pouvant aussi éventuellement déstabiliser des acteurs financiers non bancaires ayant recours au levier de la dette et se propager à d’autres segments de marché« , a estimé la banque centrale.

    Sur les cinq principaux risques identifiés par l’institution, le risque de marché est le seul dont la probabilité est estimée à « très élevé » — celle des autres risques étant jugée « élevé » : il s’agit de  l’endettement élevé, les pressions sur la rentabilité des banques et sur le rendement des placements des assurances, le risque de cyberattaque, et l’exposition au changement climatique.

    La presse russe, qui s’inquiète du surendettement croissant d’une partie de la population à la sortie de la crise du Covid (7.1 millions de ménages seraient en faillite ou proches de l’être), estime cependant que s’il y a une crise financière globale, elle ne viendra pas de la Russie. Vzgliad pointe le risque de bulle dans l’immobilier chinois – après le défaut d’Evergrande fin 2021, les promoteurs Kaisa, Shimao et d’autres semblent aussi en difficulté. D’autant que cette crise se répercute déjà sur la sidérurgie chinoise et les cours de l’acier, et menace d’atteindre les activités de production de ciment, verre et d’autres industries de transformation qui pèsent lourd dans le PIB chinois.

     

    Source : medias-presse.info

  • Grève des enseignants : masochisme généralisé à l’Education Nationale

    Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2022

    Les syndicats des enseignants se mettent en ordre de marche pour manifester leur colère ce jeudi et expliquent leurs motivations.

    Le SNES FSU dénonce l’insuffisance irresponsable du ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer et des mesures qui provoquent l’épuisement et l’exaspération de toute la communauté éducative. Il ne dit pas que ces mesures sont exagérées, disproportionnées, handicapantes pour l’apprentissage ou ridicules… mais insuffisantes.

    Constatant un « raz-de-marée de la 5eme vague », le SNES FSU témoigne que les classes se vident et se remplissent au compte-goutte au gré des cas contact et des cas positifs, perturbant allègrement la dispensation des enseignements. Les surveillants comme l’administration des collèges et lycées sont submergés par la gestion des absences des élèves comme des personnels pendant que les chefs d’établissements se transforment en machines à valider des attestations sur l’honneur à longueur de journées. Le SNES regrette que des autotests périmés ont été distribués et qu’aucun matériel n’a été installé dans les salles de classes pour « faire face au défi de l’aération » (capteur de CO2, purificateur d’air, possibilité d’ouvrir des fenêtres parfois verrouillées…). L’école ne serait plus en sécurité ! De plus, les professeurs absents ne sont pas remplacés et il y a pénurie de profs ! Il est vrai que depuis 2018 7490 emplois ont été supprimés.

    Maxime Reppert secrétaire national aux conditions de travail pour le SNALC témoigne sur CNEWS du mépris du ministre, puisque les enseignants ont pris connaissance du nouveau protocole sanitaire par la presse la veille de la rentrée de janvier. Il est notable que les annonces faites ces derniers temps à la télévision par les membres de gouvernement se transforment en lois immédiatement applicables au mépris de nos institutions et du processus administratif nécessaire à leur mise en œuvre…


    Il rapporte que le protocole change tous les jours, que les parents doivent faire la queue quotidiennement pour faire tester leur enfant (bien que devant la répulsion de certains enfants, cet acte du test PCR s’apparente à de la maltraitance) et que plus personne n’y comprend rien. Sa colère éclate sur le plateau : « Si l’incompétence était un délit, je peux vous dire qu’actuellement il y aurait de quoi condamner notre ministre. Il porte à son paroxysme simplement la notion d’absurdité ».

    Maxime Reppert est bien le seul parmi les représentants des syndicats à proposer la limitation du nombre d’élèves par classe qui peut se porter à 35 si ce n’est plus dans le secondaire.

