Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2019
Jean-François Touzé, directeur de Confrontation
Cinq enfants de djihadistes sont de retour sur notre sol national après un séjour en Syrie.
Quel que soit leur âge, qu'ils soient orphelins ou non, qu'ils aient tué et participé à des exactions ou pas, qu'ils fassent des risettes, des grimaces ou la moue, ces enfants ne sont plus français, si tant est qu'il l'aient jamais été, au delà des papiers que détenaient leurs parents coupables d'avoir pris les armes contre la civilisation.
La France n'a aucune responsabilité à assumer quant à leur sort et le terme de "rapatriement" ne peut être utilisé.
Stop à l'émotivité. Les Français ne veulent pas d'eux.