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  • C’était un onze mars : l’assassinat du colonel Bastien-Thiry

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2019

    Auteur : Rédaction

    assassinat,bastien thiryLe 11 mars 1963 était fusillé au Fort d’Ivry le lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, 36 ans et père de trois enfants.

    Polytechnicien, il avait inventé deux missiles anti-chars.

    Il avait organisé l’attaque du Petit-Clamart, pour en finir avec De Gaulle qui avait trahi le peuple, livrait l’Algérie française aux mains des égorgeurs et liquidé le camp nationaliste en France.

    Fervent catholique, il justifiait cette action par la légitimité du tyrannicide (théorisée par Saint Thomas d’Aquin).

    Un très bon petit livre constitue une bonne synthèse sur ce sujet : Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide, par l’abbé Olivier Rioult cliquer ici

    assassinat,bastien thiry

    Bastien-Thiry marcha vers le peloton chapelet à la main, laissant derrière lui une forte impression, et l’image d’un héros français et chrétien qui avait porté jusqu’au bout l’idéal du sacrifice.


    On peut retrouver cette chanson sur le cd du Chœur Montjoie St Denis, Chants de France XI, ou encore sur la compilation de l'ADIMAD.

    Source : contre-info.com

  • Nouveau Front national : promotion en échange de relations homosexuelles

    Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2019

    Auteur : Rédaction


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    « Je me souviens de ce très haut placé dans la hiérarchie frontiste dont le jeu préféré était de convertir de jeunes hommes bruns à l’homosexualité… en échange de places, de promotion. »

    Un ancien cadre du FN « mariniste » évoque la prédation homosexuelle et les « parties fines » au sein du parti repris et transformé par Marine Le Pen.

    Mœurs, affaires judiciaires, alignement du programme sur l’idéologie dominante…, elle qui voulait en faire « un parti comme les autres » a au moins réussi ce pari. 

     

    Source : contre-info

     

  • En Syrie, les partisans de l’Etat islamique rêvent d’un retour sanglant : « Le califat ne va pas disparaître, il est imprimé dans les cerveaux et les coeurs des nouveaux-nés »

    Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2019

    Par  le 10/03/2019

    Près de Baghouz (Syrie) – « On se vengera, il y aura du sang », le groupe Etat islamique (EI) « va rester et s’étendre ». En fuyant son ultime réduit dans l’est syrien en passe, des jihadistes promettent un retour en force de l’organisation ultraradicale en passe d’être vaincue.

    Des milliers de personnes, dont de plus en plus d’éclopés et de blessés continuent d’abandonner la petite poche de l’EI dans le village de Baghouz, aux confins orientaux de la Syrie. Parmi eux, de nombreux hommes et femmes refusent de reconnaître la défaite inéluctable des derniers jihadistes acculés.

    Faisant mine de jeter leurs chaussures, près d’une dizaines de femmes prennent à parti les journalistes, lançant des pierres sur les caméras.

    « Nous sommes sortis mais il y aura de nouvelles conquêtes« , « l’Etat islamique va rester et s’étendre« , « on se vengera et il y aura du sang jusqu’aux genoux« , hurlent-elles. 

    Après avoir passé la nuit à l’extérieur près de Baghouz, sur une position des Forces démocratiques syriennes (FDS) qui mènent l’offensive contre les jihadistes, ces femmes seront transférées vers les camps de déplacés du nord-est syrien.

    « Tu ne lis pas le Coran? Tu n’as pas honte? » lance l’une d’entre elles, agrippant la tresse d’une journaliste aux cheveux découverts. « Dieu maudisse la femme qui ressemble à un homme« , crie une autre.

    D’autres femmes, assises par petits groupes à même le sol, se montrent plus discrètes.

    Mais, lorsqu’elles sont interrogées par l’AFP, elles reprennent le même discours: « On attend la victoire, si Dieu le veut« , clame ainsi Oum Mohamed, 47 ans, originaire de la province d’Al-Anbar en Irak.

    – « Résolue et radicalisée » –

    « Les vauriens et les peureux sont sortis, et nous (les femmes) sommes parties parce que nous étions un fardeau pour les hommes« , explique-t-elle.

    Interrogée sur le sort de son mari, membre de l’EI, Oum Mohamed marque une hésitation, puis dit: « Qu’il soit vivant ou mort, je remercie Dieu« .

    Non loin de là, des femmes font leurs prières quotidiennes, d’autres lisent le Coran. Couvert de poussière, un sac à dos sur les épaules, un jeune garçon chantonne en souriant un chant religieux à la gloire de l’EI.

    « L’Etat du califat ne va pas disparaître, il est imprimé dans les cerveaux et les coeurs des nouveaux-nés et des petits » ayant fui Baghouz avec leurs mères, assure une sexagénaire qui refuse de donner son nom. 

    Après une montée en puissance fulgurante en 2014, les jihadistes avait proclamé un « califat » à cheval sur de vastes régions conquises en Syrie et en Irak, attirant des milliers d’étrangers.

    L’EI avait imposé son règne de la terreur à des millions de personnes, établissant sa propre administration: monnaie frappée, collecte des impôts, police des moeurs, programmes pédagogiques dans les écoles, rien ne manquait à ce proto-état.

