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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 660

  • Terre de France : se réapproprier l’industrie textile

    Publié par Guy de Laferrière le 01 décembre 2022

    [Publi-rédactionnel] Terre de France : se réapproprier l’industrie textile

    Terre de France imagine et conçoit des produits locaux, dans un esprit de petite entreprise familiale. Lancée en 2018 avec une collection de parfums et de savons, Terre de France s’est lancé un défi aux antipodes du monde globalisé que certains voudraient nous imposer : des produits Made in France accessibles et une image patriote revendiquée. Après la maroquinerie, le café, l’art de la table, la maison familiale a développé ses activités dans les vêtements. En septembre dernier, ils ont investi près de 150 000 € dans un atelier de confection textile près d’Aix-en-Provence. Aujourd’hui, le modeste établissement compte déjà 7 couturières dans ses rangs, et ne compte pas s’arrêter là. T-shirts, sweats, boxers mais aussi chemises sont sortis des lignes de production. L’objectif étant de montrer que l’on peut réaliser des vêtements fabriqués en France à un coût raisonnable, en coupant court avec notre système d’importation massive. Bien sûr, le Made in France est souvent hors de prix, une pièce confectionnée pouvant demander plusieurs heures de travail. C’est pourquoi Terre de France essaie d’inventer un nouveau modèle avec des prix de sortie d’usine, en réduisant les coûts de commercialisation.

    Avec près de 20 000 clients fidèles, Terre de France n’attend plus que vous pour redorer le blason du savoir-faire français.

    www.valeursactuelles.com via fdesouche

  • Quimper : En consentant aux migrants une baisse de loyer de 15 à 45 %, le propriétaire obtient une réduction d’impôts de 25 à 65 %. Chaque migrant touche en plus l’allocation logement

    Publié par Guy de Laferrière le 01 décembre 2022

    C’est un bel appartement. Propre et fonctionnel. Spacieux et bien entretenu. Siddig Abdallah, Soudanais d’une trentaine d’années, est assis dans un fauteuil. Il parle un français approximatif. Mais c’est un pas de géant par rapport à l’été 2017, lorsqu’il est arrivé à Kerlaz (Finistère) avec d’autres migrants. Siddig épelle parfaitement son prénom et son nom. Il récolte ce qu’il a semé durant les cours de français, à la maison pour tous de Penhars, à Quimper (Finistère).

    (…)

    Côté énergie, les appartements doivent être classés « D » au plus bas. « En consentant une baisse de loyer de 15 à 45 %, le propriétaire obtient une réduction d’impôts de 25 à 65 %, détaille Claude Le Garo. Chaque locataire touche l’allocation logement et nous règle le reste du loyer, que nous versons ensuite au propriétaire. Nous assurons le suivi, des visites régulières et l’entretien. Nous soutenons le locataire. Le propriétaire a la garantie de toucher son loyer, et ce sans carence locative. »

    « Un travail social de fond »

    Malgré ces avantages, l’association peine à trouver des propriétaires solidaires : elle en cherche dix dans les six prochains mois. La faute à une pression immobilière de plus en plus forte. « U n travail de fond est fait par les travailleurs sociaux, souligne Christian Le Lez, le président. Certains locataires n’ont jamais eu de logement, ont vécu dans la rue et oublié les codes de la société. Il est difficile de leur dire qu’il faut attendre, parfois des années, alors qu’il nous manque l’essentiel pour les réinsérer : le logement. Pas de logement, pas de travail. Et pas de travail, pas de logement. »

    (…) Ouest France via fdesouche

  • Narbonne (11) : la villa antique de La Nautique pillée dans la nuit

    Publié par Guy de Laferrière le 01 décembre 2022

    Narbonne : la villa antique de La Nautique pillée dans la nuit

    Dans la nuit de mardi à mercredi 30 novembre, un ou plusieurs pilleurs d’objets antiques ont pénétré sur le site de la villa de La Nautique. On ne connaît pas l’ampleur de ce vol.

    Sur le haut grillage protégeant l’espace clos des vestiges, il y avait pourtant une affiche indiquant que les visiteurs étaient indésirables dans le site archéologique interdit d’accès à toute personne non autorisée. L’information stipulait que le pillage et le détectorisme étaient des délits. Mais ce mercredi matin, Corinne Sanchez, responsable du programme de recherches a eu la surprise de voir que le site avait été visité…et pillé.

     

    www.lindependant.fr via fdesouche

  • Mayotte : à peine arrivé le RAID devrait repartir lundi. Les policiers d’élite ont déjà eu l’occasion de subir des caillassages par des bandes de jeunes

    Publié par Guy de Laferrière le 01 décembre 2022

    Ont-ils vraiment été utiles ? Déployés en urgence à Mayotte, où la situation sécuritaire est chaotique, les policiers d’élite du Raid ont subi des caillassages par des bandes de jeunes, lundi 28 novembre […]

