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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1673

  • 130 caravanes des gens du voyage installées sur des parkings, la colère du maire de Blagnac (31) : « Il y en a partout. C’est une invasion. On va devoir tout remettre en état. »

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2021

    Joseph Carles, le maire (centre gauche) de Blagnac, est très inquiet. Depuis quelques jours, environ cent trente caravanes se sont installées sur les vastes parkings du musée Aeroscopia et de plusieurs restaurants proches du centre commercial, fermés depuis fin octobre. Si la galerie marchande du centre Leclerc est interdite depuis dix jours, si le complexe de cinéma CGR reste fermé, les gens du voyage apprécient visiblement l’hypermarché et les grandes surfaces spécialisées voisines.

    «Il y en a partout. C’est une invasion, et ça continue.  Combien de caravanes vont-elles arriver ?Ce doit être insupportable pour les restaurateurs, contraints à la fermeture depuis plusieurs mois, et qui voient leurs parkings envahis. C’est la double peine», fulmine Joseph Carles

    […]

    Joseph Carles s’inquiète à l’avance. «Par expérience, on sait que l’on va devoir assumer le nettoyage des sites, qu’on va devoir remettre en état des armoires électriques ou des bornes incendie.  à chaque fois, on en a pour 5 à 10 000 € pour remettre en état des terrains que l’on retrouve dans un état déplorable». Hier, il a prévenu Jean-Luc Moudenc,  président de Toulouse Métropole, qui gère désormais Aeroscopia, et «parce que cela peut arriver à d’autres communes». Il a  aussi alerté le préfet, tout en essayant de contacter les propriétaires des restaurants concernés : «Un maire ne peut rien faire sur un terrain privé. C’est aux propriétaires de saisir la justice et d’intenter un référé». Sans trop d’espoir : «Les gens du voyage le savent. Cela prend souvent trois semaines. Et ils s’en vont souvent  ailleurs, juste avant l’arrivée des forces de l’ordre pour  l’expulsion». 

    […]

    La Dépêche via fdesouche

  • Immigration : enquête UE sur les dépenses de Frontex

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2021

    En Europe, et notamment en Italie, pays aux milliers de km de frontières maritimes, les migrants clandestins continuent de débarquer par bateaux d’ONG ou embarcations de fortune, et les ports restent ouverts aux navires des ONG avec de nombreuses personnes qui arrivent infectées par le covid.

    Un problème qui devrait en premier concerner Frontex, l’agence européenne de contrôle des frontières. La structure a d’autres problèmes : devenue de plus en plus imposante, elle a fait l’objet d’une enquête d’Olaf, l’organisme antifraude interne de l’UE. L’Agence semble être devenue une machine mangeuse d’argent avec beaucoup de dépenses folles, qui ont très peu à voir avec la lutte contre l’immigration illégale.

    De 2015 à 2019, Frontex a dépensé 2,1 millions d’euros pour cinq événements annuels, que l’agence organise comme une autocélébration. Le journal EUobserver a passé en revue les budgets et a constaté que 94 000 euros avaient été dépensés en un seul dîner au luxueux restaurant Belvedere à Varsovie. Les invités étaient 800 même si on ne sait pas combien étaient réellement présents. Le sommet a été atteint avec l’événement à Sopot, une station balnéaire renommée de la mer Baltique où aucun migrant n’arrive par bateaux. Pour l’événement, les contribuables européens ont déboursé 580 152,22 €.

    Le bureau de presse de l’Agence a déclaré qu’ « avant la comparution du covid, Frontex avait décidé de ne plus tenir l’événement » interrompu en 2020. Il est dommage que d’autres dépenses discutables aient également été mises à jour : Frontex a dépensé 1 million d’euros pour le poste « réunions ». Sans oublier les détails : 17 500 euros pour huit fauteuils finlandais en cuir noir ou 137 000 euros pour refaire le logo de l’agence. Un dîner de Noël des employés a coûté 22 000 euros et une vidéo d’entreprise diffusée par Fuori dal coro montre un cadre qui explique franchement : « Nous avons diverses activités de groupe comme la voile, l’opéra et les matchs de football ». Les employés au siège de Frontex dans le centre de Varsovie sont 1500 et coûtent chaque année 20 millions d’euros. Le budget de Frontex est passé de 6,3 millions d’euros en 2005 à 1,1 milliard d’euros cette année. Et en 2027, on s’attend à ce que l’Agence dispose d’une « armée » de 10 000 personnes.

    L’Office européen de lutte antifraude (Olaf) a ouvert une enquête, confirmée en janvier, non seulement sur les dépenses folles. En décembre, cependant, il avait perquisitionné les bureaux de Leggeri, le directeur de Frontex, et de son chef de cabinet pour un contrat douteux avec une société informatique polonaise. Ces derniers jours, certains documents sont apparus, déjà appelés « dossiers Frontex », sur des rencontres avec des lobbyistes dans le domaine de la sécurité, qui n’auraient pas respecté les règles strictes fixées par Bruxelles. De 2017 à 2019, plus de 70% des réunions (105 sur 149) ont eu lieu avec des personnes non certifiées dans le registre de transparence de l’UE. Cinq réunions régulières ont également eu lieu avec Leonardo, l’un des principaux groupes internationaux du secteur aéronautique, spatial, de télécommunications et de satellites. Frontex s’intéresse aux drones et à la technologie de surveillance des frontières ainsi qu’à la reconnaissance biométrique.

