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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1226

  • Par décret, Olivier Véran interdit des antibiotiques, dont l’azithromycine… pour votre bien

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2021

    Pour l’OMS et Santé publique France, la résistance des bactéries aux antibiotiques est devenue un problème majeur de santé publique. Ce phénomène pourrait devenir la prochaine catastrophe sanitaire et causer près de 10 millions de morts dans le monde en 2050. Relativisons : ce ne serait pas plus que le cancer en 2020 quoique beaucoup plus que le selfie (43 en 2011-2017).

    En revanche la résistance des virus aux vaccins ne présente aucun problème. Olivier Véran le sait bien, c’est pourquoi d’un côté – par des décisions d’urgence (n’oublions pas que nous sommes en guerre) – il incite ou désormais oblige à la vaccination, de l’autre il restreint par décret les traitements à base d’antibiotiques dont l’azithromycine.

    Véran soigne par décret

    Vous ne vous sentez pas bien. Vous allez voir votre médecin, qui vous diagnostique une angine et vous prescrit un antibiotique. Dans la vie d’avant, vous allez chez le pharmacien acheter le médicament et vous vous soignez. À partir du décret du 14 décembre, c’est la vie d’après. Le code de la Santé publique a été modifié par un décret d’Oliver Véran. Il n’est pas tout seul : le premier ministre et le Conseil d’État sont dans le coup. À présent, votre médecin pourra toujours prescrire un antibiotique, ce n’est pas pour autant que vous pourrez vous soigner.

    Sur l’ordonnance le médecin devra faire figurer la mention « si TROD [test oro-pharyngé d’orientation diagnostique] angine positif, sous sept jours calendaires ». Donc vous allez vite chez le pharmacien, qui va vous faire subir un TROD des angines à streptocoque beta-hémolytique du groupe A. Si le test est positif, bingo ! Le pharmacien reçoit 6 € et vous allez pouvoir vous soigner. S’il est négatif, le pharmacien reçoit un euro de plus (soit 7 € en tout). C’est le prix pour vous convaincre que vous êtes malade, mais n’avez pas le droit de vous soigner avec le médicament prescrit, car votre médecin est un nul. Malgré ce jugement, le pharmacien va devoir vous convaincre de retourner chez le praticien. Il ne vous reste plus qu’à espérer qu’il vous trouvera une autre maladie ou un autre médicament. Un euro de plus dans la poche du pharmacien pour expliquer tout ça sans prendre un pain dans la gueule, ce n’est pas cher payé.

    Les médecins aux ordres

    Non seulement les médecins ne sont plus libres de prescrire, mais un Conseil national de la certification périodique a été créé pour les surveiller. Désormais les professionnels de santé doivent, sur six ans : actualiser leurs connaissances et leurs compétences ;
 renforcer la qualité de leurs pratiques professionnelles ;
 améliorer la relation avec leurs patients ;
 mieux prendre en compte leur santé personnelle (traduction : être vaccinés sous contrôle de l’ARS depuis le 15 septembre 2021).

    Chaque médecin doit créer son espace personnel numérique pour être suivi par l’Agence nationale de Développement professionnel cntinu. Tout professionnel de santé hors des clous pourra encourir une sanction de son Ordre ou une suspension temporaire d’exercice pour insuffisance professionnelle.

    Des traitements interdits

    Les antibiotiques qui peuvent être interdits sont des classiques : amoxicilline,
-cefuroxime (sous forme de céfuroxime axétil),
 cefpodoxime,
 azithromycine,
 clarithromycine,
 josamycine.

    Certaines maladies ne pourront plus être soignées par antibiotiques. L’amoxicilline peut toujours être prescrite par votre médecin pour une angine (bactérienne), mais plus pour une otite, une bronchite, une cystite, une parodontite, la maladie de lyme ou une infection à Helicobacter pylori (cause principale de l’ulcère de l’estomac). Quant à l’azithromycine, en bithérapie avec de l’ivermectine, elle peut soigner du covid, mais les autorités interdisent le traitement. Il ne faudrait quand même pas concurrencer les vaccins !

    Les médecins ont déjà accepté de ne pas prescrire ivermectine et hydroxychloroquine contre le covid. À présent, ils ne soigneront pas non plus la maladie de lyme, les otites, bronchites, cystites, parodontites et les infections à Helicobacter pylori. Ils vont donc devoir revenir aux remèdes naturels, à l’homéopathie, sinon continuer avec le bon vieux Doliprane qui a fait ses preuves et bien rempli hôpitaux et cimetières.

    source : https://lemediaen442.fr

  • Portes fermées aux chrétiens mais pas aux juifs américains : polémique à Jérusalem

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2021

    La décision du gouvernement de la ville a déclenché des protestations de la communauté chrétienne.

    Portes ouvertes pour les pèlerins juifs nord-américains mais pas pour ceux de religion chrétienne : le choix du gouvernement à Jérusalem suscite les protestations de l’Église catholique.

