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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1676

  • À Poitiers, le « chêne de Jean de la Fontaine » incendié. Les très vieux arbres de plus en plus victimes de destruction

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2021

    Que se passe-t-il en France ?
    Même les vieux arbres sont pris à partie et n’échappent pas à l’ensauvagement de la société…
    Là c’est un magnifique chêne près de Poitiers, mais, par exemple, en juin dernier, un vieux platane (classé « remarquable ») était détruit en Alsace. En 2017, c’était une aubépine tricentenaire brûlée à Limoges. Ou encore, en 2016, c’était un chêne de 800 ans, volontairement incendié dans le Morbihan.

    « Un magnifique arbre de 350 ans situé sur le chemin de la Matauderie à Poitiers, classé arbre remarquable et qui aurait inspiré le poète lui-même, a été incendié dans la nuit de samedi à dimanche dernier 31 janvier, rapporte France3 Nouvelle Aquitaine .

    La découverte a été faite dimanche matin peu après 8 heures, un habitant entendant le craquement de l’effondrement du tronc. Les gérants d’une écurie voisine ont ensuite alerté les pompiers, qui ont découvert la souche calcinée. Avec ses 30 mètres de haut, ses 25 mètres d’envergure et ses 6 mètres de circonférence, le chêne rouvre était un arbre remarquable, et avait été labellisé par l’association nationale Arbres comme tel il y a deux ans.

    Il était également connu pour son histoire particulière, vieille de 350 ans. Dans ses jeunes années, le chêne aurait attiré l’œil de Jean de La Fontaine (1621-1695). […]

    Le chêne, devenu creux, abritait des espèces cavernicoles, et faisait pour cette raison l’objet d’un suivi scientifique régulier. «On perd aussi en génétique, car malgré son grand âge ce chêne faisait encore ses glandées, et ses glands étaient porteurs de toutes les qualités de ce grand arbre», déplore ainsi Dominique Saumet, bénévole de l’association Vienne Nature. Dans l’immédiat, le commissariat de Poitiers refusait de communiquer sur l’ouverture éventuelle d’une enquête. […] » (source)

    Pourquoi se posent-ils la question d’ouvrir une enquête ? Sont-ils trop occupés à pourchasser les Français honnêtes qui ont mis un commentaire politiquement incorrect sur internet ?!

  • Au moins 9 membres du gouvernement sont membres du « Siècle »

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2021

    Les dîners du Siècle se déroulent dans des locaux prestigieux sous protection policière.

    Nous avons régulièrement parlé ici, depuis dix ans, du club « Le Siècle ».
    Fondé en septembre 1944, il entend regrouper ceux qui comptent (ou désirent compter) en France dans les domaines politique, économique, médiatique ou culturel.
    Il regroupe entre cinq cents et mille membres selon les périodes, et une proportion importante des ministres en exercice : selon les gouvernements de 20% à 72% (sous Balladur).
    Gauche ou prétendue « droite », on s’y retrouve donc, notamment pour un dîner mensuel, entre copains et coquins aux dents longues, loin des fausses querelles politiciennes dans les médias, après la farce démocratique, dans un même réseau.
    Ils s’engagent à ne rien répéter de ce qui se dit au cours des réunions…

    La liste des membres est d’ordinaire secrète mais il y a parfois des fuites.

    « Or, nos confrères de l’Obs ont pu se procurer son annuaire, pourtant estampillé « confidentiel » en lettres capitales rouges. Et il se trouve que parmi ces membres, jugés pourtant « vieillissants », se trouvent onze membres du gouvernement ainsi que d’anciennes figures ayant servi sous Emmanuel Macron.

