Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 29

  • Trappes, « ville perdue »

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2021

    synthesenationale

    trappes,ville perdue

    Franck Delétraz

    Avec sa population à une écrasante majorité musulmane et ses 70 nationalités, ses mosquées salafistes et ses rues envahies de commerces mahométans, ses quelque 80 départs de djihadistes pour la Syrie et son maire qui ne cache pas ses sympathies pour les « barbus », la réputation de la ville de Trappes (Yvelines), surnommé le « Trappistan » par nos services de renseignements, n’est plus vraiment à faire. Emblématique de ces innombrables enclaves étrangères islamistes qui se constituent sur notre sol depuis des années grâce à l’incroyable lâcheté de nos gouvernements de droite comme de gauche, cette « Molenbeek française » nous donne cependant aujourd’hui, au travers du cauchemar que subit depuis des mois le professeur Didier Lemaire, un avant-goût de plus de ce que sera bientôt notre pays tout entier si les autorités continuent de fermer lâchement les yeux.

    Depuis novembre 2020, en effet, cet enseignant en philosophie, dont il faut saluer ici le courage, ne peut quasiment plus sortir de chez lui, et, lorsqu’il y est contraint, ne peut le faire que sous escorte policière ! Son « crime » ? Avoir osé publier, à la suite de l’égorgement de Samuel Paty par un djihadiste tchétchène, une lettre ouverte pour dénoncer « la menace islamiste dans sa ville » et la responsabilité accablante du gouvernement dans cette très grave et inquiétante dérive. Il faut dire que, après une vingtaine d’années passées dans un lycée ethnique de Trappes, Didier Lemaire sait largement de quoi il parle : témoin privilégié de l’islamisation à marche forcée de sa ville, il a même déjà tenté d’alerter le président en 2018 en lui adressant, avec Jean-Pierre Obin, une lettre pour l’exhorter à agir enfin « pour protéger la jeunesse de l’influence des islamistes ». Et depuis ? Depuis, rien n’a été fait. Au point que, comme le confie aujourd’hui Didier Lemaire, « je considère Trappes comme une ville définitivement perdue. [...] On n’a plus beaucoup de temps avant que cela ne dégénère. Nombre de ces enfants sont élevés dans la haine de la France. Nous ne sommes pas loin d’un scénario à l’algérienne et nous ne sommes plus dans un état de paix. Il nous faut des lois d’exception qui visent l’ennemi et ne s’appliquent qu’à l’ennemi ».

    Un discours de vérité qui lui vaut non seulement d’innombrables menaces de mort, mais aussi de faire l’objet d’une ignoble cabale orchestrée par le maire lui-même, Ali Rabeh, dont l’élection vient d’être annulée par la justice et qui a été condamné à un an d’inéligibilité. En effet, a témoigné l’enseignant, « le maire colporte dans la ville des accusations mensongères et haineuses qui me désignent en tant que cible potentielle ». Or, « c’est un procédé dégueulasse, après ce qui est arrivé à Samuel Paty. Il me jette en pâture et me met en danger ». Et pourtant les autorités ne semblent pas s’inquiéter plus que cela de cette situation.

    En tout cas, il y en a un que l’islamisation de Trappes ne dérange pas et rend même plutôt « enthousiaste » : c’est le père Etienne Guillet, prêtre du diocèse de Versailles depuis 2006, qui expliquait encore récemment avoir « bâti avec les musulmans » de la commune « une belle relation de confiance » et se vantait de tutoyer le maire aux sympathies salafistes pourtant à peine déguisées.

    Source : Présent 9/02/2021

  • Violences urbaines à Méru (60) : Près de 60 gendarmes ciblés par des tirs de mortiers. “Nous n’avons pas de revendication”, clament les agresseurs

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2021

    Dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 février, à l’entrée du quartier de la Nacre, à Méru, une quinzaine d’individus ont visé les gendarmes avec des tirs de mortier d’artifice. Sans revendication, confient les agresseurs au Courrier picard. Ce dimanche après-midi, les habitants, eux, étaient encore apeurés.

    Après le caillassage dont ont été victimes près de 60 gendarmes et trois salariés de l’Office public d’aménagement et de construction (Opac) de l’Oise dans la nuit du vendredi 5 au samedi 6 février, rue Aristide-Briand.

    (…) Courrier Picard via fdesouche

  • Piriac-sur-Mer, 2200 habitants, accueille 115 migrants

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2021

    Piriac-sur-Mer. Une centaine de migrants accueillis à La Rose des Vents

    L’Association Séjour Plein Air (ASPA) a accueilli mardi dernier, à la demande de l’État, 115 migrants en provenance de Nantes dans son centre de séjour La Rose des Vents.

    La préfecture de Loire-Atlantique à la recherche d’hébergements temporaires a pris contact avec différents établissements disponibles ou en manque d’activité du fait de la crise sanitaire. Via une convention assurant le remboursement des frais de logement et de restauration, deux établissements, à Préfailles et à Piriac-sur-Mer, hébergent des migrants en situation précaire. Depuis le premier confinement, « La Rose des Vents » a financièrement souffert des fermetures répétées.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Ouest France

  • Un millier de demandeurs d’asile ont été répartis en France en janvier “dans le but de désengorger la région parisienne”

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2021

    fdesouche

    Dans le but de “désengorger” la région parisienne, où se présente la moitié des demandeurs d’asile du pays.

    Les autorités ont redirigé près d’un millier de migrants présents en Île-de-France vers les autres régions en janvier, selon un premier bilan du schéma national d’accueil des demandeurs d’asile entré en vigueur en début d’année pour “désengorger” la région parisienne.

    Depuis le 1er janvier, “986 demandeurs d’asile ont été orientés vers des centres d’accueil et d’examen des situations en région”, soit bien plus que les 200 à 400 personnes redirigées mensuellement l’an dernier, a annoncé à l’AFP Didier Leschi, patron de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), responsable de leur prise en charge. 

    […]

    L’article dans son intégralité sur Konbini

  • Le Puy-en-Velay : il fait la grève de la faim pour obtenir la régularisation du jeune Malien, Madama

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2021

    fdesouche

    Sebastien de Lyon 08/02/2021 à 16h19

    Jeudi, cinquième jour de grève de la faim pour Éric Durupt, enseignant, pour obtenir la régularisation du jeune Malien, Madama.

    L’affaire rappelle celle de Stéphane Ravacley et son apprenti guinéen Laye Fodé Traoré régularisé par la préfecture de Haute-Saône après plus d’une semaine de grève de la faim du boulanger de Besançon. Cette fois, c’est la famille d’accueil de Haute-Loire du jeune migrant Madama qui se mobilise pour éviter son expulsion. Depuis samedi dernier, Éric Durupt ne s’alimente plus, mais s’hydrate encore. « Je mènerai cette grève de la faim jusqu’à ce que je tombe, jusqu’à ce que Madama puisse vivre ici. C’est mon dernier recours pour attirer l’attention sur sa situation. »

    « Il fait partie de notre famille »

    La préfecture a en effet fait savoir que le jeune migrant devrait être expulsé, ne satisfaisant pas les démarches pour obtenir un titre de séjour. « La préfecture prétend que Madama aurait triché sur son identité et son âge. 

    […]

    L’article dans son intégralité sur L’Eveil