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  • L’État veut mobiliser 16.000 logements pour les migrants en 2019

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2019

    Par  le 14/03/2019 

    L’Etat compte mobiliser 16 000 logements pour des réfugiés en 2019, un objectif «ambitieux» et destiné à favoriser leur intégration qui a été érigée en priorité par le chef de l’Etat, selon une circulaire du 4 mars.

    «Le relogement des réfugiés reste une priorité gouvernementale pour 2019», souligne cette circulaire aux préfets et directeurs régionaux d’administration, et signée des ministres de l’Intérieur, de la Cohésion des territoires et du Logement. En 2018 «plus de 8 700 logements ont été mobilisés», un résultat «encourageant» qui a permis de reloger «plus de 19.000 réfugiés». Mais «on estime à 19 000 le nombre de réfugiés» encore présents en centres pour demandeurs d’asile ou dans l’hébergement d’urgence. C’est pourquoi, compte tenu aussi de la hausse du nombre de réfugiés protégés par la France, il faut «amplifier cette dynamique» et l’«inscrire dans le temps», ajoute la circulaire.

    (…) Pour accompagner l’accès au logement une enveloppe de 11 millions d’euros sera reconduite.

    (…)

    Le Figaro via fdesouche

  • Quand certaines législations protègent plus les aiglons et les petites tortues à naître… que les enfants à naître !

    Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2019

  • Grande-Bretagne – Les musulmans se fâchent : stop aux leçons lgbt

    Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2019

    En Grande-Bretagne, dans la ville de Birminghamrelate le quotidien britannique The Guardianaprès les protestations de familles à majorité musulmanes, des leçons prévues dans une école primaire, Parkfield Community School, et dispensées par un activiste Lgbt accusé de pratiquer « le lavage de cerveau » sur les enfants et de promouvoir le style de vie homosexuel et transgenre ont du être annulées.

    Cette belle victoire contre l’endoctrinement arc-en-ciel via ce programme surnomméNo Outsiders n’est pas due aux familles chrétiennes de l’école mais à l’importante communauté musulmane qui s’est mobilisée en masse : 600 enfants, majoritairement mahométans, âgés entre 4 et 11 ans, ont ainsi été retirés de l’école jusqu’à ce que la direction supprime les leçons incriminées.

    Tout a commencé sous l’impulsion d’une mère de famille musulmaneFatima Shah, qui la première a décidé de ne pas envoyer sa fille de 10 ans en classe, en arguant que traiter de thématiques tels « le mariage gay » et les droits Lgbt auprès d’enfants si jeunes n’était pas approprié. Une protestation imitée par bien d’autres familles.

    Cette affaire démontre trois choses :

    – Que la société globaliste sans frontières promue par le monde occidental est en échec. L’utopie progressiste, selon laquelle il serait facile de faire vivre ensemble l’agenda politique des « droits civils » des minorités avec l’accueil indiscriminé de toutes les cultures n’est bien qu’une utopie ! L’oxymore du multiculturalisme laïc est une contradiction dans les termes, spécialement lorsqu’il veut coïncider avec l’islam.

    – Que le monde musulman, surtout dans des zones où la communauté coranique est particulièrement importante, peut se mobiliser rapidement en force. Seconde ville du Royaume-Uni par le nombre d’habitants et huitième au niveau européen, 42 % des citoyens de Birmingham sont extra-européens et certains de ses quartiers sont peuplés à 95 % de musulmans. Si donc on peut remercier la communauté musulmane d’avoir obtenu la suppression de ces leçons Lgbt, il ne faut pas oublier que, dans d’autres circonstances, la mobilisation des fidèles mahométans pourraient résulter dangereuse pour les occidentaux.

    La dernière considération concerne la capacité d’influence positive que le monde catholique a perdu. Bien qu’il y ait eu des parents chrétiens qui se sont unis aux protestations des familles musulmanes, ce sont elles qui ont donné l’exemple d’une réaction sans compromis ni chichi. Là est la leçon à tirer pour le monde catholique grisé par la rhétorique du dialogue à tous prix avec les lobbies homosexuels : c’est la mobilisation pure et dure qui paye et non la tiède mobilisation, qui a un goût de résignation !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Grand débat, les « garants » se réveillent juste avant le gong final

    Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2019

    Rédigé par notre équipe le 13 mars 2019

    Le grand débat est censé se conclure ce vendredi et les cinq « garants » refont surface. Complètement muets depuis le début du one man show Macron, ils se réveillent enfin pour dire que, peut-être, le pouvoir a poussé le bouchon un peu loin. Les Français étaient censés prendre la parole et n’ont eu droit qu’à une communication gouvernementale aussi intense qu’étouffante. Tout le monde l’a senti et compris dès les premiers jours, mais les garants sortent du formol une fois la partie achevée ou presque. Des nuls ? Non, de bons petits soldats de la Macronie !

