Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 35

  • Les sanctions contre la Russie provoquent l’effondrement de l’euro… Le ministre Bruno Le Maire s’est totalement trompé !

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet  2022

    lesmoutonsrebelles

    Pour ceux qui espèrent que cela va s’arrêter, autant le dire, avec les prix de l’énergie qui flambent, c’est mal barré. Une situation d’autant plus préoccupante pour l’Union européenne que l’inflation explose depuis l’an dernier aux États-Unis, pour atteindre les plus hauts niveaux depuis plus de trente ans. Supérieure à celle de la zone euro, elle aurait donc dû logiquement impacter davantage nos concurrents d’outre-Atlantique.

    Coût de l’énergie et coût de la dette divisent l’Europe

    Quand la Réserve fédérale des États-Unis a encore de la manœuvre pour rehausser ses taux en conséquence, la zone euro se voit, elle, tiraillée entre le Nord pris à la gorge par le coût de l’énergie, où les Allemands en tête feront tout pour augmenter les taux d’intérêt afin de rééquilibrer leur balance commerciale, et le Sud surendetté (Grèce, Espagne, Portugal, Italie et même France) dont chaque nouveau point d’inflation augmente de façon insoutenable le coût de l’endettement.

    Allemagne : non à l’inflation, oui à la hausse des taux

    Les Allemands, qu’une telle politique européenne commence à sérieusement échauffer, semblent bien déterminés à ne rien lâcher. Et pour cause, les sanctions contre la Russie faisant s’envoler le coût de l’énergie (lire à ce sujet notre analyse sur les conséquence des prédictions de Schwab), c’est toute la balance commerciale qui faisait la fierté de la quatrième puissance économique du monde qui part en vrille. Pour la première fois depuis la réunification, elle est en déficit : un milliard d’euros rien que pour le mois de mai, et ça n’est assurément qu’un début. Lundi 4 juillet, Joachim Nagel, président de la Bundesbank, la banque centrale allemande, a mis en garde la Banque centrale européenne contre toute tentative visant à faire baisser les coûts d’emprunt des pays du Sud de la zone euro. Il a estimé que l’accent devrait être mis sur la lutte contre l’inflation, qui pourrait nécessiter plus de hausses de taux d’intérêt que prévu.

    L’écart des taux entre Nord et Sud de l’Europe se creuse

    Comme le reconnaît enfin Christine Lagarde à demi-mot en sortant de derrière les fagots son mystérieux outil anti-fragmentationcensé rééquilibrer miraculeusement le Nord et le Sud, la zone euro subit une fragmentation sans précédent des différents taux d’emprunt (les « spread », dans le jargon financier). Autrement dit la différence de taux entre les différents pays de l’Union européenne devient catastrophique pour l’unité de la monnaie unique. D’ailleurs, le ton alarmiste du discours qu’elle a tenu tranche avec la prudence adoptée depuis plus d’un an, quand elle invitait à ne pas « surréagir ».

    La récession annonce la fin de l’euro

    C’est donc bien la confiance dans l’euro qui est fondamentalement atteinte, et c’est peu dire que la santé de l’Union européenne inquiète les marchés. La politique économique des va-t-en-guerre a engendré un risque de récession considérable, aujourd’hui reconnu même par Andrea Enria, le responsable de la supervision bancaire de la BCE. « Le scénario de la récession doit être désormais anticipé par les banques européennes », a-t-il prévenu lors d’une audition devant le Parlement européen.

    Une situation pourtant si prévisible ! On en vient à se demander comment ces gros malins du gouvernement, après avoir envoyé l’industrie en Chine, explosé la dette, l’avoir indexée sur l’inflation et paralysé pendant deux ans le pays et son économie, pensaient réellement mettre à terre la Russie et recevoir les lauriers de la gloire en se privant du gaz le moins cher du monde, au moment même où ils en avaient le plus besoin. Là où la crise grecque de 2015 et l’annonce du Brexit en 2016 ont échoué, les alliés de Zelensky et des États-Unis seraient-ils parvenu à faire entrer l’euro, et toute l’union qui le soutient, dans sa phase terminale ?

     

    Et que penser des européistes se prenant les pieds dans le tapis ? Voilà des années, des décennies, que nombre d’économistes et de souverainistes préviennent que les monnaies plurinationales finissent toujours par exploser, et que, du fait même de leur impossibilité à garder homogènes les taux d’emprunt entre les pays, aucun plan de sauvetage ne saurait en guérir les défauts congénitaux. Par ailleurs, on le sait bien, ce sont ceux qui tiennent la monnaie qui tiennent l’État ; avec la marionnette Macron à la solde de l’empire étatsunien, nous en avons aujourd’hui un dramatique exemple.

