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  • Permis d’empoisonner jusqu’en 2025 !

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2019

    Ecrit par Claude Timmerman

    Pendant qu’on envoie les gamins “manifester contre le changement climatique” (cela ne s’invente pas!) en criant “tous ensemble pour la planète”, les députés de Macron – en douce – viennent de voter le report de l’interdiction de production en France de pesticides prohibés par l’Europe, à destination du Tiers Monde!
    Tant que c’est pas chez nous, on peut donc empoisonner sciemment si cela rapporte!

    On lance une procédure de mise en danger de la vie d’autrui là ? Ou bien on considère que les paysans africains, asiatiques ou sud américains peuvent crever pourvu qu’ils servent à enrichir les industriels de la mort ?

    L’interdiction en 2022 de la production, du stockage et de la vente de produits phytopharmaceutiques destinés à des pays tiers et contenant des substances prohibées par l’UE figurait dans la loi agriculture et alimentation (Egalim), promulguée en novembre. Mais à la faveur de Pacte, le Sénat à majorité de droite avait voté sa suppression pure et simple, en première lecture. Après de vifs débats, l’Assemblée a finalement voté par 27 voix contre 3 et 7 abstentions ce report de l’interdiction, que le rapporteur Roland Lescure (LREM) a qualifié de “compromis”.

     

    Source : medias-presse.info

  • Macron après l’acte 18 des Gilets jaunes : « Maintenant, c’est terminé »

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2019

    Par  le 17/03/2019

     

    Le président de la République, rattrapé par la crise des Gilets jaunes, veut frapper fort, après ce nouveau samedi noir sur les Champs-Elysées. Parmi les mesures attendues, une possible interdiction de manifester sur l’avenue.

    Le Premier ministre se rendra ce lundi matin à 11h30 à l’Elysée pour faire des propositions au chef de l’Etat. Elles devraient effectivement déboucher dans la foulée par des annonces à la hauteur de la crise. Plus concrètement, il s’agirait d’interdire d’accès certains secteurs comme les Champs-Elysées, en les sanctuarisant. Bref, le président a décidé de frapper fort : « Maintenant c’est terminé. J’insiste pour que ce type de scène ne puisse plus se reproduire, notamment sur cette avenue », a-t-il tonné, visiblement remonté, auprès ses équipes.

    La pression est maximale sur les épaules d’Emmanuel Macron. Lui qui pensait avoir repris la main ces dernières semaines grâce à son Grand débat national, se retrouve de nouveau au pied du mur. Rattrapé par la crise des gilets jaunes. Un président qui est même apparu à contretemps de l’actualité, en s’affichant au ski dans les Pyrénées à la Mongie, pendant qu’une partie de Paris était littéralement en feu. Avant de revenir précipitamment dans la soirée pour participer à une cellule de crise. « Franchement, cette image au ski, on aurait vraiment pu s’en passer. Ce n’était pas utile », reproche un poids lourd de la majorité.

     

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Marine Le Pen dit ne “pas connaître” l’évidence du “grand remplacement”, pourtant elle la rejetait en 2014… (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2019

    grand remplacement,marine le pen

    “Je ne connais pas cette théorie du ‘grand remplacement’. Je n’ai jamais utilisé ce terme-là”, a déclaré sur France 3 la présidente du Rassemblement national. Pourtant, en 2011 et 2014, Marine Le Pen y faisait référence, pour mieux s’en démarquer :

     
  • Marie-Jo Zimmermann quitte Wauquiez pour Dupont-Aignan au nom du droit à l’avortement ! Qu’en pense Poisson ?

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2019

    Marie-Jo Zimmermann, ancien député (UMP, puis LR) de 1998 à 2017, a annoncé avec fracas quitter le parti de Laurent Wauquiez.

    Marie-Jo Zimmermann n’est pas pour autant une orpheline politique. Elle a rejoint Nicolas Dupont-Aignan.

    Mais au fait, quelles sont les raisons de ce changement ? C’est là que cela se corse. Marie-Jo Zimmerman reproche à Laurent Wauquiez d’avoir offert la tête de liste aux élections européennes à François-Xavier Bellamy qui, selon elle, “défend des options concernant les femmes que je ne peux absolument pas cautionner (…) Je ne peux en aucun cas cautionner ni les prises de positions publiques hostiles à l’avortement, ce qui remet clairement en cause la loi Veil, ni une vision archaïque de la place de la femme dans la société “.

    Marie-Jo Zimmermann est revenue sur le sujet dans les médias. Dans Le Républicain Lorrain : ” L’IVG, c’est d’abord une affaire de femme, de couple, et on n’a pas besoin de leçon à donner par rapport à ça. “. Et dans Marianne où elle commence par dénoncer à nouveau le pourtant très timoré Bellamy comme “un candidat qui manifeste publiquement contre l’avortement “, ajoutant : “Cela revient à demander l’abrogation de la loi Veil. “, loi qu’elle défend parce qu’elle apporte selon elle “la liberté à chaque femme, en son âme et conscience, de décider pour ce qui  la concerne “. Sauf qu’il y a aussi la vie d’un enfant qui est concernée !

    Il faut se souvenir que Marie-Jo Zimmermann est devenue membre en 2013 de l’Observatoire de la laïcité, et qu’elle était dans les meilleurs termes avec la Grande Loge Féminine de France (GLFF) lorsqu’elle était responsable de la Délégation aux droits des femmes.