    La liste dévoilée par l’Obs comprend donc : Edouard Philippe (l’ancien Premier ministre), Muriel Pénicaud (ex-ministre du Travail), Jean-Michel Blanquer (ministre de l’Éducation), Gérald Darmanin (ministre de l’Intérieur), Florence Parly (ministre des Armées), Élisabeth Borne (ministre du Travail), Sébastien Lecornu (ministre des Outre-mer), Emmanuelle Wargon (ministre déléguée au Logement), Amélie de Montchalin (ministre de la Fonction publique), Agnès Pannier-Runacher (ministre de l’Industrie), Jean-Baptiste Djebbari (ministre des Transports), Franck Riester (ministre du Commerce extérieur), Clément Beaune (secrétaire d’État aux Affaires européennes) et Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée. »

    source

    via contre-info

  • La France a importé 10,3 milliards d’euros de produits liés à la crise sanitaire dont 5,3 milliards en masques chinois en 2020

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2021

    La France a dépensé autant à l’étranger en achats de masques en un an que sur son territoire pour investir dans la santé sur cinq ans. Mais les industriels français s’attaquent au marché

    La France a importé 10,3 milliards d’euros de produits liés à la crise sanitaire en 2020, en hausse de 7,2 milliards d’euros par rapport à 2019. Il s’agit en majorité de masques (pour 127 000 tonnes) et de réactifs pour les tests, tous deux achetés en Chine.

    Ils ne coûtent que quelques dizaines de centimes l’unité, mais mis bout à bout, ça fait beaucoup. L’année dernière, la France a dépensé 10,3 milliards d’euros en produits liés à la lutte contre la Covid-19, trois fois plus qu’en temps normal, a indiqué vendredi le ministre du commerce extérieur Franck Riester.

    Dans le détail : 5,9 milliards d’euros (soit 57 % du montant total) ont été dévolus à l’achat de masques (chirurgicaux, FFP2 ou FFP3, et textiles), dont 84 % ont été importés de Chine. Cela représente 126 702 tonnes de masques. Ils expliquent les trois quarts de la hausse de nos importations de produits liés à la lutte contre la pandémie.

    Pour comparaison, le gouvernement va investir autant (6 milliards d’euros) ces cinq prochaines années sur l’Hexagone pour rénover et construire des hôpitaux et moderniser les outils numériques dans la santé.

    Le deuxième poste de dépenses d’importations correspond aux réactifs utilisés pour les tests, pour lesquels nous avons dépensé 1,6 milliard d’euros. Là aussi, ils viennent surtout de Chine. D’ailleurs, notre solde commercial avec la Chine s’est dégradé de 6,6 milliards d’euros à -38,3 milliards d’euros en 2020, dont 5,3 milliards d’euros d’importations de biens Covid.

    Le reste des importations liées à la Covid-19 est constitué de solutions alcooliques et désinfectants, de respirateurs et appareils d’oxygénation, de blouses chirurgicales et autres équipements de protection à usage unique, de draps…

    Suite sur L’Opinion via fdesouche

  • “C’est la guerre” : à Carcassonne, des policiers pris dans un guet-apens et visés par des tirs de mortiers aux cris de “Wallah !”

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2021

    Dans la nuit du jeudi 4 au vendredi 5 février, au cœur du quartier La Conte à Carcassonne, la police et des bus ont été la cible de tirs nourris de mortiers d’artifices.

    (…) Le policier confie qu’il n’a pas eu peur, mais il conçoit que des éléments plus jeunes puissent avoir la boule au ventre quand ils se rendent sur de tels événements: “Il faut avoir du métier pour affronter ces situations, et de l’entraînement. La police municipale a beaucoup évolué ces dernières années, mais en face ils évoluent encore plus vite. On voit aujourd’hui à Carcassonne ce qu’on voyait habituellement dans les grandes villes comme Marseille ou Paris. Sur le terrain, les “grands frères” nous disent de laisser faire, comme s’il fallait que jeunesse se fasse. Mais il ne s’agit pas d’un jeu, c’est bien plus grave que ça: c’est un entraînement, ils se préparent, ils apprennent à viser, à se replier, à tendre des embuscades. Ils ont 15-16 ans mais il ne faut pas prendre ça à la légère. Plus ça va aller, plus ce sera difficile: là, encore, avec le couvre-feu on a la possibilité de les faire rentrer, mais quand ce sera fini on va avoir de grosses surprises”.