    Lundi 28 novembre, une opération a été menée conjointement à Vahibé, un village-bidonville, par la direction territoriale de la police nationale (DTPN, regroupant la police nationale et la police aux frontières) et le Raid. Mais l’effet de surprise y est impossible : une seule route permet d’accéder au village depuis Mamoudzou, le chef-lieu de l’île. Alors, quand les habitants repèrent le convoi de 4X4 et de fourgons blancs, ils sortent les téléphones pour prévenir les personnes sans papiers qu’une « opération LIC (lutte contre l’immigration clandestine) » est en cours. Quand le convoi se gare au pied du bidonville de Vahibé, il n’y a déjà plus grand monde à interpeller. Une trentaine de policiers se répartissent tout de même le terrain. Tandis que les policiers procèdent à l’interpellation de trois hommes en situation irrégulière – les seules de l’opération – sous les yeux des enfants, les jeunes préparent la riposte. Les premières pierres pleuvent de la part de petits groupes de jeunes dispersés dans la colline. Très mobiles, ils communiquent entre eux en shimaoré, mais invectivent les policiers en français. Lesquels répliquent en plongeant le bidonville dans une épaisse fumée de gaz lacrymogènes.
    Cependant, la présence du Raid semble dissuasive. « On aimerait qu’ils restent, c’est un soulagement de les avoir avec nous, mais Paris refuse, alors ils repartiront lundi (5 décembre) », explique Abdel Aziz Sakhi, secrétaire zonal Alternative police CFDT. « Connaissant les jeunes, ça va être la fête quand ils seront partis, ça va reprendre, c’est sûr », estime-t-il.

    […]

    Valeurs Actuelles via fdesouche

  • D’anciens virus, vieux de 50 000 ans et provenant de terres gelées, ont été ressuscités pour être étudiés par des scientifiques

    Publié par Guy de Laferrière le 01 décembre 2022

     

    Avec l’augmentation des températures, de vastes zones de pergélisol (terres gelées depuis deux ans ou plus) fondent, libérant des matières piégées dans la glace depuis des milliers d’années, dont des virus potentiellement mortels. Pour nous permettre de mieux comprendre cette menace et de nous préparer aux futures pandémies, des scientifiques ont fait revivre un grand nombre de ces anciens virus.

    Image d’entête : en fondant, le pergélisol modifie le trait de côte (ici d’Alaska), libère du méthane et du mercure accumulé dans la matière organique, ainsi que d’anciens virus… (U. S Geologival Survey)

    Un seul gramme de pergélisol peut contenir des centaines de milliers d’espèces de microbes, dont bon nombre seraient capables de survivre à des environnements extrêmes. Même des agents pathogènes que l’on croit éteints pourraient encore se trouver dans le sol gelé. En 2016, un garçon est mort de la maladie du charbon suite à une vague de chaleur qui a fait fondre le sol et révélé une carcasse de renne hébergeant le virus.

    Dans une nouvelle étude, qui n’a pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs, des chercheurs français de l’Institut de Microbiologie de la Méditerranée (IMM) de l’Université d’Aix-Marseille  (CNRS) expliquent comment ils ont pu identifier et faire revivre un groupe de 13 virus appartenant à cinq clades différents à partir d’échantillons collectés en Sibérie. Parmi ces clades, ils ont pu faire revivre un virus provenant d’un échantillon de pergélisol vieux d’environ 48 500 ans.

    Les chercheurs ont également fait revivre trois virus à partir d’un échantillon de crottes de mammouth congelées vieilles de 27 000 ans et d’un morceau de pergélisol contenant de la laine de mammouth. Les deux autres virus ont été isolés à partir du contenu de l’estomac congelé d’un loup sibérien. L’étude a montré que tous ces virus avaient encore le potentiel d’être des agents pathogènes infectieux. En d’autres termes, il s’agit exactement du type de virus qui peut poser des problèmes.

    Selon les chercheurs :

    Un quart de l’hémisphère nord est recouvert d’un sol gelé en permanence, appelé pergélisol. En raison du réchauffement climatique, le dégel irréversible du pergélisol libère des matières organiques gelées depuis un million d’années, dont la plupart se décomposent en CO2 et en méthane, ce qui renforce encore l’effet de serre.

    L’étude provient d’un groupe de chercheurs qui avait déjà fait revivre un virus vieux de 30 000 ans, trouvé également dans le pergélisol sibérien en 2014. Maintenant, avec le dernier groupe de virus, ils ont peut-être ressuscité le plus ancien à ce jour. Pour Jean-Michel Claverie, l’un des auteurs de l’étude, 48 500 ans, c’est un record mondial.

    Dans leur étude, les chercheurs soulignent qu’il reste encore beaucoup à faire pour mieux comprendre ces virus, car « très peu d’études » ont été publiées à ce sujet jusqu’à présent. L’augmentation des températures due au changement climatique risque de réveiller les menaces microbiennes dans le pergélisol, et chacune d’entre elles devra faire l’objet d’une réponse médicale spécifique, précisent-ils.

    Mais le pergélisol n’est pas le seul problème. Le réchauffement des températures entraîne également la migration d’un plus grand nombre d’animaux vers le nord, ce qui pourrait mettre les virus en contact avec de nombreux nouveaux hôtes potentiels et augmenter le risque de propagation des virus d’une espèce à l’autre. Des phénomènes de contagion similaires ont été à l’origine de l’émergence de pandémies récentes telles que le SRAS-CoV-2.

    Selon les chercheurs :

    Il n’existe pas d’équivalent aux « antibiotiques à large spectre » contre les virus, en raison de l’absence de processus médicamenteux universellement conservés dans les différentes familles virales. Il est donc légitime de s’interroger sur le risque que d’anciennes particules virales restent infectieuses et soient remises en circulation par le dégel d’anciennes couches de pergélisol.

    L’étude disponible en prépublication dans bioRxiv : An update on eukaryotic viruses revived from ancient permafrost.

     

    Source GuruMed