    Ah qu’il est beau le grand débat ! Ces dizaines d’heures de discours de campagne, ces maires qui ne bronchent pas face à un président qui assure les estimer après les avoir publiquement méprisés. Quelles sont belles ces images de ministres s’invitant à des débats qui ressemblent plus à des réunions de la République en Marche qu’à un vrai débat citoyen ! Quelle est belle cette France où porter un gilet jaune à un kilomètre de distance du président vaut une arrestation par une police dont le gaz est un peu trop monté à la tête parfois ! Une bien belle époque qui se termine, mais la soumission au système a encore de beaux jours devant elle.

    Garants fantômes pour débat fantasmé

    Lorsque le grand débat a été imaginé par les cerveaux de la Macronie, il n’a pas fallu longtemps pour comprendre qu’il s’agissait d’une vaste entreprise d’enfumage. Il aura toutefois fallu assister aux tout premiers « débats » pour prendre conscience que l’opération était plus ambitieuse encore puisque les Français médusés ont assisté à un show de campagne orwellien. Un show garanti par cinq personnalités qui ont cautionné ce grand cirque de leur présence. Une présence très relative puisqu’après avoir affirmé que le débat ne serait pas confisqué par le pouvoir, ils se sont évaporés dans la nature pour réapparaître comme par enchantement ce mardi 12 mars.

    Les fantômes sont de retour et ne veulent pas passer pour des pions de la Macronie alors ils haussent un peu le ton, mais pas trop. Ainsi, Pascal Perrineau a lancé une pique qui lui procure encore des frissons : « Il était peut-être utile qu’il y ait une communication présidentielle et gouvernementale importante au début du processus pour mobiliser les citoyens » mais « la manière dont ça s’est prolongé a pu contribuer, après avoir mobilisé, à entraver la mobilisation ». Politologue à ses heures perdues, le Perrineau n’a pas perdu tout sens commun. Il a juste perdu le peu de crédibilité et de dignité qu’il pensait encore avoir.

    Pourquoi ne pas avoir dit dès les toutes premières semaines que ce débat était une farce servant uniquement la communication de l’exécutif ? Dire certaines vérités alors que l’on est un membre de l’élite est un risque que les garants n’ont pas pris. Pourquoi se griller en disant la vérité alors que le pouvoir maîtrise toutes les cartes ? Il y a des pleutres qui s’ignorent, mais dont la face est bien peu vertueuse aux yeux des Français.

    Des Français qui se sont bien moins mobilisés que le Gouvernement ne le répète, chiffres bidonnés de son site Internet à l’appui. Des Français qui se détournent tant du débat que les « garants » affirment aujourd’hui qu’ils ont des « difficultés pour rassembler ces échantillons de citoyens dans certaines régions » afin de participer aux Conférences citoyennes régionales… Le dégoût est si vif que ce sont seulement « 50 à 70 citoyens par conférence » qui pourront être réunis. Il faut croire que le virtuel d’un site Internet est plus facile à manipuler que le réel. Une leçon que la Macronie devra garder à l’esprit au cours de ces prochains mois…

     

    Source : 24heuresactu

  • L’effondrement du diesel menace 15 000 emplois en France

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2019

    Auteur : Pierrot


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    Arrogance, empressement, inconséquence, fiscalité désastreuse, gestion à la petite semaine d’un secteur clé de notre économie, encore un dossier mal géré de bout en bout par la start up Nation. 

    Capital: Les ventes de diesel chutent et Bercy tente de stopper l’hémorragie. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire va rencontrer ce lundi 11 mars les acteurs de la filière diesel pour mettre sur pied « un plan concerté » d’accompagnement, comme l’explique le quotidien La Croix. Depuis le scandale lié aux moteurs trafiqués de Volkswagen en 2015, les voitures diesel se vendent avec difficulté dans toute l’Europe. En France, les immatriculations ont chuté de 36%. Le secteur est en difficulté, et les emplois sont en danger.

    En novembre 2018, l’entreprise japonaise Ibiden annonçait la fermeture de son usine de filtres à particules de Courtenay (Loiret), un site qui emploie près de 300 personnes. A Rodez (Aveyron), Bosch va opérer des coupes drastiques dans les effectifs d’une usine de fabrication des injecteurs pour moteurs diesel. L’entreprise voudrait se séparer d’environ 300 à 600 personnes selon les syndicats, sur les 1.600 personnes travaillant sur le site. Les Fonderies du Poitou et de Saint-Jean Industrie, placées en redressement judiciaire, attendent que la justice tranche. Trois offres de reprises sont en balance. Le tribunal de commerce devrait statuer la semaine prochaine.

    D’ici dix ans, une grande partie des emplois de la filière diesel seront menacés selon une étude de l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), soit près de 15.000 postes sur les 37.500 emplois du secteur. « Trois cents établissements sont concernés à des degrés divers, avec une trentaine d’entreprises gravement fragilisées, dont six en situation d’urgence », explique à la Croix le président de l’UIMM.

     

    Source : contre-info