    Alors, que conclure ? qu’ils sont encore plus crétins qu’on ne le pensait ou que le coup de grâce n’est qu’une sournoise manœuvre pour sauver les meubles ? ou peut-être encore, simplement, que la grande réinitialisation ne fait que poursuivre son cours, et que s’appliquent de jour en jour les projets de Klaus Schwab et de la famille Rothschild pour faire table rase avant d’imposer leur nouvel ordre et leur monnaie mondiale. Bêtise, zèle, plan machiavélique ? ce sera à l’appréciation de tout un chacun, car, quoi qu’il en soit, la fin de l’euro sera en fin de compte tout sauf une mauvaise nouvelle.

    Sylvain pour Le Média en 4-4-2

  • Uber président

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2022

    Uber président

    Après le Rothschildgate, selon lequel une partie des émoluments promis à Emmanuel Macron pour son rôle dans le rachat de la branche nutrition infantile de Pfizer par Nestlé en 2012 (pour un montant de 9 milliards d’euros) aurait été provisionnée dans un « trust » anonyme en Grande-Bretagne, voici le scandale Uber Files qui éclabousse le président réélu.

    Des documents internes à l’entreprise, analysés par « Le Monde », montrent comment, entre 2014 et 2016, le ministre de l’économie Emmanuel Macron a œuvré en coulisse pour la société de VTC, qui tentait d’imposer une dérégulation du marché et affrontait l’hostilité du gouvernement. Les « Uber Files » montrent à quel point Emmanuel Macron a été, à Bercy, plus qu’un soutien, quasiment un partenaire.

    Un ministre qui suggère à Uber de transmettre des amendements « clés en main » à des députés amis ; un ministre qu’Uber France n’hésite pas à solliciter en cas de perquisition dans ses locaux ; un ministre qui, ce 1er octobre 2014, « s’excuse presque » de l’entrée en vigueur de la loi Thévenoud, d’après un compte rendu du rendez-vous écrit par le lobbyiste Mark MacGann pour ses collègues anglophones. D’après ce message, M. Macron aurait affirmé vouloir aider Uber à « travailler autour » de cette loi.

    […] Emmanuel Macron et Uber s’accordent sur une stratégie commune. « Il veut que nous l’aidions en communiquant clairement et de manière agressive », écrit Thibaud Simphal, dans un compte rendu de réunion en janvier 2015. Première étape : Uber rédige directement des amendements parlementaires simplifiant les conditions d’accès à la licence de VTC, pour qu’ils soient proposés par des députés et discutés au cours de l’examen du projet de loi dite « Macron 1 » ; si leur adoption est peu probable à l’Assemblée, ils donneront plus de poids au ministre pour signer un décret qui n’aura pas besoin de passer par l’Assemblée.

    […] Quelle était la motivation d’Emmanuel Macron pour s’impliquer, avec tant d’énergie, aux côtés d’une multinationale américaine à la réputation sulfureuse ? Une convergence de vues politique, d’abord, en faveur d’une dérégulation rapide. Mais aussi une certaine fascination pour Travis Kalanick. Dans le très controversé fondateur d’une des entreprises les plus « disruptives » de la dernière décennie, le futur président voyait, semble-t-il, une sorte de double. A la veille de leur première rencontre, une collaboratrice d’Uber relatait ainsi une discussion avec son cabinet : « Emmanuel Macron est très intéressé par l’histoire de Travis, miroir de la sienne – moins de 40 ans et réussite impressionnante. »

     

    Source : lesalonbeige

  • L’entrée de la Serbie dans l’UE compromise, Bruxelles exigeant que Belgrade renonce au Kosovo et impose des sanctions à la Russie.

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2022

    L’Union européenne affirme catégoriquement qu’elle est une « union d’égaux » et que les « intérêts et préoccupations de tous ses membres actuels et/ou potentiels seront pris en considération« . Dans le cadre du système juridique de l’UE, cette affirmation est également rendue très claire par l’article 4, paragraphe 2, du TUE, qui stipule que « l’Union respecte l’égalité des […]

     

    Extrait de: Source et auteur

  • Près de 30% des enfants nés en 2020 en Angleterre et aux Pays de Galles n’appartiennent pas aux groupes ethniques « blanc britannique » et « autre blanc » (Gouvernement UK)

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2022

    Près de 30% des enfants nés en 2020 en Angleterre et aux Pays de Galles n’appartiennent pas aux groupes ethniques « blanc britannique » et « autre blanc » :

    Cliquez pour agrandir

    Naissances vivantes en 2020 en Angleterre et au Pays de Galles par âge gestationnel et origine ethnique

    Office for National Statistics (GOV UK)

  • Campagne du CHU de Montpellier pour lutter contre la surcharge des urgences : “Théo”, “Lucas”, “Martine” et “Paul” saturent les urgences…

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2022

     

     

     

     

    Source : fdesouche