    (…) Or, la nuit du jeudi 4 février fut caractérisée par une attaque préméditée aux mortiers d’artifices, au cœur du quartier La Conte, sur des agents de la police municipale. Des scènes terribles filmées via Snapchat en toute fierté par les auteurs de ces attaques scandaleuses aux cris de «wallah»! Certains des ces agents ont été blessés à la jambe et sont devenus sourds quelques heures…

    (…) La Dépêche

    « Ca n’arrête pas… »

    18h15, les policiers municipaux réalisent un contrôle de routine. « Il a rapidement dégénéré, avec plusieurs dizaines d’individus qui se sont rapprochés » raconte David Leyraud, délégué régional adjoint du syndicat Police Alliance. « La police nationale est arrivée en renfort. »

    Très rapidement, policiers municipaux et nationaux ont été la cible de nombreux tirs de mortiers d’artifice venant de plusieurs endroits. Ca n’arrête pas. Certes, la préfète l’avait condamné en octobre. Mais on est extrêmement inquiets, parce que ce qu’il s’est passé hier à 18h15, sur ce secteur de la Conte, un secteur sensible, on le sait très bien, avec de la délinquance et des trafics, ce n’était pas un guet apens. C’est juste un contrôle qui a dégénéré.

    David LeyraudSyndicat Police Alliance

    Les phénomènes similaires s’enchainent dans la préfecture de l’Aude. « Ca fait plus d’une dizaine de fois que ça arrive depuis septembre 2020. En octobre, on en était déjà à quatre ou cinq, ça ne s’est pas calmé à Noël. On est le 5 février, ça ne se calme toujours pas » déplore David Leyraud.

    Actu.fr

  • C’était un 6 février… 1934

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2021

    À l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

    Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

    22 Français mourront sous les balles ou les coups de la République (liste ci-dessous) et plus d’un millier sera blessé.

    La Gauche prétendra qu’il s’est agi d’une tentative de « coup d’Etat fasciste » et à son arrivée au pouvoir en 1936, dissoudra les puissantes ligues.
    Côté patriote, les déçus de l’attitude de Maurras (maniant la plume dans les locaux du journal ce soir-là, pendant que les militants se battaient et souhaitaient pour nombre d’entre eux prendre la Chambre) vont créer une organisation clandestine qui fera beaucoup parler d’elle : « la Cagoule » (lire article ici).

    Chaque année les nationalistes rendent hommage à ces morts.
    Comme Robert Brasillach en son temps :

    « Pour nous, nous n’avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la Concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d’une Révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu’importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n’empêchera pas ce qui a été d’avoir été. »

    Robert Brasillach, in Notre avant-guerre.

    Les morts du 6 février :