    Au fait, qu’en pense Jean-Frédéric Poisson, président du PCD, marcheur pour la Vie, allié à Nicolas Dupont-Aignan ?

    A gauche, Marie-Jo Zimmermann, au centre Nicolas Dupont-Aignan, et à l’extrême droite Jean-Frédéric Poisson, bien isolé…

    Déjà qu’il y avait sur leur liste aux européennes le lieutenant de Dupont-Aignan, Jean-Philippe Tanguy, tout fier de participer à la marche LGBT de Paris…

     

    Source : medias-presse.info

     

  • La grève pour le climat et Greta Thunberg : un autre abus de mineurs

    Publié par Guy Jovbelin le 17 mars 2019

    Hier vendredi 15 mars, dans une centaine de pays, les étudiants et les lycéens-collégiens ont fait « grève » pour protester contre les politiciens qui ne prennent pas, selon eux, de mesures fortes contre le réchauffement climatique global.

    Une initiative, qui d’après la narration officielle, naît de l’exemple de la jeune Suédoise de 16 ans, Greta Thunberg. C’est la vraie “rock-star” du moment. En première page de tous les grands journaux mainstream de l’univers : tout le monde en parle, lui offre des entretiens ! La consécration définitive est arrivée cette semaine : l’adolescente activiste, promotrice de cette « marche des jeunes pour le climat »,  Climate Strikeen Europe et ailleurs, a été proposée pour recevoir le Prix Nobel de la Paix « en signe de reconnaissance pour son engagement contre la crise climatique et le réchauffement global ».

    Lors d’un de ces nombreux entretiens, Greta Thunberg a déclaré au quotidien italien radical-chic La Repubblica :

    « Nous sommes en plein dans une crise. Et c’est la plus urgente et grave que le genre humain a eu à affronter. Nous sommes en train de scier la branche sur laquelle nous sommes assis et la majeure partie de la population mondiale n’a pas idée des conséquences possibles à cause de notre incapacité à réagir. »

    Mais les choses sont un peu plus complexes : derrière cette mobilisation, derrière cette jeune autiste, affectée du syndrome d’Asperger, se cachent des élites écologistes et fondations américaines qui sont en train d’utiliser les jeunes pour des batailles qui valent des centaines de milliards de dollars !

    Greta Thunberg, qui tous les vendredis s’assoit en face du parlement suédois avec une pancarte dans les mains sur laquelle est écrit ‘Skolstrejk för klimatet’, « grève de l’école pour le climat », n’est pas un phénomène spontané né de nulle part mais est habillement utilisée dans une stratégie de marketing.

    Andreas Henriksson, fameux journaliste d’investigation suédois, a dévoiler le pot-aux-roses. Après reconstitution des événements, il a découvert que cette grève scolaire faisait partie d’une stratégie publicitaire pour lancer Scenes from the Heart, le nouveau livre de la mère de Greta, la célèbre chanteuse Malena Ernman, et que le grand stratège de cette campagne est un ami de la famille, Ingmar Rentzhog, expert en marketing et publicité. Ce dernier a profité, de son côté, de l’image de la jeune fille pour lancer sa start-up, We Do not Have Time (Nous n’avons pas le temps) ayant pour but d’influencer les décisions des politiques contre le réchauffement climatique. Ingmar Rentzhog se vante pourtant « d’avoir découvert la jeune fille » sur le trottoir et ensuite « d’avoir fait croître sa popularité ». Très rapidement, grâce à Greta, l’icône de We Do not Have Time, cette start-up décolle, et lance une campagne de  crowdfunding pour environ 2,8 million de euros

    Rien de vraiment fortuit, rien de vraiment spontané : l’immédiat succès de Greta est du à une habille propagande, relayée par le monde médiatique politiquement et climatiquement correct, en direction tout particulièrement de ces jeunes générations endoctrinées. Cette campagne climato-fanatique vise à soulever une population juvénile, que l’on a matraqué depuis des décennies avec une propagande sans fin et anxyogène sur l’éminence d’une catastrophe climatique. Et ce dans le but de contraindre les gouvernements à approuver des législations écologiques, véritable carcan pour les classes moyennes et pauvres des pays occidentaux (la révolte desGilets jaunes prend sa source dans l’augmentation du prix de l’essence et diesel, ces énergies fossiles qu’il faut éliminer selon la doxa écologique !). Ces jeunes sont devenus des proies faciles et dociles entre les mains d’élites et de fondations de milliardaires, telle la Fondation Rockefellerqui sont en train d‘imposer une dictature globale au nom de la lutte contre les changements climatiques tout en encaissant des milliards de dollars.

    Le tout a une saveur d’exploitation d’enfants. Plus grave, cette manipulation de Greta et des jeunes, bien comparable à l’endoctrinement des jeunes esprits pratiqué dans les régimes totalitaires, se fait au nom de la lute contre un « changement climatique » sur lequel les hommes ne peuvent rien … puisque le climat a toujours changé au fil des siècles !

    Mais ces mêmes élites globalistes et écologiques l’imputent à l’homme : le grand péché d’aujourd’hui c’est de respirer, la pénitence c’est de payer la taxe carbone !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info