    En attendant, le dernier débarquement en Italie concerne 32 migrants arrivés avec un voilier dans la province de Reggio de Calabre. Sans parler de l’Ocean Viking, fleuron des ONG, appartenant à SOS Méditerranée, qui a trouvé un port ouvert en Sicile pour y amener 422 migrants (125 mineurs) récupérés au large des côtes libyennes à Augusta. Jusqu’à hier soir, 49 avait le covid, mais ce n’est pas grave, le confinement et strictes mesures ne sont que pour les autochtones…

    Dans le viseur de l’Union Européenne se retrouve aussi le directeur de Frontex, Fabrice Leggeri, la « bête noire » des ONG d’extrême-gauche, les talibans de l’accueil à tous prix et de nombreux eurodéputés, notamment de gauche. Alors l’enquête de Olaf, est-ce une campagne organisée pour éliminer Leggeri et réduire Frontex ? Et ainsi affaiblir la lutte officielle, déjà bien mince, contre l’immigration illégale…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Trappes, « ville perdue »

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2021

    synthesenationale

    trappes,ville perdue

    Franck Delétraz

    Avec sa population à une écrasante majorité musulmane et ses 70 nationalités, ses mosquées salafistes et ses rues envahies de commerces mahométans, ses quelque 80 départs de djihadistes pour la Syrie et son maire qui ne cache pas ses sympathies pour les « barbus », la réputation de la ville de Trappes (Yvelines), surnommé le « Trappistan » par nos services de renseignements, n’est plus vraiment à faire. Emblématique de ces innombrables enclaves étrangères islamistes qui se constituent sur notre sol depuis des années grâce à l’incroyable lâcheté de nos gouvernements de droite comme de gauche, cette « Molenbeek française » nous donne cependant aujourd’hui, au travers du cauchemar que subit depuis des mois le professeur Didier Lemaire, un avant-goût de plus de ce que sera bientôt notre pays tout entier si les autorités continuent de fermer lâchement les yeux.

    Depuis novembre 2020, en effet, cet enseignant en philosophie, dont il faut saluer ici le courage, ne peut quasiment plus sortir de chez lui, et, lorsqu’il y est contraint, ne peut le faire que sous escorte policière ! Son « crime » ? Avoir osé publier, à la suite de l’égorgement de Samuel Paty par un djihadiste tchétchène, une lettre ouverte pour dénoncer « la menace islamiste dans sa ville » et la responsabilité accablante du gouvernement dans cette très grave et inquiétante dérive. Il faut dire que, après une vingtaine d’années passées dans un lycée ethnique de Trappes, Didier Lemaire sait largement de quoi il parle : témoin privilégié de l’islamisation à marche forcée de sa ville, il a même déjà tenté d’alerter le président en 2018 en lui adressant, avec Jean-Pierre Obin, une lettre pour l’exhorter à agir enfin « pour protéger la jeunesse de l’influence des islamistes ». Et depuis ? Depuis, rien n’a été fait. Au point que, comme le confie aujourd’hui Didier Lemaire, « je considère Trappes comme une ville définitivement perdue. [...] On n’a plus beaucoup de temps avant que cela ne dégénère. Nombre de ces enfants sont élevés dans la haine de la France. Nous ne sommes pas loin d’un scénario à l’algérienne et nous ne sommes plus dans un état de paix. Il nous faut des lois d’exception qui visent l’ennemi et ne s’appliquent qu’à l’ennemi ».

    Un discours de vérité qui lui vaut non seulement d’innombrables menaces de mort, mais aussi de faire l’objet d’une ignoble cabale orchestrée par le maire lui-même, Ali Rabeh, dont l’élection vient d’être annulée par la justice et qui a été condamné à un an d’inéligibilité. En effet, a témoigné l’enseignant, « le maire colporte dans la ville des accusations mensongères et haineuses qui me désignent en tant que cible potentielle ». Or, « c’est un procédé dégueulasse, après ce qui est arrivé à Samuel Paty. Il me jette en pâture et me met en danger ». Et pourtant les autorités ne semblent pas s’inquiéter plus que cela de cette situation.

    En tout cas, il y en a un que l’islamisation de Trappes ne dérange pas et rend même plutôt « enthousiaste » : c’est le père Etienne Guillet, prêtre du diocèse de Versailles depuis 2006, qui expliquait encore récemment avoir « bâti avec les musulmans » de la commune « une belle relation de confiance » et se vantait de tutoyer le maire aux sympathies salafistes pourtant à peine déguisées.

    Source : Présent 9/02/2021

  • Violences urbaines à Méru (60) : Près de 60 gendarmes ciblés par des tirs de mortiers. “Nous n’avons pas de revendication”, clament les agresseurs

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2021

    Dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 février, à l’entrée du quartier de la Nacre, à Méru, une quinzaine d’individus ont visé les gendarmes avec des tirs de mortier d’artifice. Sans revendication, confient les agresseurs au Courrier picard. Ce dimanche après-midi, les habitants, eux, étaient encore apeurés.

    Après le caillassage dont ont été victimes près de 60 gendarmes et trois salariés de l’Office public d’aménagement et de construction (Opac) de l’Oise dans la nuit du vendredi 5 au samedi 6 février, rue Aristide-Briand.

    (…) Courrier Picard via fdesouche