    – AUFSCHNEIDER Alphonse, mort pour la France
    De Schiltigheim (Bas-Rhin), 37 ans, valet de chambre, tué d’une balle au cœur près de la place de la Concorde. Il était ligueur d’Action française.
    – CAMBO Costa, mort pour la France
    42 ans, d’origine hellénique, naturalisé Français, musicien sans travail, mort le 9 février des multiples blessures reçues dans la nuit du 6. Allié d’Action française.
    – CHEYNIER LE JOUHAN DE NOBLENS Gratien, mort pour la France
    55 ans, industriel, ancien combattant, frère de trois combattants morts pour la France, marié et père d’un enfant de 7 ans ½, membre de la Solidarité française. Atteint d’une balle entre les yeux.
    Il fut frappé et piétiné avec un acharnement bestial, comme le prouvent les nombreuses contusions et fractures du crâne, du nez et de la mâchoire que l’on releva sur lui. Il décéda quelques heures après son transport à l’hôpital Beaujon.
    – COUDREAU Raymond, mort pour la France
    49 ans, commis-livreur dans une mercerie en gros ; n’appartenant à aucune association politique, veuf et père de six enfants, dont deux en bas âge.
    – ETHEVENEAUX Louis, mort pour la France
    25 ans, garçon charcutier, reçut, près de la Madeleine, un coup de matraque d’un policier et mourut d’une fracture du crâne.
    – FABRE Jean-Eloi, mort pour la France
    Etudiant en médecine, interne à l’hôpital Saint-Joseph, membre des Jeunesses patriotes, tué d’une balle au cœur devant le pont de la Concorde. Il avait été blessé en 1925, lors d’un guet-apens organisé rue Damrémont par les communistes.
    – GARNIEL Lucien, mort pour la France
    Garçon boucher, 16 ans, blessé d’une balle qui l’atteignit à la colonne vertébrale, mort le 1er novembre, après une longue et douloureuse agonie.
    – Mlle GOURLAND Corentine, morte pour la France
    Femme de chambre, 34 ans, tuée d’une balle à la tête sur la terrasse de l’hôtel Grillon, place de la Concorde.
    – JAVEY André, mort pour la France
    39 ans, n’appartenant à aucune association politique, ancien combattant, blessé aux Eparges, croix de guerre. Succomba à ses blessures le 11 février.
    – LABOUCHEIX Marius, mort pour la France
    Directeur administratif de la société « L’Energie industrielle », ancien combattant, laisse deux orphelins, frappé d’une balle en arrivant près de la place de la Concorde.
    – LALANDE Raymond, mort pour la France
    Menuisier et tapissier d’autos, 24 ans. Atteint sur la place de la Concorde d’une balle qui lui fit éclater le tibia. Succomba des suites de sa blessure le 5 février 1936. S’était inscrit aux Camelots du Roi après le 6 février.
    – LAMMERT Henri, mort pour la France
    31 ans, officier mitrailleur de réserve, gérant d’un hôtel meublé appartenant à ses parents. Ne faisant partie d’aucune association politique. Tué d’une balle dans le dos, sur la place de la Concorde. Il laissait une veuve sur le point d’accoucher.
    – LECOMTE Jules, mort pour la France
    35 ans, engagé dans la marine à 19 ans embarqué sur les patrouilleurs de la division de la Loire, ouvrier à l’usine Renault, succomba le 12 février, ayant reçu une balle dans le ventre. Marié, sans enfant, il était Ligueur d’Action française et chef d’équipe de Camelots du Roi.
    – LIEVIN Charles, mort pour la France
    Cuisinier, 34 ans, blessé le 6 février 1934 d’une balle à la colonne vertébrale, mort le 6 décembre 1935, après vingt et un mois d’atroces souffrances, laissant une femme sans ressources.– MEZZIANE Ali, mort pour la France
    28 ans, musulman, membre de la Solidarité française, manœuvre en chômage, écrasé par un camion de la police lancé à toute allure, puis achevé à coup de pied et de matraque. Mort le 7 février.
    – MOPIN Jean, mort pour la France
    24 ans, atteint à la colonne vertébrale, mort le 7 décembre d’une infection généralisée, après de longs mois de souffrances héroïquement supportées. Il a été inhumé à Compiègne.
    – MUNNIER Albert, mort pour la France
    27 ans, comptable, depuis quelques mois sans travail, tué d’une balle de révolver dans la tête, rue Boissy-d’Anglas. Il était marié et père d’un bébé de 18 mois.
    – PEUZIAT René-Alain, mort pour la France
    29 ans, frère du champion cycliste, n’appartenant à aucune association politique.
    – ROSSIGNOL Raymond, mort pour la France
    37 ans, industriel, ancien combattant, membre des Jeunesses patriotes, officier de réserve de cavalerie, marié, père d’un enfant de 12 ans, tué d’une balle de révolver en pleine tête devant le pont de la Concorde.
    – ROUBAUDI Georges, mort pour la France
    36 ans, industriel, directeur d’une grande maison d’importation et d’exportation de soierie occupant 200 ouvriers, ancien combattant, engagé volontaire à 17 ans, croix de guerre avec deux citations, marié et père de trois enfants dont l’aîné n’avait pas 6ans. Ligueur d’Action française et membre de l’Association Marius Plateau.
    – SOUGARY Alfred, mort pour la France
    30 ans, dessinateur, membre de l’Association des Décorés de la Légion d’honneur au péril de leur vie, fut tué à coups de matraque et relevé la colonne vertébrale complètement disloquée.
    – VAURY Henri, mort pour la France
    39 ans, ancien combattant.

     

    Source : contre-info