    Mais au terme de multiples offensives, les jihadistes ont tout perdu. Sauf, visiblement, la fidélité de leurs disciples.

    « La population de l’EI qui est évacuée des derniers vestiges du califat reste largement impénitente, résolue et radicalisée« , confirmait jeudi le chef des forces américaines au Moyen-Orient, le général Joseph Votel.

    Sur la position des FDS, les hommes soupçonnés d’appartenance à l’EI sont rapidement isolés, après avoir été fouillés et interrogés.

    – Baghdadi « notre modèle » –

    En voyant les journalistes affluer, un homme se met debout, malgré une blessure au pied. Il s’époumone, dénonçant le « terrorisme » de la coalition internationale et ses frappes.

    « Je me suis rendu à cause de ma blessure. Mais j’ai accompagné l’Etat islamique depuis le début« , indique-t-il à l’AFP.

    A côté, Abdel Moneim Najia ne cache pas lui non plus son soutien à l’EI, tout en confiant ses désillusions.

    « La loi de Dieu était appliquée« , justifie-t-il. « Mais il y avait des injustices, des dirigeants ont volé l’argent et abandonné le peuple« , déplore-t-il.

    D’après lui, nombreux sont ceux qui ont fait défection, trouvant le moyen de fuir notamment vers l’Irak ou vers la Turquie.

    « A chaque fois on entendait que l’émir untel a abandonné le groupe« , ajoute-t-il. « Et nous on est resté, jusqu’à ce que les balles sifflent au-dessus de nos têtes« , souligne-t-il.

    L’homme ne cache pas sa déception vis-à-vis du « calife » Abou Bakr al-Baghdadi, dont le sort demeure inconnu.

    « Il nous a confié à des gens qui nous ont laissé tomber. C’est lui qui est responsable, à nos yeux il est notre modèle« , dit-il.

    S’il a mis autant de temps à sortir, c’est parce que ses cousins étaient des combattants de l’EI et qu’il craignait être arrêté par les FDS.

    Âgé de 30 ans, il parait bien plus âgé avec sa barbe et ses cheveux grisonnants. Malgré les déconvenues, il continue de souhaiter de nouvelles « conquêtes » pour le « califat islamique » et son chef Baghdadi.

     

    Lexpress.fr via fdesouche

  • Droit d’asile : un ex-conseiller d’État à la tête de l’Ofpra

    Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2019

    Par  le 10/03/2019

     
    […] L’Ofpra, crée en 1952, est chargé d’examiner les dossiers des demandeurs d’asile pour leur attribuer la protection de la France. Emmanuel Macron a proposé samedi de nommer un ancien conseiller d’État, Julien Boucher, à la tête de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), poste qui était vacant depuis fin décembre.

    Énarque, M. Boucher occupe actuellement le poste de directeur des Affaires juridiques pour les ministères de l’Ecologie et des Transports notamment. […] Le nouveau patron de l’Ofpra hérite d’un établissement d’environ 800 agents, contre 450 en 2012. La crise des réfugiés est passée par là, avec un doublement des demandes d’asile, passées à 122.700 l’an dernier (contre 61.500 en 2012). Sur la même période le taux de personnes protégées par l’Ofpra a bondi, passant de 9,4 à 27%. […]

    Une tutelle qui n’affecte en rien son indépendance, aimait à répéter Pascal Brice, puisque la loi prévoit que l’office « exerce en toute impartialité » ses missions « et ne reçoit, dans leur accomplissement, aucune instruction ». Une partie des salariés de l’Ofpra ainsi que des ONG se sont inquiétés pour le maintien de cette indépendance, pendant la période de vacance à la tête de l’office, craignant que le choix de la personnalité retenue n’annonce une immixtion des politiques migratoires dans la pratique de l’asile. […]

     

    Le Figaro via fdesouche

  • Allemagne : Cynthia, 21 ans, tuée de plusieurs coups de couteau par son petit-ami Ahmed, un migrant tunisien qui aurait dû être expulsé

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2019

     Par  le 08/03/2019

    Meurtre sanglant à Worms (Allemagne) – Un Tunisien de 22 ans a poignardé à mort sa petite amie de 21 ans lors d’une dispute.

    Ahmed T. passait la nuit chez les parents de Cynthia R., comme il l’a souvent fait. La jeune infirmière a son propre espace à l’étage supérieur de la maison familiale avec un salon et une chambre.

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, Ahmed a tué la jeune femme à coups de couteau, « plus d’une dizaine de coups » selon les inspections de la police.

    Le Tunisien a avoué le crime et a été placé en détention. Depuis son arrivée en Allemagne en octobre 2017, il a vécu sous plusieurs identités, selon les enquêteurs.

    Le meurtrier est bien connu des services de police pour des agressions ou des délits liés à drogue.

    En octobre 2018, il a purgé une peine de trois semaines pour vol.

    La famille de Cynthia est stupéfaite. Son oncle : « C’était une personne si douce. Elle ne parlait mal de personne. Elle vivait pour son travail. Elle voulait devenir sage-femme. Elle était joyeuse, aimait faire la fête. »

    Le lundi 4 mars, deux jours avant le meurtre, Ahmed T. a reçu une obligation de quitter le territoire allemand.

    Bild / Welt.de via fdesouche