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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1451

  • L’obligation vaccinale : une nouvelle religion ?

    Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2021

    leblogalupus

    Publié par Antonin Campana sur 16 Juillet 2021

     
    L’obligation vaccinale : une nouvelle religion ?

    Si j’ai bien compris l’allocution de l’autre, je ne pourrai plus aller au restaurant, au café ou au cinéma. Je ne pourrai plus prendre le train ou l’avion.

    Je ne pourrai plus aller voir ma mère en EHPAD !!!

    Je ne pourrai plus me faire soigner !

    Et il faudra que j’accepte que mes enfants et mes petits-enfants se fassent bientôt injecter un produit expérimental dont les fabricants ont décliné toute responsabilité en cas de problème à court, moyen ou long terme.

    Putain, on se révolte quand ???

     

     

    Martin Blachier: « Aujourd’hui il y a une guerre et cette guerre est contre les antivax et je le dis clairement, ce sont des gens qui n’ont aucun scrupule ! Ces gens sont aussi dangereux que d’autres groupuscules ! » (LCI, 14 juillet 2021).

    Ce discours est-il un discours digne d’un médecin, d’un “homme de science“ ? On croirait entendre un militant politique, ou plutôt un Josué prêt à envoyer ses troupes sur Jéricho afin d’y massacrer une humanité perverse, femmes, enfants et vieillards compris. La guerre dont parle Martin serait-elle une guerre de religion ? Une guerre sainte contre des « antivax » par nature malfaisants et dangereux pour la vraie foi vaccinale ?

    En fait, tout montre, dans cette affaire vaccinale, qu’il n’est question que de foi.

    Une foi en un Vaccin, sorte de Dieu jaloux qui, par l’action brutale de ses sectateurs, a renvoyé au rang des mythologies les « faux dieux » que sont l’Hydroxychloroquine ou l’Ivermectine.

    Une foi en un Dieu unique qui a forcé à l’oubli des divinités archaïques : vitamine D, zinc ou plein air.

    Une foi en l’injection, sacrement et baptême par lequel le fidèle affirme publiquement son espérance en la toute puissance du nouveau Dieu.

    Il s’agit bien de foi, et cette toute puissance fait partie du Credo. Mais que sait-on objectivement  de cette puissance ? Sait-on seulement si le Dieu censé la manifester auprès des croyants de la Nouvelle Eglise sera pour ceux-ci un Dieu bénéfique ou bien… un Dieu nuisible ? Mauvaise question pour le nouveau clergé : « croyez en Lui et vous serez sauvés » est un autre article du Crédo.

     Certains disent pourtant que ce Dieu est Satan en personne et qu’il faut à tout prix refuser son baptême maléfique ! Il est vrai que ceux-là sont des grands prêtres d’avant, des sommités des anciennes religions, autrefois couverts d’honneur, aujourd’hui bafoués par de petits bedeaux servant la nouvelle messe sur les écrans de télévision.

    Et puis il y a maintenant la croisade, la guerre sainte, celle qui diabolise l’incroyant, l’avilit, le stigmatise, le condamne, le renvoie à son caractère pervers et « sans aucun scrupule ». Il faut lui interdire les lieux que fréquentent les fidèles, dit Macron (il pourrait les « contaminer »). L’idéal serait sans doute de le confiner et de l’isoler dans quelque ghetto, pense tout bas le Très Saint-Président de la République. Car il est « dangereux » surenchérit le vertueux Martin. Il ne faut pas le soigner s’il est malade affirme l’immaculé Jean-Christophe Lagarde.  

    S’appuyant sur une logique biblique de la pureté et de l’impureté corporelle, les gens du Moyen-âge excluaient de la société les « cagots », qui selon eux étaient susceptibles de véhiculer la lèpre. Pour le philosophe Christian Delacampagne, cette exclusion fut une des « incarnations majeures du racisme médiéval ». Or, Emmanuel Macron a réactivé ce « racisme médiéval » en substituant les non-vaccinés aux cagots. Nous noterons qu’il utilise les mêmes arguties religieuses de la pureté et de l’impureté biologique. Il semblait pourtant qu’elles avaient été définitivement invalidées par la médecine de la fin du XVIe siècle ! Qui a dit que l’histoire ne se répétait pas ?    

    Dieu unique, foi en son infinie puissance, baptême par injection (et non plus immersion), anathème jeté à l’infidèle, exclusion des hérétiques, croisade contre les impies, promesse de paradis (sanitaire) pour les fidèles, enfer (social) pour les infidèles, évangélisation (médiatique), discriminations fondées sur la religion (professions interdites aux infidèles : soignants, restaurateurs, etc.)  : nous sommes bien face à une nouvelle religion hégémonique (et totalitaire),  révélée par des prophètes médiatisés de la Science.

    Pour les inquisiteurs covidistes, faire usage de sa raison et de bon sens, douter en un mot, revient à manifester une sorte de possession démoniaque. Comme la sorcière du Moyen-âge, les inquisiteurs modernes considèrent que par le simple fait d’exister, le non-vacciné inflige des maux au vacciné. Il faut donc faire disparaître les non-vaccinés de l’espace public. Il faut les éradiquer, soit par la conversion (en les « évangélisant » de manière à en faire des vaccinés), soit par l’exclusion (interdictions de certains lieux, de certaines professions, isolement, etc.).