    Tout serait attribuable à l’apparition de la variante Omicron, qui a entraîné une nouvelle fermeture des frontières. Le gouvernement de Jérusalem suit une ligne rigide. Depuis le début de la pandémie la ville est restée ouverte aux non-résidents sans restrictions pendant quelques jours seulement, c’est-à-dire à partir du 1er novembre (date à laquelle les portes ont été ouvertes exclusivement aux touristes vaccinés) au 28, qui est le moment où les premiers cas d’omicron ont été enregistrés. Les Etats inscrits sur la liste rouge, c’est-à-dire celle comprenant les destinations interdites même aux citoyens de tout Israël, continuent de s’allonger de jour en jour : la France, l’Espagne et les Emirats Arabes Unis (Uea) ont récemment été ajouté à la Grande-Bretagne.

    Inutile d’essayer d’obtenir des autorisations spéciales en vue des fêtes de Noël : toutes les demandes des communautés chrétiennes ont été renvoyées à l’expéditeur. Par conséquent, il n’y a aucune possibilité pour les pèlerins d’atteindre la destination tant désirée à cette période spécifique de l’année.

    Une ligne rigide qui ne prévoit pas d’exceptions, même si en pratique ce n’est pas le cas. Les portes de la ville, en effet, seront ouvertes à quelques groupes de jeunes juifs nord-américains, qui visitent habituellement Israël pendant les fêtes de fin d’année en participant à de véritables tournées organisées par l’association Birthright. C’est la décision prise par la ministre Ayelet Shaked, qui a décidé de créer ad hoc et de diriger un comité pour gérer l’afflux de ces petits groupes.

    Le choix n’a pas manqué de susciter la polémique au sein de la communauté chrétienne. « Ces discriminations racistes ne doivent pas se produire. Nous appelons les autorités israéliennes à garantir l’entrée à tous ceux qui veulent visiter le pays quelle que soit leur religion », a déclaré le porte-parole pour les différentes confessions chrétiennes Wadi Abunassar., tel que rapporté par Il Corriere. L’Église catholique, en particulier, est particulièrement irritée par la fermeture totale du gouvernorat de Jérusalem et a décidé de faire appel au ministère du Tourisme. Cependant, la décision en la matière reste entre les mains du ministère de l’Intérieur de Shaked. Pour l’instant, le dicastère catholique s’est borné à confirmer la réalité de l’existence de certaines exceptions accordées aux pèlerins, et il n’est pas exclu que d’autres puissent arriver, même si tout apparaît plutôt enfumé et sans date prévue. Pour l’instant, l’interdiction pour les étrangers a été prolongée jusqu’au 29 décembre, c’est-à-dire à Noël désormais passé.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • En situation irrégulière en France, une prostituée nigériane disposant d’un titre de séjour en Espagne, attaque l’État français pour obtenir, entre autres choses, une allocation financière

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2021

     

    […]

     

    Une ancienne prostituée nigériane, originaire du Nigéria, a attaqué l’État français devant le tribunal administratif de Nantes, vendredi 10 décembre 2021, pour lui avoir refusé le bénéfice du Parcours de sortie de la prostitution (PSP) et d’insertion sociale et professionnelle créé en 2016.

    La Préfecture rejette son dossier

    Ce dispositif avait permis d’octroyer aux étrangers en situation irrégulière plusieurs facilités administratives pour qu’ils puissent s’affranchir de la prostitution : une autorisation provisoire de séjour de six mois minimum, une autorisation de travail, une allocation de 330 € par mois et un accompagnement socio-professionnel.

     

    […]

     

    « On lui reproche de disposer déjà d’un titre de séjour en Espagne, et que par conséquent ses intérêts ne seraient pas sur le territoire français »

     

    […]

     

    Le refus de la Préfecture se justifie en réalité par un troisième motif, qui se devine « en filigrane » de la décision litigieuse : on reproche à cette « jeune maman » d’avoir fait reconnaître son enfant par un Français « par fraude ».

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur L’Echo de la presqu’île guérandaise

  • Aux Sables-d’Olonne (85), la statue de Saint-Michel pourrait être bientôt déboulonnée suite à la mobilisation de la Libre Pensée (MàJ : le tribunal administratif ordonne qu’elle soit retirée dans les six mois)

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2021

    Aux Sables-d’Olonne, la statue de Saint-Michel pourrait être bientôt déboulonnée

    16/12/2021

    Saint Michel et son dragon vont-ils être terrassés par les Libres Penseurs de Vendée ? Saisi par cette association de défenseurs de la laïcité, le tribunal administratif de Nantes a ordonné, jeudi, à la ville des Sables d’Olonne, de retirer, dans les six mois, la statue de l’archange du domaine public communal. Mais «la Ville ne se laissera pas faire !», proclame le maire (DVD) Yannick Moreau, qui «au nom du bon sens«, a décidé de faire appel du jugement.