    En revanche, hors de question de fermer les écoles. Non, les syndicats exigent plus de sécurité, plus de protocole, plus de mesures protectrices ! Ils demandent notamment des masques chirurgicaux. Le prof gauchiste écolo qui s’insurgeait à la récré contre la pollution que représente les masques ne fait visiblement pas partie des têtes pensantes des syndicats. Rappelons qu’en 2020 le masque en tissu fait maison était encore autorisé. Les syndicats réclament aussi des masques FFP2 ! Pour qui ? Le communiqué ne le dit pas. Peut-être pour un des derniers collègues boomer qui transpire à grosses gouttes dès que quelqu’un passe trop près de lui ? En tous cas les collègues que j’ai pu croiser sur les divers établissements où j’ai pu exercer, en ont tous assez de porter le masque, surtout les profs de langue. Comment se faire comprendre dans une langue étrangère en braillant des heures par jour dans un masque si épais qui étouffe les sons ? Sans parler du manque d’oxygène. Pour le bien-être des enseignants et la qualité des enseignements comme des apprentissages, la copie du SNES FSU est à revoir.

    La liste des revendications se poursuit avec : plus de personnels administratifs, plus de masques, plus de tests, plus d’isolement (des cas contacts intrafamiliaux), le report des épreuves de spécialité du baccalauréat de mars à juin, plus de remplaçants par le gel des suppressions d’emplois, plus de création de postes et le recours aux listes complémentaires. Avec la chasse aux mal-pensants, ceux qui jettent l’éponge et ceux qui n’envisagent pas de discourir malgré les risques d’asphyxie, difficile de trouver de nouveaux intéressés !

    Le protocole sanitaire me marche pas alors les syndicats veulent plus de protocole. Loin de plaider pour un retour progressif à la normale et pour que cette folie-phobie cesse au même titre que les multiples traumatismes probablement indélébiles sur les enfants et les jeunes, les syndicats sont plus zélés encore que le ministre et le gouvernement macronien, leur ouvrant ainsi la voie à des mesures toujours plus liberticides, plus monstrueuses et toujours plus insensées.

    Quel pourcentage des enseignants représentent-ils réellement ? Est-ce qu’ils sont à ce point déconnectés du terrain ? Ou bien ce masochisme touche-t-il l’ensemble des personnels de l’Education Nationale ? 

     

    Source : medias-presse.info

  • Estrosi prêche l’apartheid sanitaire et souhaite les mesures les plus discriminatoires

    Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2022

    Christian Estrosi, répondant aux questions de Jean-Claude Bourdin pour BFMTV et RMC, s’est déclaré favorable à la vaccination obligatoire, mais a aussi demandé le reconfinement des non-vaccinés et la suppression de leur droit au chômage. On attend toujours les réactions des syndicats et des organisations qui se vantent de défendre les droits de l’homme ou de poursuivre les actes et propos discriminatoires. Curieusement, ceux-là sont tous aux abonnés absents sur ce sujet crucial.

    Pour justifier ses propos discriminatoires, Christian Estrosi a cité des chiffres mensongers sur le pourcentage de non-vaccinés aux soins intensifs sans bien sûr être corrigé par le journaliste.

    Rappelons que Christian Estrosi s’était déjà illustré en 2020 en imposant aux Niçois le port du masque même seuls à l’intérieur de leur voiture. Un tel degré de bêtise devrait ouvrir les yeux des plus crédules.

     

     
     
  • Comportements à risques

    Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2022

    Comportements à risques

    C’est curieux cette volonté de recommencer le scandale du sang contaminé sans même l’excuse de l’ignorance cette fois.

    En 2015, GayLib, lobby LGBT associé à LR, a été à l’origine d’un amendement au projet de loi Santé d’alors, déposé par le député Radical Arnaud Richard, stipulant que «nul ne peut être exclu du don de sang en raison de son orientation sexuelle». Suite à l’adoption de cet amendement, un comité de suivi sur l’évolution des critères du don de sang est mis en place au ministère de la Santé. Suite à l’arrêté de 10 juillet 2016, une première étape a vue le jour : l’interdiction à vie de donner son sang pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) étant remplacée par la nécessité d’une abstinence sexuelle d’un an avant ce don. Puis le 2 avril 2020, une nouvelle étape a été franchie avec la réduction de cette période d’abstinence à 4 mois.

    A compter du 16 mars 2022, le don de sang pourra se faire sans critère d’orientation sexuelle, ni d’abstinence, avec des critères basés exclusivement sur des comportements à risques. Sic.

    Source : lesalonbeige