    Ne croyez pas que cette comparaison médiévale soit déplacée. Un Martin Blachier est la version moderne d’un Torquemada. Fondamentalement sa certitude d’être dans le Bien et sa volonté d’éradiquer le Mal sont les mêmes que celles de l’inquisiteur. La Bulle gouvernementale contre l’hérésie antivax le fortifie encore dans sa foi.

    Attention aux bûchers !

    Antonin Campana

    http://www.autochtonisme.com/2021/07/allocution-de-micron-putain-on-se-revolte-quand.html

     

  • Lyon (2e arr.) : des habitants attaqués au mortier, les immeubles d’habitations visés, il s’agirait une “action punitive” contre les riverains qui se plaignaient de l’insécurité dans le quartier

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021

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    Ce jeudi matin, LyonMag réalisait le bilan de la nuit de la Fête Nationale, avec notamment des incidents dans l’est lyonnais. Mais selon plusieurs témoins, des débordements ont aussi éclaté dans le quartier de la Confluence, dans le 2e arrondissement de Lyon. 

    Selon nos informations, un groupe de jeunes individus ont d’abord attaqué ce mercredi soir le collège Jean-Monnet situé rue Seguin, à quelques mètres de la caserne de gendarmerie du Général de Division Delfosse. Le groupe serait passé par les rails de la SNCF pour se positionner à l’arrière de l’établissement et caillasser les baies vitrées. Plusieurs d’entre-elles ont été brisées. Les faits se seraient déroulés durant le feu d’artifice tiré à Lyon, pour mieux couvrir le bruit des vitres qui tombaient. 

    (…) Cette fois, ce sont des immeubles d’habitations qui ont été visés avec des tirs de mortiers d’artifice. Des violences filmées par des riverains alors choqués, d’autant que certains étaient la cible directe de menaces de la part des agresseurs.

    (…) Ces attaques pourraient être le résultat d’une “action punitive organisée par une vingtaine de personnes cagoulées” après que des habitants du quartier se soient plaints de nuisances depuis plusieurs mois, et notamment des rodéos et des trafics de stupéfiants. Des plaintes ont été déposées, des enquêtes sont en cours. “On ne peut pas faire venir des milliers de personnes dans le quartier sans mettre un policier, ou des travailleurs sociaux supplémentaires” déplorait un riverain au lendemain des faits. 

    Lyon Mag via fdesouche

     

  • Des Nantais manifestent pour dénoncer l’explosion de l’insécurité dans leur ville et le laxisme de la justice : « Pourquoi les agresseurs sont-ils immédiatement relâchés ? »

    L’insécurité et la justice sont au cœur de leurs actions. (…) Le groupe S2N (Sécurité de Nantes) organise un rassemblement, place Royale, pour « dire stop à l’insécurité » et demander des moyens à la justice de poursuivre et condamner les personnes qui nuisent à la sécurité. Le rassemblement est suivi d’une marche vers le palais de justice.

    « Aujourd’hui, notre ville ne connaît pas une seule journée sans que de multiples agressions se produisent. Vol à l’arraché, vol en réunion, passage à tabac, agression à l’arme blanche, tirs de mortier d’artifice, etc. », dénonce le groupe S2N (Sécurité de Nantes).

    Guillaume, fondateur de l’association S2n ne décolère pas : « Ça continue. C’est même de pire en pire. La semaine dernière, il y a eu des tirs de mortier en pleine terrasse de centre-ville. »

    (…) Les membres de S2N demandent « à la justice, représentée localement par le procureur de la République de Nantes, de réagir. Nous ne pouvons accepter qu’un individu soit arrêté, après de multiples délits, puis immédiatement relâché, et ce plusieurs fois par semaine. Vous pouvez mettre toujours plus de policiers dans les rues, si la justice ne se donne pas les moyens de poursuivre et condamner les personnes qui nuisent à notre sécurité, cette situation n’arrêtera pas de se dégrader ».

    Sur la place Royale, ils se demandent « pourquoi ils ne sont pas punis. Pourquoi ils ne sont pas arrêtés ? Pourquoi ils sont immédiatement relâchés ? Pourquoi il n’y a pas de poursuite ? Pourquoi ? Que fait la justice ? On veut des réponses. » Le mini cortège doit se diriger vers le tribunal.

    (…) Ouest-France via fdesouche

  • 17 juillet 1936, début du soulèvement nationaliste contre le gouvernement de Frente popular

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021

    17 juillet 1936, début du soulèvement nationaliste contre le gouvernement de Frente popular — Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), Unión General de Trabajadores (UGT), Parti communiste d'Espagne (PCE), Confédération Nationale du Travail (CNT), Parti ouvrier d'unification marxiste (POUM) — et la multiplication des exactions, grèves, incendies d'églises plongeant l'Espagne dans le chaos révolutionnaire rouge et noir.
    Soutenue par la Phalange et les organisations carlistes, l'armée d'Espagne prend ses responsabilités.
    Au delà des seules tribunes.
    JFT.
    Peut être une image de 1 personne, position debout, monument et plein air