    Cette statue de Saint Michel que les militants de la Fédération de la Libre-pensée ne veulent plus voir se trouve, depuis 2018, sur le parvis de l’église Saint-Michel… place Saint-Michel, à deux pas de l’auditorium Saint-Michel, au cœur du quartier Saint-Michel. «Les quelques personnes qui fréquentent la paroisse, ça leur paraît peut-être normal. Mais les autres?, interroge Jean Regourd, président des Libres Penseurs de Vendée. Ils se disent: “Pourquoi est-ce que je croiserais un saint lorsque je sors de chez moi?” Ce jugement confirme qu’il faut respecter les convictions de toutes les citoyennes et les citoyens, et non satisfaire quelques-uns.» […]

    Le Figaro

    23/11/2021

    Une association laïque dénonçait « un emblème religieux sur l’espace public. » Le rapporteur public préconise l’enlèvement de la statue Saint-Michel, installée depuis 2018 devant l’église Saint-Michel, aux Sables-d’Olonne (Vendée).

    Elle trône devant l’église Saint-Michel depuis trois ans et son inauguration, le 6 octobre 2018 par l’ancien maire des Sables, Didier Gallot. Mais peut-être plus pour très longtemps. La statue de l’archange Saint-Michel, terrassant le dragon, semble promise à un déboulonnage imminent.

     

    « Oulala ! Une statue de Saint-Michel devant une église Saint-Michel ! La ville des Sables-d’Olonne ne se laissera pas intimider par des procès inutiles #cancelculture. » Le ton est donné.

     

    Réponse dans un mois

    La juridiction avait été saisie par la fédération de la Libre pensée de Vendée qui voit, dans ce bronze de près de deux mètres, un « emblème religieux sur l’espace public ».

     

    « La place de cette statue est sur la place Saint-Michel devant l’auditorium et l’église éponymes », estime quant à lui le maire. Les juges rendront leur décision dans un mois.

    www.ouest-france.fr

  • « Nous recevons 95 % d’hommes, souvent sans-papiers » : l’Armée du salut doit faire face à l’hostilité des riverains à Paris

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2021

    « Depuis le temps que c’est fermé, il fallait bien en faire quelque chose. Mais quand même… J’espère que ça n’attirera pas de problèmes de sécurité », raisonne avec prudence une habitante du 69, rue Saint-Fargeau à Paris (XXe). « Un accueil ? Quel accueil ? Ce n’est absolument pas ce qu’on nous a dit, et d’abord il faudrait l’accord de la copropriété ! » fulmine en revanche une autre copropriétaire de cette résidence arborée, en apprenant l’ouverture, en septembre 2022 après travaux, d’un accueil de jour de l’Armée du salut.

    […]

     

    Rue Saint-Fargeau (XXe), mardi. Samuel Coppens, porte-parole de la Fondation Armée du salut, et Marie Giudicelli, directrice du site de Saint-Fargeau


    « Nous pourrons proposer des choses que nous n’avions pas l’espace de faire, se réjouit Marie Giudicelli, et surtout nous créons deux salles de repos bien séparées, l’une pour les femmes, avec douches, sanitaires et espace hygiène, et une autre pour les hommes, qui restent très très largement majoritaires. Nous recevons 95 % d’hommes, souvent sans-papiers, et de plus en plus jeunes. »

    […]

     

    Une réunion d’apaisement contre les amalgames

    Pour autant, le pari humaniste de l’Armée du salut semble loin d’être gagné. La présentation rassurante et l’aura historique de bonne réputation de l’association, créée il y a près de 150 ans, ne suffisent pas à emporter l’accord des voisins les plus proches : les 99 copropriétaires de l’ensemble immobilier. « On nous a réunis en urgence en septembre en évoquant des locaux purement administratifs, s’agace l’une de ces résidents. La question d’un accueil n’a jamais été posée, d’ailleurs il faudrait une assemblée générale extraordinaire et croyez-moi, cette chose ne se fera pas ! Je n’ai rien contre l’Armée du salut, mais il est hors de question qu’on nous impose un endroit qui amènera des gens qui boivent, de la drogue. Notre résidence a de l’allure, elle est bien cotée, on se saigne pour avoir un bien agréable, ce jardin… Vous imaginez ce que cela va devenir ? Nous n’en voulons pas. »

    Face à cet avis de rébellion, l’Armée du salut et ses partenaires espèrent convaincre par « la transparence ». « Nous ne pouvons empêcher les gens de faire des amalgames, regrette Samuel Coppens, donc nous craignons forcément une hostilité des riverains. Mais ils doivent savoir qu’il n’est absolument pas question de salle de consommation de crack, comme nous l’avons entendu ! Notre volonté est d’être le plus clairs possible. Nous avons cette volonté farouche que l’accueil de jour soit un lieu de dignité et de service rendu, à la hauteur de la réputation de l’Armée du salut. » Une réunion d’information-concertation doit avoir lieu avant la fin du mois avec les habitants.

    Le Parisien via fdesouche